dimanche 17 août 2014

Rêve du 16 au 17 août 2014

Je suis dans un hotel, à l'étranger mais je ne sais pas où. Nous sommes regroupés dans une pièce aux murs roses et qui est mal éclairée. En fait c'est une prise d'otages, il y a un forcené qui retient captive une femme. Pour la libérer elle doit rejouer des scènes de contes avec lui. Elle est habillée avec une robe médiévale bleutée, et porte un genre de coiffure étrange, ses cheveux forment deux petits monticules sur chaque côté de sa tête, retenus par des filets. Elle doit jouer le rôle de la Belle au Bois Dormant. On essaie de l'aider un peu, mais elle refuse, paraît très lasse et nous fait comprendre qu'elle sera libre une fois que le forcené aura fini de jouer la scène du baiser de réveil du conte. Elle s'allonge un peu difficilement dans un lit, étant gênée par sa coiffure et sa robe.
A ce moment le preneur d'otage débarque l'air furieux. Il est habillé comme un prince de la Renaissance. Il n'est pas content de la mise en scène, ça ne va pas selon lui, nous sommes trop nombreux dans la pièce, il faut tout recommencer.
La nouvelle scène n'est pas tirée d'un conte, c'est une re-création d'une scène de Western. Il y a un groupe de mecs habillés en cow-boys qui jouent de la guitare près d'un feu de camp. Cléo est avec moi. Les types jouent de la guitare et dansent en même temps. Cléo s'approche d'eux avec un petit garçon de son âge, et veut danser avec eux, et du coup s'installe au milieu du groupe de guitaristes.
Mais évidemment elle ne connait pas la chorégraphie, gesticule un peu n'importe comment pour s'amuser, mais au final ça ruine la scène, donc je la prends par le bras et la ramène vite auprès de moi, pour éviter que le fou furieux pense que sa scène est à nouveau gâchée.
Je remarque à ce moment là un mec pas trop mal, avec des tatouages sur le visage. Il me sourit, je réponds à son sourire. Je vais près de lui. De près il est moins mignon mais bon... On discute rapidement, et on s'embrasse, mais nos bouches n'arrivent pas à s'accorder du coup il y a un gros filet de bave entre nos deux bouches. Je suis légèrement embarrassé, mais il rigole et trouve ça mignon, donc ça me rassure. Il me dit qu'on peut aller ailleurs. Je me demande vite fait si Clément ne va pas me voir, et puis décide de le suivre.
Il a une chambre dans l'hotel mais il ne faut pas être vu, et on passe donc par les escaliers de service. Je lui demande ce qu'il fait dans la vie, il me répond qu'il est avocat et je suis étonné vu son look, ses tatouages sur le visage. Je lui demande si ça ne le gêne pas trop professionnellement, et il me répond que non, tout est une question de préparation. On arrive à son étage mais un majordome de l'hôtel nous voit tous les deux dans les escaliers. Il porte une tenue bleue. Il nous regarde d'un air désapprobateur et nous dit juste d'un ton sévère:"Pas d'adieux". On le dépasse quand même, et le mec tatoué me dit que ça va aller, il connait quelqu'un qui peut nous aider. On remarque un groupe de travailleurs chinois, en tenues bleu gris, et mon compagnon d'aventure fait un signe à un petit vieux. Ce dernier fait un petit hochement de la tête en souriant, et s'empresse de nous devancer pour ouvrir la porte de la chambre du mec, car lui même n'en possède pas les clefs.

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Je suis avec Clément dans les rues de Paris. Nous sommes proches de la Seine. On passe devant un bâtiment que dans le rêve je connais. Je dis "Heu tiens ce n'est pas le Palais des Accords ? Là où furent signés les accords de paix après la guerre de Trente Ans ?". Clément a l'air énervé et me dit que ce n'est pas le bon nom, il me le donne mais j'ai oublié. Le palais est en réalité un petit bâtiment qui a l'air un peu vétuste qui est construit juste au bord de l'eau. Il y a une barge faites de pavés retenus ensemble par des linteaux de bois, qui permet de traverser la Seine. Je suis un peu étonné que quelque chose d'aussi lourd puisse flotter. Je monte dessus. Il y a un genre de mécanisme qui permet de faire partir la barge et la faire aller sur l'autre berge, il faut actionner une manivelle. Clément commence à faire tourner la manivelle, la barge commence à s'éloigner, mais au bout de quelques minutes, à force de tourner la manivelle, Clément tombe à l'eau. Il essaie de se raccrocher à la barge mais n'arrive pas à remonter dessus.
Je vais dans l'eau moi aussi. En fait il y a plein de monde. Il y a des lignes flottantes comme dans les piscines pour séparer les couloirs. Des gens pratiquent un genre de sport bizarre, ils se servent du dossier d'une chaise en bois pour faire flotter l'avant de leur corps et avancent en battant des pieds dans l'eau. J'essaie de passer mais ils vont tous dans le sens qui m'est contraire.

vendredi 23 mai 2014

Rêves du 22 au 23 mai 2014

Je suis dans un aéroport. Je suis avec Clément, dans la salle d'embarquement. Le plafond est une immense verrière de forme arrondie, donc on voit bien l'extérieur. Il y a une tempête de neige qui fait rage dehors. Deux étudiantes qui attendent elles aussi leur avion sont assises à côté de moi. On discute, et je leur dis que ça me rappelle Boston pendant l'hiver 2012.
Soudain le vent devient si violent que l'on voit une tour de contrôle s'effondrer au sol et être recouverte de neige aussitôt. C'est la panique, les voyageurs commencent à évacuer le sas d'embarquement en criant ! On se dirige de façon désordonnée vers des escalators pour trouver la sortie, mais il y a un autre problème encore plus grave ! Je ne sais pas pourquoi exactement, mais il n'y a pas que la tour de contrôle qui a été touchée, il y a eu aussi probablement un problème avec l'endroit où on stocke les bagages, car l'aéroport est envahi de bêtes sauvages qui étaient destinées à voyager dans la soute d'un avion: des lions, des tigres, des loups et des hyènes. Ce qui accroit la panique chez les voyageurs cherchant à s'échapper, moi y compris.
On me fait comprendre qu'il ne faut surtout pas les regarder dans les yeux si on ne veut pas se faire attaquer. Je prends un escalator dont la sortie est gardée par des hyènes et j'essaie de détourner mon regard pour ne pas les provoquer. Il y a des enfants qui se cachent le visage dans leurs mains. Finalement j'arrive à les dépasser. Il faut ensuite prendre des escaliers pour descendre de niveau. Je dépasse tout le monde et j'arrive dans une zone que les animaux n'ont pas encore investie.
Plutôt que d'attendre leur arrivée, je décide de descendre encore d'un niveau pour me rapprocher de la sortie. Dans l'escalier qui me mène au niveau inférieur, je trouve un petit placard qui se révèle être en fait des toilettes. Sans réfléchir, je m'y engouffre et verrouille tout de suite derrière moi, étant persuadé que désormais je suis à l'abri des bêtes sauvages.
J'ai à peine le temps de reprendre mon souffle que j'entends une présence derrière la porte, des pas qui se rapprochent lentement. Mon angoisse augmente. La présence s'arrête derrière la porte, je maintiens le verrou fermé de toutes mes forces. Mais je vois que c'est la poignée de la porte qui bouge, pas pour s'ouvrir, au contraire pour se fermer, la personne derrière la porte est en train d'utiliser une clef pour verrouiller la poignée de porte. Une voix grave ricane et me dit "Maintenant c'est toi qui est pris au piège...." .


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C'est mon anniversaire, ma mère a organisé un repas. Il y a un genre de sauna. dans lequel je me retrouve. Un autre mec est là, torse nu. Il me fait penser à un ancien collègue de travail. Il essaie de me draguer, j'ai pas vraiment envie de coucher avec lui mais bon je me dis que je peux être sympa et le remercier de m'avoir prêté attention. Je me lève du banc où j'étais allongé et là je remarque que je fais au moins 20 cm de plus que lui... Et il a des yeux bizarres. Il me dit qu'il est trisomique. Je suis un peu gêné car je m'étais toujours dit que coucher avec un handicapé ça m'exciterait mais là pas du tout en fait.
Je retourne à l'anniversaire. Il y a donc quelques personnes invitées dont ce mec que je connais mal. Et quelques membres de ma famille, mon oncle et ma tante, ma mère qui a organisé le truc, ma soeur, mes cousines. Je me dis que c'est à chier comme anniversaire et j'aimerai ne pas être là. Ma mère veut me placer entre ma tante et mon oncle mais je râle car je n'ai aucune envie d'être à côté d'eux, je n'ai rien à leur dire. J'en profite pour glisser un mot à ma soeur, je lui dis de me rappeler de lui parler de mon projet de film, j'ai eu une idée géniale et je veux lui en parler (je fais référence à mon premier rêve).
Finalement on s'asseoit tous autour de la table mais il manque des couverts et des plats. Je réalise alors que je possède une baguette en bois qui me permet de faire bouger les objets à distance. Je me concentre très fort et je parviens à ramener des fourchettes et des couteaux depuis la cuisine. Mais ça me demande un effort de concentration intense à chaque fois et plus je m'en sers et plus mon pouvoir faiblit. Dommage...

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Je travaille à nouveau dans les fleurs. Ou bien je suis en cours, je ne sais plus exactement. En tout cas il faut créer de petites compositions florales. Il faut prendre des touffes d'herbes, les diviser et replanter chaque brin dans un petit monticule de mousse, en laissant deux trous à côté du brin pour que d'autres tiges puisse émerger. C'est fastidieux et pas très intéressant. Il y a un mec mal rasé qui nous supervise. Il critique notre travail et le trouve nul. Ca m'énerve. Il décide de partir du travail avant que nous ayons fini mais je me méfie car j'ai des objets de valeur dans mon casier. Je mets donc les bouchées doubles pour finir en vitesse et aller vérifier ce qu'il se passe du côté des casiers. Je ne m'étais pas trompé ! Je surprends le mec en train de fouiller dans mon casier !
Je l'interpelle et il s'arrête aussitôt mais ne semble pas vraiment gêné de son attitude et s'en va d'un air nonchalant. Je peux voir par la fenêtre qu'il rejoint deux autres types dans la rue.
Je vais me venger, je prends dans mon casier des montres Armani, et j'en mets une à chaque doigt pour me créer un genre de poing américain. Ainsi armé je m'apprête à descendre dans la rue pour lui casser la gueule avec les objets qu'il convoitait. Mais avant je préviens la responsable de la boutique de la tentative de vol: c'est une petite vieille qui est assise dans une fauteuil à bascule, et qui regarde par la fenêtre, drapée dans une robe violette, avec une coiffe bizarre qui fait penser à celle de la grand-mère de Marjory dans Game of Thrones. Elle ne semble pas trop prêter attention à ce que je lui dis.
Je vais dans la rue à la rencontre des trois types dont le voleur. Visiblement ce n'est qu'un pion, son chef est à moitié allongé sur un muret vêtu d'un blouson noir. Il a aussi un énorme pistolet futuriste qui semble être fait en plastique violet. Je lui parle du vol mais il me répond que c'est le taf du mec, dont le prénom est Stéphane. Je lui réponds que je comprends mais que je n'aime pas la manière dont il nous traite au travail. Et que je ne comprends pas pourquoi il est notre supérieur alors qu'il ne sait rien faire de plus que nous. Le mec au pistolet me demande si je ne sais vraiment pas pourquoi il est mon supérieur. Je commence à chercher et admettre que Stéphane est plutôt mignon et que ça pourrait être la seule raison valable.

samedi 22 mars 2014

Rêves en vrac février 2014


Je reprends mes cours d'archi, mais je suis contraint d'arrêter quand je réalise que décidément moi et les mathématiques, ça ne peut pas le faire ! Je choisis donc une autre orientation professionnelle et décide de suivre des cours d'assistant social.
Pour mon premier stage on décide de m'envoyer dans la demeure d'une jeune couple fortuné, dont le petit garçon a quelques retards d'apprentissage. J'arrive alors qu'ils se préparent à célébrer quelque chose le soir. Le thème de la soirée est le bleu, du coup tous les invités sont habillés en bleu, mais pas un bleu marine rasoir, plutôt bleu Klein, la table et les plats sont décorés de bleu eux aussi, jusqu'au petit garçon que je dois garder qui porte un costume de marin bleu, un peu comme celui de Donald.
Je m'approche de lui mais il s'enfuit dans la cuisine. La cuisinière semble particulièrement indifférente face à son sort, et je le retrouve en train de se balancer, nu et s'étant chié dessus. Il faut donc que je le lave avant de le rhabiller pour qu'il puisse être présenté aux amis des parents et faire bonne impression, mais il refuse que je m'approche de lui. Il s'enfuit et se rhabille tout seul, mais en étant toujours sale, et je crains que l'on découvre qu'il s'est chié dessus.
Le dîner se termine et je vois que le père possède la photo d'un cheval de course prise lors d'un match de polo. Il y a des gens qui posent à côté du cheval, dont moi. Je le lui dis, pour qu'il réalise que je fais aussi un peu partie de son milieu, mais il a l'air de ne pas trop y prêter attention et je me dis intérieurement que ces gens se foutent de ce que j'ai pu être avant. 
Je repars m'occuper du garçon. La mère me rejoint et on décide de jouer à chat pour attirer le garçon loin des invités et l'inciter à monter à l'étage.

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Je visite le nouvel appart de Papa à Berlin. Les murs sont en béton brut, c'est assez joli et surtout il y a une immense baie vitrée qui fait littéralement tout le contour de l'appartement. Mais Papa veut mettre des carreaux de mosaïques sur la baie vitrée et ne laisser que quelques carrés de lumière. Je trouve cette idée grotesque et m'énerve face aux décisions qu'il prend. 
Je réalise que je ne sais pas à quoi ressemble l'immeuble vu de l'extérieur et décide de sortir. La façade est celle d'un vieux bâtiment anglo-normand décrépi, on voit que certains colombages sont en train de pourrir. Mais c'est très joli tout de même, je commence à aimer de plus en plus cet endroit.
Il y a un autre bâtiment adjacent. C'est un hôtel en ruine. On dirait un bâtiment de la fin de XIXème délabré. Mon père me dit que l'hôtel fait partie du lot qu'il a acheté. Je suis extrêmement excité, car j'ai toujours rêvé de visiter une ruine. Le portail en fer rouillé est fermé par une lourde chaine mais je parviens à pousser la porte suffisamment pour que l'on puisse entrer.
L'intérieur est très différent, c'était en fait un ancien couvent. Les murs sont tapissés de boiseries anciennes. Il y a des objets divers ça et là. Je remarque sur un vieux guéridon une fiole remplie d'un liquide bleu turquoise, et qui fait quelques bulles. Je me demande de quoi il peut bien s'agir. Poussé par ma curiosité, j'en bois une gorgée. Rien ne se passe mais je me demande si c'était bien raisonnable de boire un breuvage qui était abandonné depuis je ne sais combien de temps, sans oublier que j'ignore tout de la nature du breuvage en question.

Rêves du 20 au 21 mars 2014


Je dois prendre l'avion avec Clément. Il nous a acheté deux tickets pour que nous partions en vacances et je suis content de quitter Paris.
A l'aéroport pourtant je rencontre un problème, je dois scanner mon billet mais aussi mon passeport et ma photo n'est pas valide, donc je dois prendre une photo avec la machine pour valider mon trajet.
J'essaie de me prendre en photo, ce n'est pas dur car c'est basiquement un selfie, mais impossible de trouver le bon angle. En plus sous certains angles, mon visage change, je deviens un mec différent, avec des yeux bleus notamment. Du coup la photo est refusée à chaque fois. Clément commence à s'énerver. Les gens derrière nous trépignent. J'essaie de reprendre d'autres photos mais un groupe de petites asiatiques font les marioles juste derrière moi dans le champs de vision de la machine.
Finalement je renonce face à ces difficultés et annonce à Clément qu'il devra prendre l'avion sans moi, que je le rejoindrai avec le prochain vol, le temps de prendre une bonne photo. Il n'a pas l'air ravi, et intérieurement je voudrai qu'il insiste pour que je vienne avec lui, mais il se résout finalement à partir sans moi. Quelque part je suis soulagé car comme ça je ne l'embarrasse pas plus longtemps et j'ai le temps de me concentrer sur cette satanée photo...

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Je suis dans un avion, nous sommes en train d'atterrir, je peux voir du hublot un magnifique paysage composé d'un océan turquoise au milieu duquel flotteraient quelques îlots tropicaux. Je suis avec mon père. Il me paye des vacances, nous sommes en Floride. En fait nous sommes à Disneyland. Le parc s'est étendu sur plusieurs îles, chaque île possède son propre hôtel, avec des ambiances différentes.
C'est vraiment un type de vacance que je trouve un peu cheap et bas de gamme, mais en même temps je suis ravi à l'idée de ne rien faire d'autre que de lézarder à la plage au bord d'une eau limpide.
Problème, mon père n'a pas réservé, la meuf de l'accueil nous dit qu'il ne reste quasiment plus de chambre. On accepte les dernières disponibles même si ce ne sont pas les meilleures, je suis un peu déçu, j'espèrais avoir le meilleur de ces vacances à la sauce Disney.

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Je suis chez ma mère, et je promène mes chiens. Il y a Nolka, Hélios et une nouvelle venue, un Terre-Neuve femelle que j'ai appelé bizarrement Golden alors qu'elle est toute noire.
Je pars les promener avenue Foch. C'est un peu difficile car les trois chiens ont trois rythmes différents. Nolka a du mal à nous suivre, il boîte lentement.
Finalement à force les chiens se séparent et je dois les retrouver. Je cherche Golden sous des voitures ce qui finit par me sembler absurde puisque je me rappelle que les Terre-Neuve ne peuvent pas se cacher sous des voitures. Je la retrouve, mais je réalise que Hélios a disparu.

mercredi 27 janvier 2010

Rêve du 26 au 27 janvier 2010

Dans un car avec des gens de la Villette. Ya M. Doulet, mon prof de dessin d'archi. Je me sens un peu honteux parce que je ne lui ai pas remis le dernier devoir à faire. Le car roule sur une route en pente à toute vitesse, ça fait un peu peur. M. Doulet me dit qu'il est blessé car on l'a traité de pédé. Je me demande bien pourquoi il me prend à part pour me dire ça... parce que je le suis? Je suis en train de me demander si je dois voir ça comme une forme de discrimination quand j'en conclus qu'il est peut être aller se confier à quelqu'un qui peut le comprendre.. Ca m'arrange car je le trouve mignon depuis le début de l'année... mais le rêve se brouille.

Suis chez moi pour le nouvel an. Enfin tout y est plus étroit. Du couloir je peux voir la rue. Je suis avec un type que je connais, Vincent D. je crois. On passe devant ce qui semble être le centre d'une organisation gouvernementale ou un truc du genre (des écrans partout avec un gros logo qui dit "EADS" ou un truc comme ça). Nous descendons l'escalier de l'immeuble, qui est bien plus imposant que l'escalier réel, tout en marbre blanc, des colonnes etc et bien plus vaste aussi; il y a une sorte de bagarre au rez-de-chaussée je crois. Quelqu'un casse une vitre de voiture dans la rue, il y a des éclats de verre partout, ça ne me donne pas très envie de sortir du coup. Je me dis que c'est dangereux, quelqu'un pourrait se blesser avec tout ce verre.
Finalement l'agitation gagne les étages, je me retrouve à remonter précipitamment l'escalier, et à tenter de m'enfermer chez moi.
Je repasse devant l'entrée du centre gouvernemental vu plus tôt. Je décide de l'explorer cette fois ci.
En fait il s'agit du centre de commande d'une organisation de super-héros. Je ne suis plus vraiment présent, mais plutôt spectateur et disséminé dans différents personnages. Il y en a trois. Un jeune noir aveugle qui possède un pouvoir qu'il contrôle mal, un vieux qui me fait penser à une sorte de mélange entre Gandalf et le professeur Xavier, et enfin un ou une troisième qui exhorte le jeune noir à ne pas se laisser faire.
Le vieux mentor (galdalf/xavier) engueule le jeune avec une voix dure dans les airs, ils flottent tous les deux, car il a tenté de se rebeller. Il lui dit qu'il peut se rebeller mais que ça ne change rien, qu'il l'aime toujours, qu'il est juste peiné de ne pas le voir suivre le bon chemin. En fait j'ai l'impression de voir ce que pourrait sortir Dieu s'il pouvait parler, une histoire d'amour inconditionnel, mais pas amour où on l'entend la plupart du temps.
Pendant ce temps, la troisième personne qui est restée au sol crie au jeune de ne pas se laisser faire, de résister. Hésitant au départ, le jeune finit par se laisser convaincre et réussit à canaliser son pouvoir jusqu'à faire exploser en milliers de particules le vieux.
J'ai zappé la suite.

vendredi 15 janvier 2010

Rêve du 14 au 15 janvier 2010

Une course poursuite dans un étrange immeuble. Je suis dans un genre de cage d'escalier et je saute de pallier en pallier, j'atterris sur les rambardes, etc. Le décor est en bois sombre orné de motifs néorenaissance. Je ne sais plus pourquoi mais mon but est de récupérer une bague appartenant à ma mère. Une fois celle-ci en ma possession, mon agilité se trouve décuplée, et je bondis à toute allure. C'est parfait car je peux ainsi semer facilement mes poursuivants (dont ma mère possiblement). Je me saisis d'un câble de téléphérique et glisse en m'y tenant par les mains au dessus d'une grande vallée verdoyante.

J'arrive à Marseille, pendant la seconde guerre mondiale. Je cherche Maminou, et finit par la trouver. Elle m'explique un peu de quoi sa vie était faite à l'époque. Je n'imaginais pas qu'elle flirtait avec autant de garçons. Visiblement elle connaissait mon grand-père déjà à l'époque ce qui m'étonne un peu, mais il n'est pas là. Je crois me rappeler qu'il est au Canada.

jeudi 14 janvier 2010

Du 13 au 14 janvier 2010

Suis au Racing avec mon td d'histoire de la ville. Au départ je ne saisis pas trop pourquoi on visite cet endroit quand je remarque que le bâtiment principal possède en fait les façades des Tuileries. Quand l'Etat a vendu les pierres, certaines ont été réutilisées dans d'autres bâtiments explique le prof.
Évidemment l'intérieur n'est pas du tout de la même époque, mais étrangement il est en ruine lui aussi. Je pars à l'aventure, explorer des pièces remplies d'objets divers.

Me retrouve avec Axelle dans des grottes souterraines. Ya plusieurs portes, mais certaines sont gardées par des pièges. Elle veut toujours emprunter les portes les plus sûres, mais je suis persuadé qu'il y a des trucs intéressants derrière celles piégées; sinon elles ne seraient probablement pas aussi bien gardées. On essaie de franchir un genre de passerelle étrange. Elle est extrêmement fine, et forme un arc de cercle, mais dès que l'on s'avance dessus, elle plie sous notre poids, il s'agit donc de ne pas l'amener jusqu'à son point de rupture. Pour ça, on a un genre de bottes magiques qui réduisent le poids autant qu'elles augmentes l'agilité. Ce sont un genre de boots en cuir bleu-gris. Je les trouve un peu trop féminines pour moi et surtout elles sont trop petites.
Finalement on échoue et n'arrivons pas à atteindre la porte.

Suis dans un train, il y a des gens assis, mais je ne sais plus trop pourquoi je suis là ou bien où je me rends.

samedi 2 janvier 2010

Fragments du 1er au 2 janvier 2010

J'ai en ma possession un sac rempli de billets et de pochons de c, problème le sac ne ferme pas. Et voilà que je croise un groupe de policiers sur mon chemin, ce qui m'angoisse pas mal. Heureusement ceux ci ne voient rien.
Je retrouve mes complices. Le sac contient 56000 euros. Je me dis qu'avec cette somme je devrais être à l'abri du besoin pour quelques temps. Mais ya des dissensions dans notre groupe. On est dans une sorte de prison je crois, faut s'échapper, mais on ne sait pas trop comment faire. Ya un personnage de la série Oz: Abedisi, il me fait assez peur vu ses antécédents dans la série. J'essaie de régler le problème en le frappant sans prévenir avec un marteau, mais ce mec est une telle montagne de muscles que ça ne lui fait rien. Il en profite pour me donner un coup de poing et je commence à vraiment flipper vu qu'il fait deux têtes de plus que moi. Je lui dis de laisser tomber, ça ne lui a même pas fait mal, pourquoi se venger sur moi qui suis presque insignifiant comparé à lui? Finalement les autres l'exhortent à lâcher l'affaire et il se détourne de moi. Suis assez intrigué par lui car par moment il parle tout à fait normalement, et à d'autres il se remet à parler avec l'accent afro-américain; je ne saisis pas l'intérêt de mixer les deux.
Ya un autre type avec nous dont je pensais qu'il ne resterait pas en vie très longtemps au début, et qui finalement s'impose comme chef de groupe.

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Suis avec un groupe, on porte des costumes bizarres. Une fille et un mec viennent de se rencontrer, et semblent se plaire. La fille est asiatique et ne parle pas très bien français, voire pas du tout, et elle une coupe au carré avec des cheveux teints en doré. Finalement elle doit partir. Je confie à une autre fille de notre groupe que de toutes façons les relations sentimentales n'ont jamais d'impact majeur sur les gens; au contraire elles confirment juste leurs convictions premières; les cyniques à force deviennent aigris et les amoureux déçus..

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Une histoire avec Christian B. que je croise alors que j'attends Ghislain quelque part. Il n'a pas changé, mais il n'a plus de boutons sur la figure donc on pourrait en déduire qu'il est un peu mieux. Il n'a pas l'air très intéressé par moi, et quand bien même il ne m'attire plus du tout, ça m'aurait flatté qu'il le soit. Je lui propose de bouffer au restau, mais faut que je prenne une douche avant je crois.

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Je suis à la plage, je mange un bout. La mer est d'huile, c'est assez bizarre. Il fait beau, je sens la chaleur du soleil sur ma peau, c'est très agréable tout ça. Je suis tellement heureux que j'en profite pour glisser à la surface de l'eau, comme un patineur sur glace pratiquement. J'en profite pour planer au dessus de l'eau, en me servant de courant d'air chaud pour m'élever de quelques centimètres dans les airs, au grand étonnement d'une petite fille qui se trouve sur la plage.
Puis comme d'habitude, je finis par perdre le contrôle et n'arrive plus à m'élever.

Un groupe d'étudiants s'approche; ce sont des élèves de seconde année de la Villette, je vois Pauline et Chloé et leur souhaite une bonne année. Ils ont des td visiblement, et doivent aller en cours. La plage a disparu et me suis retrouvé dans un bâtiment scolaire du coup.
Béatrice est là aussi. J'ose pas trop lui dire que j'ai séché mon partiel de maths. De toute façon elle a cours également.
Une policière débarque alors et veut me parler. Je n'aime pas trop ça mais soit... Elle voudrait fouiller mon ordinateur. C'est visiblement la fille d'un commissaire noir qui aurait enquêté sur moi. Son père s'est suicidé donc c'est elle qui reprend l'enquête. Je feins d'être désolé, alors qu'intérieurement cette nouvelle me réjouit. Mais je préfère ne pas trop l'exprimer en face de sa fille qui se trouve être membre des forces de police.
Elle désire donc fouiller mon ordinateur mais je ne sais pas trop pourquoi. Visiblement elle n'a pas besoin de me le dire. C'est assez étrange car elle est assez menue, et souriante et agréable, mais elle dégage une intense aura de menace en même temps. En tout cas plus je la vois sourire et plus elle m'est antipathique. Je suis toujours réticent car je n'ai rien fait de mal, mais elle ne lâche pas l'affaire. Je prétexte de devoir m'absenter quelques instants pour aller aux toilettes, afin de partir cacher mon ordi portable.
Pendant le trajet je me dis que c'est probablement parce que j'ai posté sur mon blog ce rêve à propos d'un sac rempli de billets et de cocaïne qu'on enquête sur moi, ce qui au passage me semble très injuste étant donné qu'il ne s'agissait que d'un rêve! J'ai vraiment rien à cacher dans mon ordi, c'est juste que j'ai aucune envie qu'on trouve mon dossier film porno, après tout c'est mon intimité, je ne vois pas pourquoi on fouillerait ma vie privée sans raison valable.
Je prends donc l'ordi sur mon bureau et cherche un endroit où je pourrai le dissimuler. Le mieux c'est de le confier à quelqu'un. Je pars chercher Béatrice à travers les salles de classes. Je me trompe deux fois et fini par arriver dans la bonne salle.
Mais elle refuse de m'aider! Elle me dit que d'un point de vue légal, je n'ai pas le droit de refuser, et qu'elle commettrait un délit en m'aidant. Je peux comprendre qu'elle n'ait pas envie de s'impliquer si c'est risqué pour elle, mais suis quand même déçu.

jeudi 31 décembre 2009

Rêve du 30 au 31 décembre 09

J'ai oublié où je suis au départ, mais je me souviens qu'il est question de téléportation. Un engin particulier, qui ressemble vaguement à un fauteuil permet de dématérialiser quiconque s'assoit dedans au bon moment et de l'expédier ailleurs. Je sais que je cherche à quitter l'endroit où je me trouve précipitamment et en voyant la machine, tente de m'en servir mais comme je sens que je fais les choses de travers, je m'extrais de l'engin avant d'être totalement dématérialisé. C'est un peu trop tard car je m'effondre au sol, je ne suis plus complet.
Heureusement, je me trouve dans l'hopital de la série Scrubs! Des médecins arrivent pour m'examiner dont JD le perso principal de la série et son supérieur grincheux (connais pas trop les noms, jamais vu cette série). JD est devenu un médecin à part entière maintenant et je me demande bien à quoi va servir l'autre du coup s'ils font une autre saison.
Ya aussi Rachel Griffith en médecin, l'actrice qui jouait Brenda dans Six Feet Under. Elle ressemble beaucoup à JD et je me dis qu'elle a vraiment mal vieilli depuis l'époque de l'autre série.
Enfin ya un mec blond très mignon; j'ai l'impression que je le connais déjà, mais je suis entraîné ailleurs. Il faut que je le retrouve.
Me retrouve en bas de l'immeuble, faut que je prenne l'ascenseur pour remonter à l'étage studio/hôpital. Dans l'ascenseur il y a une fille. Elle fait s'arrêter l'ascenseur à un étage vide, en fait on voit le temps qu'il s'arrête comme un grand lobby circulaire, très haut de plafond, le sol est dallé, les murs recouverts de bois au ton caramel, et avec de très grandes portes dont le cadre est en métal argenté martelé. La fille me dit que c'est l'étage royal et que c'est son étage favori. J'ai envie de lui dire que le décors est très art déco, mais j'hésite parce que je n'ai pas envie de me la péter.
Finalement on discute un peu pendant le reste du trajet en ascenseur, elle va retrouver des amies, elle a l'air assez sympa finalement, mais j'ai des appréhensions au sujet de ses copines. Quand nous arrivons mes inquiétudes se confirment; on arrive sur une sorte de terrasse gigantesque où se trouvent un bar, un restaurant, etc. Ses amis sont presque à l'attendre à la sortie et se mettent à glapir de joie en la voyant, et elle aussi répond avec les mêmes hurlements hystériques; je passe mon chemin rapidement.

Je me dirige vers le restaurant plutôt, et vois ce qu'il me semble être des acteurs autour d'une table. Je me dirige vers eux pour leur demander s'ils ont vu le mec blond qui me plaisait, mais en m'approchant je réalise qu'il s'agit plutôt de membres de l'équipe technique de la série. En fait toute l'équipe semble là. Je vois le blond un peu plus loin. Me dirige vers lui et on discute gentillement. Je lui dis que maintenant je comprends pourquoi ya toujours autant de monde au restau dans les séries et films si en fait on filme les équipes au moment de déjeuner.
Un autre type pas trop mal me regarde, je me dis que c'est mon jour de chance, mais à voir la tête du blond quelque chose cloche. Il me demande si j'ai le droit d'être sur le plateau en fait.

Un peu brouillé ensuite, mais je pense que je suis obligé de quitter pour la seconde fois le mec blond.
Me retrouve à faire des courses, et il y a quelqu'un qui m'accompagne, peut être Axelle.
Le caissier du magasin est un grand brun très sympathique à regarder lui aussi. Pendant que je paie je lui dis que je suis prêt à payer pour lui également. Il n'a pas vraiment l'air offusqué, il me répond que c'est la première fois qu'on est aussi cash avec lui. Je lui dis que c'est parce que j'ai vraiment envie de coucher avec lui et que je n'ai pas envie de perdre mon temps en interactions humaines, ce à quoi je suis particulièrement nul de toute manière. Et là je remarque le blond de toute à l'heure qui était à côté. Il a l'air un peu déçu. Je me maudis intérieurement puisque j'ai probablement fait foiré toutes mes chances avec lui.

Suite très floue, je suis dans un appartement, il est question de se déguiser pour le 31, avec Axelle on cherche des trucs à mettre dans nos cheveux. J'ai arrangé les miens de telle sorte qu'ils ressemblent à une grosse touffe blanche et pâteuse. Elle a fait la même chose mais en noir, avec une mèche rouge. Il nous manque de la crème pour continuer à en tartiner nos cheveux, on l'a égarée.
Le bâtiment dans lequel on se trouve est finalement victime d'un attentat terroriste, des islamistes trouvaient que c'était une insulte car il avait une forme de croix. Je visualise mentalement les plans dans ma tête et me dis que ces terroristes sont vraiment très susceptibles car le bâtiment avait très vaguement la forme d'une croix. Faut quand même que je prévienne les autres que tout va s'effondrer. Mais finalement quand j'arrive, le plancher est toujours là. Notre immeuble n'a pas dû être touché finalement.

vendredi 11 décembre 2009

Rêve du 11 décembre 09

Suis avec Christophe dans un resto.
Puis suis un voleur dans un jeu vidéo. Avec mon groupe on tombe sur une armure enchantée. Faut en récupérer toutes les parties. Une fois réunies l'armure prend vie; je vais me spécialiser au corps à corps afin de porter l'armure plus tard.
Suis dans le métro avec un mec blond. C'est cool car il a accepté qu'on dîne ensemble. Soucis: j'ai déjà plus grand chose à lui dire pendant le trajet. Je me dis que le dîner va être très long. On se retrouve assis dans le même restaurant que celui du début. Il est vide, nous sommes les seuls clients. Je pense que je vais donner une mauvaise image de moi si les serveurs voient que je me pointe régulièrement avec des mecs différents à ma table. Je commande pas mal d'alcool histoire que la conversation soit plus aisée, et j'entends un maître d'hôtel et ce qui semble être la sommelière, assis à une table derrière nous, en train de discuter. La fille parle de plats intermédiaires. Ce dont elle parle a l'air bon, donc j'interromps la conversation pour lui demander de quoi il s'agit mais elle m'ignore. Je me dis que certes c'est grossier d'écouter les conversations d'autrui mais qu'ils ont un sens de l'accueil particulier ici.
Finalement j'ai bu trop d'alcool, tout devient très flou.

Une histoire de voyage dans le temps ensuite. Un paysage apocalyptique, mais il n'en a pas toujours été ainsi, un peu dur à décrire. Des espèce de montagnes recourbées, mais qui explosent en fonction de ma destination dans le temps.

Suis avec des gens de la Villette, on est dans un monde médiéval. On tombe dans une embuscade mais les assaillants sont mis hors combat rapidement, puis nous prenons la direction d'anciennes ruines. Une espèce de bâtiment en forme de cercle, une ancienne place forte, ou quelque chose de ce genre. Des monstres rodent dans les parages. On ne peut d'ailleurs pas revenir en arrière, il faut obligatoirement avancer pour aller vaincre les monstres.
La cour de la tour était autrefois recouvert d'une verrière. J'ai une discussion à propos des verrières du coup, avec images de la galerie Vivienne qui s'imposent dans mon esprit.
Une fois sortis de là, nous arrivons à un petit village où nous sommes accueillis. Ya d'autres personnes de la Villettes.
Ca se tranforme en soirée. Il faut préparer plein de nourriture car c'est l'anniversaire du père de Caroline et il a prévu les choses en grand.
Puis Pauline me propose de la suivre, et nous partons en voiture. Je commence à penser que j'aurai peut être mieux fait de refuser car nous sortons de Paris et que je ne sais pas comment je vais faire pour rentrer.
Finalement on arrive à une autre soirée, un autre anniversaire, celui d'une fille de la Villette visiblement, dans un restaurant au décor assez moderne. Mentalement je fais un plan du resto en pensant à l'organisation de l'espace.

mardi 13 octobre 2009

Rêve du 12 au 13 octobre 09

Je suis chez moi, dans ma chambre. Il y a quelqu'un avec moi, une fille, mais je ne sais pas exactement qui, une amie probablement.
Je me dirige vers ma salle de bain, je sens qu'il y a un truc qui cloche avec ma main droite. On dirait que quelque chose grouille dedans. Effectivement, il y a une sorte de vers blanc qui sort de ma paume. Je suis dégouté et nerveux mais bizarrement pas aussi effrayé que je devrai l'être. Je montre ça à mon amie, je lui dis qu'il y en a d'autres. Et en effet des tas de filaments blancs s'échappent de ma peau, comme si on avait pressé de la crème fraîche à travers une passoire.
Je les enlève, tout ceci m'inquiète, d'autant que je sens que ce n'est pas fini. Je vois maintenant des mouvements sous ma peau. Je frappe la paume de ma main contre le rebord du lavabo, en espérant que cela tuera les vers, mais en vain; quand je regarde ma main, des sortes de cloques rouges se sont formés et même des yeux! Oui on voit comme des yeux de poissons qui sont apparus dans ma main! Je me sens extrêmement tendu: de plus en plus angoissé à l'intérieur, mais arborant le calme à l'extérieur. Quand je regarde à nouveau, ma paume est juste rougie, et j'y vois plein de points noirs. Je me dis que les points noirs sont sûrement des endroits d'où les vers sont susceptibles de sortir. Je réalise avec horreur que j'ai peut être des points noirs ailleurs sur le corps, ce qui signifierait que les vers ont voyagé sous ma peau pour s'établir dans d'autres zones de mon corps...

Je me réveille très rassuré en découvrant mes mains intactes.

lundi 21 septembre 2009

Rêves du 21 septembre 09

Maman entre dans ma chambre pour me réveiller. Il ne faut pas manquer ma rentrée! Purée suis sur le cul, elle est revenue des Etats-Unis uniquement pour ça... A bien y regarder, elle a quelque chose d'étrange: une coiffure qui non seulement est bizarre en soi, mais qu'elle ne porterait jamais (ses cheveux sont séparés en mèches bouclées, avec des petites paillettes et des petits médaillons et chainettes dorées partout sur la tête). Tout ça est trop improbable pour être vrai... et me réveille.
....

Je suis dans le métro. Je désire rentrer chez moi et dois effectuer un changement à Charles de Gaulle - Etoile. Je cherche la sortie mais on dirait que la station toute entière est en travaux. Le tunnel qui mène vers les escalators est en réfection, il est plein de sable, on ne distingue plus les murs tant il y en a. Je me dis que grimper sur du sable meuble doit être un peu périlleux et qu'il y a forcément un autre endroit où aller.
Je suis donc le flot des passagers qui se dirigent vers une nouvelle partie de la station rénovée: c'est un grand hall, construit en pierre de taille en apparence, mais l'architecte a voulu les faire ressortir, donc les surfaces ne sont pas lisses. Tout a été verni également, ce que je trouve un peu bizarre, et il y a d'immenses piliers dont les chapiteaux font penser à ceux des colonnes égyptiennes. Le tout est un peu bizarre parce qu'on retrouve aussi des éléments très modernes comme les parapets ou les escaliers/escalators, le métro lui même qui est automatique. Enfin pourquoi pas, me dis je, au moins ça a l'air propre, mais pour combien de temps?
Un bus fait la navette jusqu'à ma destination. Mais le chauffeur décide de passer par le bois de Boulogne, ce qui m'ennuie un peu, car je n'aime pas cet endroit. Les autres passagers semblent plutôt contents de la balade. Il y a parmi eux un type roux, mais pas très beau, et d'autres hommes dont un qui semble avoir juste une barre de cheveux sur la tête. Ils ont dû se rencontrer à une soirée, mais ne se connaissent pas bien.
On croise sur notre route une femme noire qui reste l'air hagard sous un pont à patauger dans l'eau. Ma première pensée est qu'il s'agit d'une prostituée, mais je m'en veux d'avoir pensé à ça tout de suite. Nous dépassons aussi un groupe de femmes et d'enfants ou plutôt jeunes adolescents noirs, qui marchent sur le trottoir. Ils ont l'air tous pauvres. Encore une fois je me dis que si ça se trouve les jeunes sont obligés de se prostituer. Et je m'en veux d'avoir des pensées aussi sordides, peut être que ce sont simplement des mendiants.
Le bus semble faire une pause près d'une cascade dans le bois de Boulogne. On y voit des enfants en maillot de bain grimper sur les rochers. J'ai une pensée pour le blog de Boulet, où il raconte toutes les choses dangereuses qu'il faisait étant petit tandis qu'on s'affole d'un rien de nos jours. Mais là les enfants ne se jettent pas dans l'eau, ils se jettent sur d'autres rochers, ce qui me rend un peu perplexe. Les enfants continuent ce manège, on commence à voir des marques rouges sur leur corps à force de se jeter sur les rochers.
En les observant je me dis que c'est assez étrange de penser que ces enfants au corps encore mal proportionnés, et tout faibles deviendront un jour des hommes normaux. Enfin peut être pas tous, et je me sens jaloux de leur avenir potentiel. En regardant un peu mieux je vois des poils sur le torse de l'un, et des poils dans le dos d'un autre. Je suis choqué, la puberté semble commencer très tôt de nos jours, ils ressemblent vraiment à des gosses d'à peine dix ans.
Un des passagers va vers l'enfant qui a un début de pilosité dorsale, lui a une grosse barre de poil qui lui recouvre intégralement le haut du corps, ça doit être son père. Le type qui parlait avec le mec roux s'en va aussi, il demande son prénom au roux, qui semble rechigner à le lui donner, et s'en va donc sans se retourner. Je lance un petit "Bye" de politesse, mais à vrai dire j'ai surtout hâte de rentrer chez moi.
Le bus nous dépose sur les Champs Elysées. Le mec roux me demande où est la ligne 61. Je lui demande "pour aller où?" en espérant qu'il me sortira "je ne sais pas", histoire que je puisse enfin caser la réplique du chat de Cheschire que j'affectionne tant. Mais il grommelle quelque chose et se casse, et me retrouve seul sans avoir pu faire le malin. Bon c'est pas très grave, il était moche de toute façon.
Le chauffeur du bus arrive, suis assis à sa place. Je ne veux plus prendre ce moyen de transport, je décide de descendre pour prendre le métro et enfin rentrer chez moi.

mardi 15 septembre 2009

Rêves du 14 septembre 09

Je suis avec Béatrice. On discute de sa chambre. Au bout d'un moment je réalise que nous ne parlons pas du même endroit elle et moi; je lui dis que pour moi sa chambre c'était celle du 9ème et non celle de chez ses parents. J'ajoute que j'ai fait un rêve où j'imaginais sa chambre différemment: elle était au centre de l'appartement, et un couloir l'encadrait, il y avait deux entrées.

Je me retrouve à Verbier je crois. C'est un peu flou, mais je suis en compagnie d'amis de ma mère et de leurs enfants. On discute un peu mais je n'aime pas trop ça, car les enfants ont plutôt réussi ce qui me complexe. Nous sommes autour d'une piscine. L'ambiance est étrange car à part la lumière bleutée qui émane de l'eau, nous sommes dans l'obscurité. Soudain un tentacule s'empare de Jonathan, le fils des amis, et l'emmène sous l'eau où il se fait avaler par la bouche d'un monstre hideux que je n'avais pas vu jusqu'ici: on dirait un peu la créature cthulhienne qui garde l'entrée de la Moria dans le Seigneur des Anneaux, un genre de pieuvre géante, "avec une bouche en forme de sphincter" me dis je intérieurement en repensant aux commentaires du film. Et effectivement ya cette bouche qui s'ouvre un peu comme un genre d'anus plein d'hémorroïdes, mais qui possède des dents également. J'ai la certitude que les personnes avalées ne sont pas mastiquées, mais la présence des dents me fait un peu douter. Étrangement, je ne suis pas autant effrayé qu'on devrait l'être quand on est à quelques mètres d'une telle créature. Finalement le monstre se dissout, comme s'il avait été fait de fine poussière et qu'un coup vent venait de souffler dessus. Je ne m'attarde néanmoins pas trop dans l'eau car j'ignore totalement pourquoi le monstre vient de disparaître et je n'ai pas trop envie d'être là s'il revient.

Je suis maintenant dans un bois. Je dois monte une petite colline. On doit être en automne, car les arbres sont parés d'ocre, de rouge, et autres teintes qui annoncent l'hiver. Sur le chemin un peu plus loin, je vois un ettin qui vient dans ma direction, donc je m'éloigne histoire de ne pas avoir à le combattre. L'ettin est un monstre de jeu vidéo qui ressemble à un géant à deux têtes pour info. Ça pourrait me faire de l'expérience supplémentaire, mais ça me semble un peu risqué.
Je vois au loin les Bois Électriques: il s'agit d'une partie de la forêt où les arbres sont tous noirs et dénudés, une aura sombre l'entoure, et on peut voir des éclairs et autres crépitements électriques passer d'un arbre à l'autre de temps en temps. Un endroit engageant! Quand on regarde l'autre partie de la forêt, avec sa lumière dorée, ses arbres aux couleurs chatoyantes, etc, on se dit que ça fait vraiment cliché, genre le choix des deux chemins, avec le chemin facile et le chemin ardu. Le chemin sur lequel je suis mène, plus haut, vers une ville, mais j'irai plus tard.
Je sors de la forêt pour me retrouver dans une espèce de petite prairie. Il y a des tas d'objets sur le sol, et même une petite structure. Je m'approche de la structure et essaie de prendre un objet mais je ne peux pas. Je comprends: il s'agit en fait de dépouilles de mobs qu'on ne peut pas looter. Un peu plus loin je vois une baguette magique plantée dans l'herbe. J'essaie de la prendre et rebelote! Je me dis que c'est finalement assez stupide ce système de dépouilles. Ok c'est bien joli de vouloir donner un cadavre aux mobs qu'on vient de buter, mais bon si le cadavre en question a une baguette magique, ce serait normal de pouvoir la prendre! Si c'était un vrai cadavre, je pourrai la prendre en tout cas. Alors que là c'est juste pour le plaisir des yeux...
Plus loin, sous une rangée d'arbre, je repère des voitures. Elles ont été abandonnées. Pourtant il s'agit de belles voitures, des mercédès pour la plupart. J'en vois une avec un design des années 70. Je repère même une cuisinière mercédès! Je ne savais pas que mercédès s'était diversifié dans ce genre de branche, mais pourquoi pas. Ça doit être une cuisinière de bonne qualité.

En marchant derrière les voiture, je vois un corbillard. Il me plaît bien, je me dis que ça doit être sympa de conduire ce genre de voiture. Enfin c'est un peu cliché tout de même, ça me fait trop penser à Six Feet Under... Je suis interrompu dans mes pensées par deux femmes qui discutent entre elles. Le corbillard n'est pas abandonné, ce sont les chauffeuses et elles discutent de leur prochain enterrement. Avec assez peu de respect pour le mort. Pourtant je sais qui va être enterré, c'est mon père. Et je n'aime pas qu'on parle aussi peu professionnellement à côté de ce qu'il reste de lui. Je m'approche et leur demande à voir le cercueil de mon père, en insistant bien sur le mot père pour qu'elles comprennent qu'il est temps d'arrêter de parler ainsi vu que je suis un proche du défunt. Elles amènent un cercueil vert émeraude. Je me dis que la forme du cercueil ressemble beaucoup à ce qu'on peut voir dans plein de séries américaine. C'est la première fois que j'en vois un cela dit, ça me fait bizarre. C'est ma mère qui a choisi la couleur verte, elle me l'a dit dans un autre rêve je crois. La voilà qui surgit juste derrière moi. Je lui demande pourquoi elle a choisi cette couleur et elle me répond que c'est ce que mon père aurait voulu. Je demande aux femmes si on pourra voir son visage pendant la cérémonie et elles me répondent que oui. Je me dis que je ne peux pas ouvrir le cercueil ici car avec tout ce soleil, une forêt pas loin etc, ça risquerait d'accélérer la décomposition. J'ai un choc en réalisant que tout ce qu'il reste de mon père est désormais dans cette boite verte. Ça me donne envie de pleurer mais je me retiens, comme si je n'avais pas envie que ma mère me voit.

lundi 31 août 2009

Rêve du 30 au 31 août 09

Suis à la campagne. Sur la terrasse d'une villa qui surplombe la mer. Je suis en compagnie du couple d'homos que connaissent mes grands-parents. J'ai plein de questions à leur poser. Suis très intrigué par le fait qu'ils soient ensembles après tant d'années. Déjà que c'est pas facile pour les hétéros, alors pour les homos...
Je vais parler à celui qui était le plus charismatique des deux. Je lui demande s'il aime toujours son compagnon. Il me répond que oui. Mais j'insiste. "Vous couchez toujours ensemble?" "Pas depuis longtemps"; "Mais les sentiments sont les mêmes après tout ce temps?" "Oh non ça varie, ça baisse en intensité..." Je lui demande s'il va voir ailleurs, il me répond que oui. Mais alors, il l'aime encore son mec? Bah finalement non, plus trop. "Mais pourquoi restez vous ensemble alors?" "L'habitude sans doute...". Je lui demande s'il ne serait pas plus libre s'il était célibataire du coup? Oui oui il le serait, ce serait peut être mieux... "C'est un peu un genre de boulet pour vous finalement?" Il n'aime pas trop le terme, un poids mort en tout cas. Si son mec était mort il serait finalement plus heureux. Je lui dis qu'il pourrait le brûler pour s'en débarrasser.
Je vais voir l'autre. J'ai un peu pitié du coup, car il semble toujours sincèrement épris de son compagnon. Je lui pose quelques questions aussi, mais j'ai la tête ailleurs. Le vieil amoureux me dit que parfois il a envie de tout abandonner. Je lui réponds de penser aux enfants et mentalement me dis qu'il ne peut pas en avoir... Hey! Mais c'est peut être un bon plan pour moi! La villa où je me trouve est à eux. Ok elle est située en Bretagne, mais c'est quand même un joli patrimoine.. Peut être que je pourrai sympathiser, histoire de m'immiscer dans leurs dernières volontés... J'hésite à l'interroger là dessus, mais j'y renonce aussitôt. Primo, je trouve ça trop vénal comme façon de penser, et deuzio ça risquerait de saborder toutes mes chances si je lançais une attaque aussi frontale. Il s'agit de se montrer sournois ici pour réussir...!

....

Une histoire avec un vieillard qui vit au bord de la mer. Il est dans un genre de chaise roulante antique, un plaid sur les genoux, les cheveux blancs lissés vers l'arrière, et le visage incroyablement ridé. Il semble très las. C'est un vieux comte je crois, il possédait une compagnie de chemins de fer. Tout n'était pas parfait, les wagons étaient anciens, mais c'était toute une région qui était fidèlement desservie depuis des décennies, voire plus sans doute, par ses soins.
Mais au nom de la libre concurrence, on le force désormais à vendre certaines lignes ferroviaires à d'autres compagnies. Et voici que les anciens wagons sont jetés à la casse pour être remplacés par de nouveaux qui n'ont pas leur charme. Des trains rapides qui ne s'arrêtent plus. Ou que certaines lignes se retrouvent fermées faute de rentabilité. Le vieil homme est conscient de tout cela, mais il n'a pas le choix, on lui arrache petit à petit des parcelles de son empire. Et lorsqu'il décédera, il sait que plus rien ne pourra empêcher les rapaces de se jeter sur les miettes.
Je ne suis pas vraiment acteur dans tout ceci, c'est plutôt comme si je lisais un article de journal. Tout cela me révolte en tout cas. Et me réveille!

Le rêve semble être inspiré par un article de journal que j'ai lu sur la "guerre" que mènent deux milliardaires anglais contre un vieux seigneur d'une île anglo-normande afin de prendre le contrôle de son île.

Rêve du 29 au 30 août 09

Je suis dans un genre de film, ou un jeu peut être, enfin de la fiction au sein du rêve. Il y a deux petits personnages étranges. Ils ont des traits caricaturaux et simplifiés, on dirait des personnages de comic-strip. L'un est rouge, avec un genre de robe de la même couleur, ornée de motifs triangulaires noirs ou jaunes, et porte une couronne pleine de piquants, l'autre est bleu, avec une robe bleue aussi, ornée quant à elle de motifs verts ou bleu foncé, de forme rondes ou triangulaires. Le rouge semble figé dans une expression de colère façon bd, tandis que le bleu affiche une expresion genre :o sur son visage. Ce sont deux rois qui commandent à des espèces de monstres qui ressemblent fortement aux "jojo's" de quand j'étais petit (les espèces de trucs en platiques qui ressemblaient à rien). Ils se disputent probablement le pouvoir suprême, vu que le rouge semble être en train d'hurler sur le bleu.
Le rouge s'appelle Mordo et le bleu Arda. Dans le rêve je les vois comme ça, figés, sans rien foutre, et me dis que c'est de la merde, parce qu'on voit clairement que le rouge est le méchant, et c'est trop stéréotypé dans leur manière d'être représentés, et puis Mordo et Arda... purée ils se sont pas foulés pour les noms: manque une lettre et t'as Mordor, et puis tu mets des a à la place des o pour avoir des sonorités plus gentilles... cool. Sans parler du graphisme simpliste... Et puis on comprend rien à l'histoire, vu que les deux protagonistes ne bougent pas. Sans parler des mobs qui ressemblent à des bouts de plastique. Je me dis que tout ça est véritablement de la merde.

Je me réveille et me dis que effectivement ce rêve était merdique et que remater intégralement le Seigneur des Anneaux, ça bousille le cerveau.

samedi 29 août 2009

Rêve du 28 au 29 août 09 (3)

Je veux acheter du lambrusco dans un grand magasin. Je prends la bouteille et passe à la caisse. Le caissier veut me faire payer 53€. Or j'ai vu que le prix de la bouteille était de 42€. Son comportement me met en colère, et je lui dis que ce genre d'attitude envers la clientèle est inadmissible mais il semble s'en foutre, et me propose de payer le prix régulier ou de laisser la bouteille. Je décide alors de payer le prix qu'il en voulait et d'aller ensuite le dénoncer auprès de la direction du magasin afin de le faire virer. Je lui annonce même mon projet, mais il reste impassible.
Je sors à la recherche du département de la direction du magasin.
Je tombe sur une sorte de grand hall, tout en marbres de différentes couleurs, des personnes en habits de cocktails discutent autour d'un bar. Ce doit être un genre d'évènement privé. Je me fraie un passage à la recherche d'un responsable. Je tiens toujours ma bouteille de lambrusco et inconsciemment, je le l'ouvre et en boit quelques gorgées. Puis je réalise ce que j'ai fait: on ne pourra plus me l'échanger désormais, mon plan semble tomber à l'eau. J'essaie de la rebouchonner tant bien que mal, avec un succès très limité. J'approche des hommes habillés en costume, l'un d'eux me redirige ailleurs. Au bar je crois une grosse femme, qui ressemble à un mélange entre un troll et un drag tant elle est bouffie et maquillée. C'est une amie de ma grand-mère qui me reconnaît et commence à me coller. Je n'arrive plus à m'en débarrasser, mais en profite pour lui expliquer mon problème.
Elle m'emmène dans une autre partie du magasin, où se trouve également un bar, mais plus petit cette fois ci. Tandis que nous discutons, elle saisit ma bouteille mal refermée et du vin coule sur son col. Je me sens atrocement gêné; à cause de mes conneries j'ai abîmé les vêtements de la seule personne qui était disposée à m'aider. Elle ne s'en offusque pourtant pas, et garde sa bonne humeur. Le barman rigole doucement, et je le comprends, c'est vrai que tout ça ressemble à une suite de gags. Je ne sais plus comment ça se produit, mais la femme en revenant, manque par inadvertance de me couper le bras avec un couteau à pain. Oui décidément, tout ça est vraiment trop absurde, même pour moi.

Rêve du 28 au 29 août 09 (2)

Ghislain m'a invité chez lui, ou plutôt chez ce qui semble être chez ses parents. En guise de remerciement, j'apporte une fleur, un genre d'orchidée blanche.
Mais je ne suis pas seul chez lui. Visiblement il a également invité un mec assez mignon et plus jeune qui se prénomme Arthur. Et très vite il fait tout pour être seul avec ce mec, tandis que moi je ne sais pas trop quoi faire de mon côté, me sentant assez con. Rapidement, il passe aux choses sérieuses avec cet Arthur, mais tout en m'ignorant royalement. Il commence à l'enculer sur la table de son salon.
Je ne sais toujours pas où me mettre. Faut il les laisser? Mais alors pourquoi faire ça juste en face de moi étant donné que j'ai un gros plan sur le cul de Ghislain qui fait des va-et-vient... Ou participer? Mais tout ça ne m'excite pas vraiment. Finalement je me laisse tenter, et essaie de sucer le mec qui se fait prendre, mais au moment où je mets sa bite dans ma bouche, je sens comme un goût âcre; il a déjà joui, donc plus la peine de m'investir. Au final je me sens très con.
Ghislain n'a pas terminé de jouer, il entraîne son pote sur la terrasse de son appart, en me faisant comprendre de les laisser tranquilles.
Tout ça finit par m'énerver, j'aimerai profiter de la terrasse aussi, il y a une très belle vue sur la gare de Lyon éclairée de nuit. Et en y réfléchissant, je ne lui ai jamais demandé de m'inviter, alors pourquoi me traiter de cette façon? Ces pensées finissent par me mettre d'humeur rageuse, et je décide de foutre le camps. Je me retourne juste pour lui crier "Fils de pute!", ce qui me semble être l'injure suprême sur le moment.

Mais lorsque j'approche de l'entrée, je vois un tapis mal disposé sur le sol. Je ne sais pas pourquoi, mais j'essaie de le remettre droit. C'est là que je vois une sorte de gros scarabée qui se dirige vers moi. Je hurle, et cours me réfugier dans le salon. Ghislain et son pote ne sont plus sur la terrasse, et Ghislain me regarde d'un air goguenard. J'ai à peine le temps de lui mentionner le scarabée, que je vois d'autres insectes surgir. Une mouche qui doit faire 40cm de longueur monte sur la table du salon. Je vois un énorme livre, à la reliure de cuir très ouvragée, et suis tenté de m'en servir pour l'écraser, mais je crains de la rendre agressive si je rate mon coup.
L'autre soucis, c'est que je suis le seul à voir ces insectes. Ghislain me prend pour un mythomane et se moque davantage de moi. Je ne comprends pas pourquoi je suis le seul à voir ces horreurs quand je repère la fleur que j'avais offerte: elle a changé! On dirait une marguerite dont les pétales seraient rouge et jaune désormais. Je comprends tout: c'est une fleur hallucinogène et c'est son pollen qui m'empoisonne l'esprit!

J'explique tout ça aux deux autres, seul le plus jeune semble craindre le pouvoir de la fleur.
Je regarde par la fenêtre et une vision s'impose à moi: le décor des rues et des immeubles se brouille pour former l'image kaléidoscopique d'une espèce de rosace de cathédrale, mais ici, la rosace est formée par des sculptures de corps humains tourmentés, qui se griffent, s'étreignent ou s'agrippent pour ne pas tomber. Le tout a une allure cauchemardesque, surtout que les corps semblent se mouvoir. Cette image remplit tout mon champs de vision, et je fuis en hurlant pour lui échapper.

Rêves du 28 au 29 août 09 (1)

Je suis dans un bar en compagnie d'Axelle ou de Béatrice; une présence féminine familière et rassurante en tout cas. J'y rencontre un groupe d'autres jeunes filles, plus jeunes et nous sympathisons. Elles ont prévu de sortir quelque part et me proposent de les accompagner, ce que j'accepte, laissant en plan les personnes qui étaient avec moi à l'origine. Je suis assez stressé néanmoins: d'une part elles ne ressemblent pas vraiment au type de personne que j'ai l'habitude de fréquenter (par exemple l'une d'elles a une robe qui semble hors de prix dans un tissu vert d'eau satiné, et un boléro en vison sur les épaules), ensuite je crains que l'effet "rencontre sympathique alcoolisée" ne retombe assez vite. De plus elles hésitent entre plusieurs endroits où passer la soirée: endroits où je n'ai jamais mis les pieds mais que je feins de connaître afin de ne pas passer pour un abruti. Je propose que nous prenions le métro pour nous rendre quelque part.
Dans le métro, la fille qui porte le vison me demande si je suis professeur de danse. Je rigole, ne comprenant pas très bien pourquoi elle me pose cette question, mais en fait elle faisait allusion au fait que j'étais trop vieux pour être étudiant, ce qui me fait déjà nettement moins rire.

Finalement l'endroit où nous débarquons est l'appartement de mon père; à défaut de briller par moi même, je préfère me rabattre sur la solution de facilité et susciter leur envie avec quelque chose qui n'est pourtant pas à moi. Ça fonctionne assez bien, le groupe de filles est ébahi par l'appartement. La partie que où nous nous trouvons fait office d'entrée, de salon, salle à manger et est pourvue d'une cuisine américaine: en fait c'est une pièce rectangulaire aux murs blancs, d'au moins 4 m de largeur, et plusieurs dizaines de longueur, d'où une superficie non négligeable. La pièce est de plus bordée d'une unique et immense baie vitrée, ce qui permet d'avoir un panorama magnifique sur Paris. Après coup, j'en déduis que l'immeuble doit être situé dans le 13ème et orienté nord-ouest, car nous sommes en hauteur, et la tour Eiffel apparaît sur la gauche. Le soleil se couche ce qui rend le paysage plus beau encore.

Je demande si des gens veulent des collations, mais j'ignore moi même où sont rangés les apéritifs, ou quoique ce soit d'autre d'ailleurs puisque je ne vis pas ici.
Je repère sur la table basse du salon une grosse brioche recouverte de glaçage. On l'a déjà entamé, mais je la propose tout de même à mes invitées; c'est à ce moment que j'ai une vision fugace de mon père qui me regarde avec désapprobation. La vision s'estompe vite, mais je me sens coupable maintenant d'être ici pour de mauvaises raisons.

.....

Le rêve s'est modifié, et l'ambiance aussi. Je suis allongé sur le sol, je vais très mal. En fait je meurs. La grande pièce rectangulaire et lumineuse a fait place à un endroit beaucoup plus réduit, une pièce octogonale, on dirait presque une yourte, car il y a des tentures de tissus ocre et rouge sur les murs. Le sol est jonché de tapis élimés et de gros coussins rouges. La lumière est également très différente, ce sont des bougies qui éclairent, ce qui donne une ambiance encore plus pesante à cet endroit.
Il y a une vieille femme chinoise en kimono vert d'eau. Je l'associe à ma grand-mère. Elle me dit des phrases rassurante mais ne semble pas inquiète pour autant et reste immobile.
Ma mère arrive. Je lui dis qu'il est déjà trop tard, qu'elle a perdu. Sans dire un mot, elle me prend dans ses bras. Mon corps semble avoir la taille de celui d'un enfant, puisqu'elle me porte sans problème.
Puis quelque chose d'étrange se produit: un transfert. Je me trouve à sa place, et elle à la mienne. Seulement, je ne suis pas dans son corps: je suis dans un corps d'homme adulte, en pleine forme, je ne ressens plus l'épuisement qui me terrassait quelques minutes plus tôt. Et je porte un corps dans mes bras. C'est celui d'une petite fille morte, dont la peau semble toute fripée. Ma mère s'est sacrifiée pour que je vive.
Au même instant, des tas de cadavres similaires sortent des placards, du plafond et s'amoncellent dans la pièce.
Ma grand mère chinoise m'explique que ma mère avait l'habitude de ce genre de pratique, interdite par le gouvernement communiste. Elle était même devenue très riche grâce à ça, mais c'est ce qui a attisé la jalousie des gens. Certains ont voulu la dénoncer directement auprès des autorités, mais sans succès. D'autres, plus insidieux, ont commencé à faire des allusions discrètes, et à faire circuler des rumeurs, ce qui a éveillé l'intérêt des communistes.

vendredi 14 août 2009

Rêve du 13 au 14 août 09

Benjamin accepte de me céder son appart, pour que je me mette en coloc avec Antoine. Même dans le rêve ça me semble un peu dément, parce que je ne sais pas comment on va se supporter sur le long terme, mais soit.
Son appart est sympa: seul soucis, l'une des chambres est en fait la pièce commune. On va devoir tirer à pile ou face pour savoir qui prendra la vraie chambre.
Me retrouve à parler de partiels d'archi. J'ai un partiel en droit de la propriété intellectuelle. Comme ça on pourra apprendre à mieux protéger nos oeuvres futures des tentatives de plagiat. Ca me saoule un peu n'empêche, car ça me fait une matière supplémentaire. On me dit que c'est dû à la réforme des universités voulue par Sarkozy; et plus le temps passera, plus il y aura de matières supplémentaires, ce n'est qu'un début..
J'essaie de me concentrer sur mon partiel. Faut que je consulte une base de données juridiques histoire de remplir ma copie. Pour ce faire, j'utilise un terminal un peu spécial: il s'agit d'une bottine brune. Il s'agit de se concentrer en regardant la bottine, et les informations apparaissent.

Rêve du 8 août 09

Je suis ravi car ma mère nous a trouvé un super appartement à ma soeur et moi, afin que nous puissions vivre ensemble. Je ne sais plus dans quel quartier il est situé exactement, mais je sais que c'est un quartier qui me plaît, le 9ème ou le 11ème. C'est un assez grand appartement, en revanche il est conçu assez étrangement, je ne pourrai pas dire en quoi exactement mais on dirait que le plan a été comme "disloqué", les pièces sont un peu n'importe où, mais ça me plaît beaucoup, peut être même plus que s'il avait eu un agencement des pièces plus classique.
Me promène jusqu'à ce qui doit devenir ma chambre. Nous sommes situés à un étage élevé (5ème ou 6ème étage) donc il y a cette espèce de monte-charge utilisé pour les déménagements qui est arrimé à ma fenêtre.
Et là je vois une sorte de mendiante (un peu du genre de celles qu'on voit dans le métro avec des petits fichus sur la tête et qui demande si on parle anglais) qui monte, avec un air très décidé, via le monte-charge, en direction de ma chambre. J'ai aucune envie d'avoir une mendiante dans ma chambre, surtout qu'elle est suivi par son fils qui est en chaise roulante. J'ai beau lui dire de faire marche arrière, rien n'y fait. Il y a trois pompiers ou crs en bas du monte-charge, qui semblent se reposer. J'essaie de les appeler, mais ils me regardent goguenards et me disent qu'il n'y a que la violence qui peut faire reculer ce genre de mendiants. Je les trouve vachement cyniques et me refuse à de telles extrémités.
Pendant ce temps, la femme et son fils ont débarqué dans ma chambre. J'essaie tant bien que mal de leur bloquer le passage en leur demandant de redescendre mais ils ne m'écoutent pas du tout. La femme semble même totalement m'ignorer pendant que je lui parle, elle cherche du regard tout ce qui pourrait avoir de la valeur. A force de tenter de la retenir je suis déséquilibré et nous tombons sur un genre de commode en marqueterie, provoquant sa chute également. Un petit récipient contenant de la monnaie était posé sur la commode, et les pièces se retrouvent éparpillées dans la pièce. La femme et son fils sont alors pris de frénésie et tentent d'en ramasser le plus possible. J'essaie de la tirer par le bras vers le monte-charge mais elle m'ignore toujours autant, et je vois en bas les trois mecs qui se marrent en me voyant me débattre. Ils ne sont toujours pas décidés à m'aider et me disent qu'il ne faut pas croire aux jérémiades de ces gens, que tout est chiqué, et qu'en plus la plupart du temps ils sont déjà riches.
Finalement excédé, je la pousse dans la pente du monte-charge. Elle dégringole jusqu'en bas et son dos heurte une poutrelle. Je m'en veux aussitôt d'avoir fait ça. La femme se redresse, elle a l'air en colère, elle commence à lancer des invectives dans une langue que je ne comprends pas. Son fils la rejoint en bas. J'essaie de les poursuivre pour m'excuser, mais elle m'ignore tout autant qu'avant, sauf que maintenant elle s'élance furibarde dans la rue, toujours en hurlant des trucs que je ne pige pas. Elle abandonne son fichu et son fils se lève de la chaise roulante. Je ne suis qu'à moitié surpris. Ils ne marchent que depuis peu de temps quand une immense limousine bleu ciel s'arrête à côté d'eux. Un chauffeur leur ouvre une porte, ils montent à bord et la limo disparaît au coin de la rue.
Finalement je ne sais plus trop si je m'en veux parce que j'ai fait usage de violence ou parce que les préjugés des trois pompiers/crs étaient vrais.

vendredi 17 juillet 2009

Rêves du 15 au 16 juillet 09

Pas pris de notes mais je me souviens avoir eu une petite partie de rêve lucide. Un méchant me poursuit, on dirait un bonhomme de dessin animé, avec des traits très caricaturaux, et en outre il est dans des tons bleu foncé. Là j'ai comme un vague éclair de lucidité, car j'arrive à le stopper, mais je contrôle mal ce que je fais. J'essaie de le changer en quelque chose d'autre, mais il résiste. Pourtant je sais en partie que je suis dans un rêve, mais c'est plus comme si je pensais rêver à l'intérieur d'un rêve, donc j'ai pas un contrôle absolu. Je n'arrive qu'à paralyser et à "brouiller" (un peu comme une image de téléviseur mal réglé) le méchant, mais il ne se transforme pas.

Dans un autre rêve, j'ai des pouvoirs magiques, je suis donc très content ! J'arrive à faire de la télékinésie. Je suis dans un genre de salle de réception, avec d'immenses fenêtres. Il y a des rideaux, et j'arrive à les faire bouger d'un geste de la main. Cela requiert tout de même beaucoup de concentration, et j'ai du mal à la maintenir.

Dans un autre rêve, je dois partir en vacances avec ma famille, on doit prendre l'avion, mais je le rate. A cause de ma valise je crois, enfin suis plus très certain.

vendredi 15 mai 2009

Rêve du 14 au 15 mai 09

Je suis en vacances quelque part, j'ignore où, je crois que c'est au bord de la mer. Mon père et ma soeur sont là, peut être ma mère aussi. Il est question de faire un voyage à New York pour les cours. Axelle part sans moi, ça m'énerve.
Je me retrouve à Paris avant de partir. Je descends un escalier qui mène à un petit jardin (genre ceux qui bordent certains immeubles de l'avenue Henri Martin). Un groupe de gens est là pour partir également. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens comme le besoin de me présenter à eux avec un masque horrible sur la tête. Néanmoins on me regarde un peu bizarrement donc je le retire en vitesse en riant jaune.
Je crois qu'on est dans le jardin des parents de Yassine en fait, parce que je le croise. Il me parle de ses parents qui sont absents et qu'il doit faire attention à ce qu'aucun voleur ne puisse entrer chez eux pour les dévaliser.

Me retrouve en avion, mais suis plus là en tant que moi, suis à la fois spectateur et éparpillé dans quatre personnages différents. Il y a une fille brune, plutôt jolie, qui est avec son copain habillé en costume, plutôt classe, lui même assis à côté un mec très sans-gêne, plutôt relou, assis devant un type qui donne des coups de pieds dans le siège devant lui, plutôt gamin.
La fille et le mec classe ne disent pas grand chose au début, mais le sans-gêne vient carrément s'étaler sur les genoux du mec en rigolant. Ils ne savent pas trop quoi faire, le mec est un peu embarrassé, tandis que la fille détourne la tête froidement en maugréant quelque chose contre les gens dénués de tenue. Puis le mec se remet droit et explique que son pote derrière lui, donne des tas de coups de pieds dans le dos de son siège. Mais il a l'air de trouver ça marrant.

On atterrit, et je réintègre mon corps.
Je ne perds pas de vue que je suis là pour les cours. Je suis toujours avec un groupe de personnes, et j'ai envie de bouger, je crois qu'on est séparé du groupe principal. Des filles du groupe dans lequel je suis s'arrêtent dans un Body Shop. Ça met un peu trois plombes, donc je décide de partir en avant pour retrouver les autres.
J'arrive sur un pont habité. enfin qui l'était parce que les immeubles anciens qui s'y trouvaient ont brûlé. Il s'agissait de très jolis immeubles en briques, probablement du XIXème, avec de ornements travaillés autour des fenêtres et sur les corniches, mais très sobres par ailleurs. Là ils sont calcinés, l'intérieur a été totalement détruit, il ne reste que les murs extérieurs. Des promoteurs ont racheté ces immeubles afin de créer des parkings. Ça me fend le coeur d'apprendre cela. Je trouve tout ça fort dommage, surtout que ces immeubles auraient été probablement très rentables s'ils avaient été loués, étant donné la vue imprenables qu'ils avaient sur le pont de Brooklyn (et accessoirement la tour Eiffel ).
Une vieille dame est là d'ailleurs, elle ne sait pas trop quoi faire, parce que son appartement a brûlé. Un mec responsable du voyage d'étude arrive alors. En fait il s'agit de quelqu'un des Roches... Il est content de retrouver un élève, mais déchante rapidement quand il constate que suis pas le élève modèle. J'essaie d'aider la vieille femme comme je peux, mais je ne sais pas trop quoi faire. Je lui conseille d'appeler les promoteurs et d'exiger une réparation. Au bout d'un moment j'arrive enfin à partir (elle s'accrochait la vieille), je dois faire autre chose, et le responsable me dit alors un truc du genre "Bonne chance........ fils..." en rechignant à m'appeler ainsi. Ça ne me choque pas outre-mesure, puisque dans mon esprit il est de toute façon obligé de m'appeler ainsi vu que je suis inscrit dans leur école.

Je retourne aux Roches finalement. J'arrive dans une sorte d'enfilade de bureaux. Les murs sont bleu ciel. et les bureaux sont fermés par des portes vitrées. Il y a des bounty posés sur les bureaux. Comme il n'y a personne, et que j'ai faim, j'ai très envie d'en piquer un ou deux. Mais ya un mec qui tourne dans les bureaux. Sûrement une sorte d'employé de service, vu que c'est lui qui dépose les bounty sur chaque bureau.
Je ne sais plus ce que je lui dis, mais au bout d'un moment il tente une approche plus ou moins sexuelle. Comme toujours d'un côté suis flatté de plaire, d'un autre côté le mec me dégoûte car je le trouve laid et un air très con. Heureusement, rien ne se passe.

Je crois que j'ai zappé la fin.

lundi 11 mai 2009

Rêves du 10 au 11 mai 09

J'entre dans une sorte de grotte bleutée. Je suis avec un petit groupe. On cherche à accéder à une seconde salle de la grotte, mais la porte est fermée et il faut l'ouvrir avec un rituel. Il y a deux boules noires qui luisent bizarrement de part et d'autre d'un autel, et il faut y placer des "billes de lumières". Malheureusement, je m'y prends mal et gaspille les billes. Je cherche du coup un autre moyen; peut-être qu'en examinant l'autel je trouverai quelque chose...

Il y a plein de grandes statues derrière l'autel. Elles sont en mauvais état, je remarque que la tête de l'une est brisée. Elles représentent des hommes élancés aux traits assez fins et richement habillés: des anciens rois elfes.

Une sorte de parenthèse explicative s'ouvre, et je vois que les elfes sont divisés en cinq grandes races, qui ont chacune une couleur et une spécificité. Il y a le orange, le magenta, le vert, le bleu et j'ai oublié la dernière. Les oranges sont les "Brutes" par exemple. Et chaque race elfique a son pendant maléfique, des monstres surnaturels qui ont la même couleur. Les seigneurs elfes d'une couleur ont un ascendant sur les monstres de la même couleur. Je me demande si ça ne fait pas des elfes des créatures mauvaises aussi du coup...



J'ai dû bouger, mais j'ai un peu zappé la transition. Je cours dans une ville et j'essaie d'éviter les gardes. Me précipite dans un bâtiment, mais pas de bol, ya une mini garnison qui m'attend à l'intérieur. Je veux changer de pièce en espérant que le chargement bloquera mes assaillants, mais évidemment, la porte est fermée tant que je n'aurai pas éliminé tous mes ennemis. Il y a aussi deux femmes qui me poursuivent, dont Zeehaeve, un perso de Nwn 2.

Je n'ai plus vraiment le choix; je lance un Arrêt du Temps afin de pouvoir shooter dans le tas tranquillement avec des boules de feu. Manque de bol, ça n'a pas de prise de sur les deux femmes qui viennent vers moi. J'essaie de leur expliquer que je n'ai rien contre elle etc. La githzeraï s'approche tellement que je la repousse légèrement avec mes mains, mais la sensation que j'ai en la touchant est atroce. On dirait que sa peau crisse et se fragmente sous mes doigts. Pas facile d'être un extraplanaire me dis je..

Finalement les deux femmes comprennent que je ne suis pas leur adversaire, mais manque de bol, le sort Arrêt du Temps prend fin pile à ce moment là et la mêlée commence.

Je n'ai plus de sort de ce type donc j'utilise l'inverse: me rend plus rapide et saute ensuite à toute allure à la gorge des soldats, muni d'une arme très effective: un petit couteau de table très finement dentelé....

Quelques tranchages de carotides plus tard, les ennemis sont calmés, il s'agissait d'une bande rivale ou un truc du genre. Mais je dois encore tous les massacrer pour éviter qu'il n'y ait de représailles. A chaque fois je m'approche du mec immobile, et à l'aide de ce couteau ridicule, je tranche l'artère. Ça me dégoûte un peu plus à chaque fois, surtout que le couteau n'étant pas spécialement fait pour couper quoique ce soit, la douleur doit être particulièrement vive. Ya quand même un jeune mec que je laisse partir, parce que je le trouve trop jeune pour crever.

Je ferai bien de même avec le fils du chef de la bande mais on me dit qu'il reviendra se venger et qu'en sa qualité de fils, c'est normal qu'il crève. Donc je le zigouille avec son père.

....

Suis au supermarché, il n'est pas encore ouvert d'ailleurs mais pas grave. J'achète des espèces de cure-dents casino.

Il fait nuit, et je peux voir par la fenêtre du rayon des groupes de jeunes qui font du breakdance plus loin sur une place. Je me dis que c'est dommage car la fenêtre sera certainement murée quand les travaux seront finis, un peu comme dans tous les supermarchés.

Bon enfin j'ai trouvé ce que je voulais donc je m'apprête à partir mais je tombe sur ma mère. Elle me demande ce que je fais, donc je m'explique.

Elle me dit que je ferai mieux de me trouver un stage et d'ailleurs elle a trois propositions pour moi. Je n'ai pas vraiment envie d'y penser, mais elle m'explique que le stage chez un mec qui s'occupe des monuments historiques à lieu à Reims, soit dans l'espace...

Alors au début en entendant ça ma réaction est un peu "Dans l'espace?!? Wtf ??! " mais ma mère insiste et elle me montre même son petit vaisseau spatial. Ce n'est pas encore super répandu me dit elle, mais ça commence à se démocratiser. Suis hyper sonné, elle me propose de m'emmener faire un tour.

Et hop c'est parti pour un tour dans l'espace ! J'ai l'impression de rêver, je ne comprends pas comment j'ai pu ne pas être au courant pendant tout ce temps ! Ma mère m'explique durant le trajet que évidemment, les moteurs ne sont pas encore assez poussés pour qu'on puisse aller plus loin que quelques planètes de notre système solaire, vu que personne n'a inventé l'hyperpropulsion encore.

Je crève d'envie de passer mon brevet de pilote du coup. Me dis que ce sera tellement sympa de faire des petits voyages quand ça me chantera. Et puis ça doit être un argument drague avec les mecs. Je m'imagine déjà essayer de séduire un mec en lui proposant une balade dans l'espace...

Je demande si on peut aller sur Mars. Bien sûr qu'on peut y aller, et zou direction Mars. Le voyage prend à peine quelques secondes (oui je sais ça veut dire qu'on va bien plus vite que la lumière et que du coup ce que ma mère disait plus tôt est caduque mais osef) et pour la première fois de ma vie je pose le pied sur Mars. J'en pleure de joie pratiquement, suis tellement heureux.

Et puis ça me semble d'un seul coup un peu trop beau, un truc cloche. Je suis en train de rêver je le sens. Je me réveille, super déçu.

vendredi 1 mai 2009

Rêve du 1er mai 09

Suis dans une ville grecque, il y a un dieu rouge maléfique qui veut détruire la ville et ses habitants. C'est notre dieu donc on ne devrait pas trop protester mais bizarrement personne n'a envie de se faire détruire. On voit à l'horizon une colonne bleutée s'élever dans l'air, c'est la Déesse Mère, ou un truc comme ça, celle qui a donné la vie à tous les peuples. Elle passe pas trop loin de notre ville alors on lui crie de nous venir en aide. Elle chasse le dieu colérique, et du coup la ville perd ses couleurs (les bâtiments portaient les couleurs de Wonder Woman et ils redeviennent blancs).
J'ai zappé la suite.

mercredi 22 avril 2009

Rêves du 22 avril 09

Rêve très glauque avec Axelle pour commencer. Je suis chez ma mère, je passe par ma chambre, traverse la salle de bain avec un mauvais pressentiment et presse le pas, pour arriver dans la chambre d'Axelle et constater que j'avais raison de redouter quelque chose: je vois son corps inerte allongé sur son lit.... Je m'approche pour tenter de la réveiller, mais au fond de moi je sais qu'il est déjà trop tard et qu'elle est morte. Ca fait plusieurs jours qu'elle s'est suicidée, donc le corps est déjà en décomposition. Ca se confirme lorsque, la secouant pour qu'elle sorte de son "sommeil", la peau de son visage (ou plutôt de ce qu'il en reste) adhère aux draps tandis que sa tête tourne vers moi....
Je reste immobile à côté du lit, ne sachant plus quoi faire.

......

Sorte de jeu vidéo bizarre qui se passe dans une jungle épaisse. Il y a des espèces de petits cours d'eau bien vaseux au vu de leur couleur, avec des bestioles dedans; enfin un classique pour une jungle. Je dois essayer de passer trois alligators, puis deux murènes, ou un truc comme ça. Et après, pour leur échapper, je me jette dans une pente à côté de la rivière, dans laquelle il y a un petit cratère de volcan...

mardi 21 avril 2009

Rêve du 21 avril 09

Je suis chez moi, je passe dans la salle à manger, le bac à fleurs (vide dans la réalité) est rempli d'une végétation luxuriante mais je ne m'y arrête pas, je saute par la fenêtre.
Me retrouve sur une planète désertique genre Dune, la nuit. Je porte mon chat dans mes bras. J'ai un peu peur pour lui, parce qu'une planète des sables la nuit, ce n'est pas un endroit très sûr pour un chat. Un mec habillé en survivant de l'holocauste nucléaire s'approche de moi. C'est un réfugié sans doute, qui vit, comme tous les réfugiés, dans un camps de réfugiés. Il est venu m'aider à progresser à travers le désert. Mais à ce moment, une tempête de sable se lève. C'est la merde, on n'y voit rien, mon chat en profite pour s'échapper, et j'ai peur qu'il se fasse ensevelir. Je commence à lui courir après, et réalise que le survivant le poursuit aussi. En fait il n'était pas du tout venu pour m'aider...
Mon chat se trouve dans une pente très raide, sur une petite plate-forme. Je me précipite pour le récupérer avant l'autre mec. Gagné ! A côté de la plat-forme, il y a des espèces de crevasses d'où sort une lumière rouge où l'on peut enfoncer ses bras et ses jambes. En fait il s'agit d'un mécanisme afin de devenir surpuissant et possiblement contrôler le monde. C'est à ça que mon chat servait et c'est pour ça que le type voulait le récupérer, pour empêcher quiconque de se servir de la machine. Pas de bol pour lui !

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Suis de retour chez moi, à proximité du bac à fleur. Cette fois ci les plantes ont poussé d'avantage et ya carrément des espèces de lianes bizarres qui en sortent. Avec de petits insectes dégueus qui batifolent dessus. Je vois une mini tarentule, mais ça ne m'effraie pas trop bizarrement.
J'ai oublié la suite, mais il est question de voisins du dernier étage qui passent par notre salle à manger pour sortir de l'immeuble, ça ne me plaît pas trop.

Mes rêves sont un peu à chier en ce moment.

lundi 20 avril 2009

Rêves du 19 au 20 avril 09

Suis à Verbier avec une partie de la famille, on fait du ski. On arrive aux Ruinettes, et nous voulons prendre les cabines pour redescendre. Je me mets en début de file, et je porte les skis de ma grand-mère pour l'aider, qui sont bizarrement, très très longs et noirs. Du fait de leurs envergure, ils ne sont pas faciles à porter, et je n'arrive pas à les mettre dans les encoches faites pour, et du coup, n'arrive pas à prendre la cabine, tandis que tout le monde monte dedans. Me retrouve comme un con seul. Un technicien de la station vient me voir pour me demander si tout va bien, je réponds que oui. Il me propose alors de tout bêtement descendre à ski, mais je ne me sens pas rassuré.
...

Nous sommes toujours à Verbier en famille, Papa est également là. Néanmoins, nous sommes dans un appartement situé un étage au dessus du nôtre, donc on a une vue plongeante sur l'entrée qui mène au parking. Justement je vois que mon chat actuel, se balade tranquillement dehors. Je commence à paniquer, et j'aperçois un peu plus loin un chien qui ressemble à un shiba inu au poil roux, ce qui m'angoisse d'avantage. Je décide de ne pas perdre de temps et descend vite récupérer mon chat, mais quand j'arrive il est déjà trop tard, le shiba inu a déjà fait un massacre et éventré plusieurs animaux, dont mon chat.
Je suis inconsolable, ma famille s'approche, et ne semble pas trop affectée, mais je ne peux pas m'empêcher d'être submergé par le chagrin en tenant dans mes bras le corps de mon petit chat éviscéré. Me dis que je dois être vraiment maudit pour que mes chats meurent tous aussi jeunes.
Évidemment je pourrai en racheter un, mais s'ils ont tous une espérance de vie aussi courte, à quoi bon...?
Finalement mon chat n'est pas mort, et je ne sais pas comment, mais quelqu'un lui recoud la cage thoracique. En tout cas il tient debout, et déambule maladroitement. Comme il s'est vidé de la moitié de ses organes, il semble vraiment très maigre. En outre, le chien lui a arraché sa queue, et bien que je sois heureux de le voir en vie, ça m'attriste énormément, parce qu'il avait une magnifique queue touffue et pleine de panache. Alors qu'il ne reste là plus qu'un petit moignon dégueu. Je dis qu'il vaudrait mieux l'emmener chez le véto tout de même, parce qu'il titube plus qu'il ne marche, mais ma famille, toujours nonchalante, me répond que ce n'est pas la nécessaire. Mon père (je crois) par inadvertance, shoote dans le chat, et lui défonce une partie de la cage thoracique, ce qui lui donne un aspect encore plus malade. J'essaie de le protéger et je gueule contre un peu tout le monde.

.....

Je suis au Printemps, à l'étage où se situait le stand de Mariage Frères, mais la configuration du magasin a changé, il manque des stands, d'autres sont en travaux, ou d'autres ont changé d'apparence. Me rapproche de ce qui était le stand Ladurée, mais ça a été remplacé par une boulangerie bas de gamme. Ils ont tout de même gardé le décor caractéristique. Je veux acheter quelque chose, mais je ne sais pas trop quoi, et me fait un peu bousculer par des clients.