mercredi 22 avril 2009

Rêves du 22 avril 09

Rêve très glauque avec Axelle pour commencer. Je suis chez ma mère, je passe par ma chambre, traverse la salle de bain avec un mauvais pressentiment et presse le pas, pour arriver dans la chambre d'Axelle et constater que j'avais raison de redouter quelque chose: je vois son corps inerte allongé sur son lit.... Je m'approche pour tenter de la réveiller, mais au fond de moi je sais qu'il est déjà trop tard et qu'elle est morte. Ca fait plusieurs jours qu'elle s'est suicidée, donc le corps est déjà en décomposition. Ca se confirme lorsque, la secouant pour qu'elle sorte de son "sommeil", la peau de son visage (ou plutôt de ce qu'il en reste) adhère aux draps tandis que sa tête tourne vers moi....
Je reste immobile à côté du lit, ne sachant plus quoi faire.

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Sorte de jeu vidéo bizarre qui se passe dans une jungle épaisse. Il y a des espèces de petits cours d'eau bien vaseux au vu de leur couleur, avec des bestioles dedans; enfin un classique pour une jungle. Je dois essayer de passer trois alligators, puis deux murènes, ou un truc comme ça. Et après, pour leur échapper, je me jette dans une pente à côté de la rivière, dans laquelle il y a un petit cratère de volcan...

mardi 21 avril 2009

Rêve du 21 avril 09

Je suis chez moi, je passe dans la salle à manger, le bac à fleurs (vide dans la réalité) est rempli d'une végétation luxuriante mais je ne m'y arrête pas, je saute par la fenêtre.
Me retrouve sur une planète désertique genre Dune, la nuit. Je porte mon chat dans mes bras. J'ai un peu peur pour lui, parce qu'une planète des sables la nuit, ce n'est pas un endroit très sûr pour un chat. Un mec habillé en survivant de l'holocauste nucléaire s'approche de moi. C'est un réfugié sans doute, qui vit, comme tous les réfugiés, dans un camps de réfugiés. Il est venu m'aider à progresser à travers le désert. Mais à ce moment, une tempête de sable se lève. C'est la merde, on n'y voit rien, mon chat en profite pour s'échapper, et j'ai peur qu'il se fasse ensevelir. Je commence à lui courir après, et réalise que le survivant le poursuit aussi. En fait il n'était pas du tout venu pour m'aider...
Mon chat se trouve dans une pente très raide, sur une petite plate-forme. Je me précipite pour le récupérer avant l'autre mec. Gagné ! A côté de la plat-forme, il y a des espèces de crevasses d'où sort une lumière rouge où l'on peut enfoncer ses bras et ses jambes. En fait il s'agit d'un mécanisme afin de devenir surpuissant et possiblement contrôler le monde. C'est à ça que mon chat servait et c'est pour ça que le type voulait le récupérer, pour empêcher quiconque de se servir de la machine. Pas de bol pour lui !

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Suis de retour chez moi, à proximité du bac à fleur. Cette fois ci les plantes ont poussé d'avantage et ya carrément des espèces de lianes bizarres qui en sortent. Avec de petits insectes dégueus qui batifolent dessus. Je vois une mini tarentule, mais ça ne m'effraie pas trop bizarrement.
J'ai oublié la suite, mais il est question de voisins du dernier étage qui passent par notre salle à manger pour sortir de l'immeuble, ça ne me plaît pas trop.

Mes rêves sont un peu à chier en ce moment.

lundi 20 avril 2009

Rêves du 19 au 20 avril 09

Suis à Verbier avec une partie de la famille, on fait du ski. On arrive aux Ruinettes, et nous voulons prendre les cabines pour redescendre. Je me mets en début de file, et je porte les skis de ma grand-mère pour l'aider, qui sont bizarrement, très très longs et noirs. Du fait de leurs envergure, ils ne sont pas faciles à porter, et je n'arrive pas à les mettre dans les encoches faites pour, et du coup, n'arrive pas à prendre la cabine, tandis que tout le monde monte dedans. Me retrouve comme un con seul. Un technicien de la station vient me voir pour me demander si tout va bien, je réponds que oui. Il me propose alors de tout bêtement descendre à ski, mais je ne me sens pas rassuré.
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Nous sommes toujours à Verbier en famille, Papa est également là. Néanmoins, nous sommes dans un appartement situé un étage au dessus du nôtre, donc on a une vue plongeante sur l'entrée qui mène au parking. Justement je vois que mon chat actuel, se balade tranquillement dehors. Je commence à paniquer, et j'aperçois un peu plus loin un chien qui ressemble à un shiba inu au poil roux, ce qui m'angoisse d'avantage. Je décide de ne pas perdre de temps et descend vite récupérer mon chat, mais quand j'arrive il est déjà trop tard, le shiba inu a déjà fait un massacre et éventré plusieurs animaux, dont mon chat.
Je suis inconsolable, ma famille s'approche, et ne semble pas trop affectée, mais je ne peux pas m'empêcher d'être submergé par le chagrin en tenant dans mes bras le corps de mon petit chat éviscéré. Me dis que je dois être vraiment maudit pour que mes chats meurent tous aussi jeunes.
Évidemment je pourrai en racheter un, mais s'ils ont tous une espérance de vie aussi courte, à quoi bon...?
Finalement mon chat n'est pas mort, et je ne sais pas comment, mais quelqu'un lui recoud la cage thoracique. En tout cas il tient debout, et déambule maladroitement. Comme il s'est vidé de la moitié de ses organes, il semble vraiment très maigre. En outre, le chien lui a arraché sa queue, et bien que je sois heureux de le voir en vie, ça m'attriste énormément, parce qu'il avait une magnifique queue touffue et pleine de panache. Alors qu'il ne reste là plus qu'un petit moignon dégueu. Je dis qu'il vaudrait mieux l'emmener chez le véto tout de même, parce qu'il titube plus qu'il ne marche, mais ma famille, toujours nonchalante, me répond que ce n'est pas la nécessaire. Mon père (je crois) par inadvertance, shoote dans le chat, et lui défonce une partie de la cage thoracique, ce qui lui donne un aspect encore plus malade. J'essaie de le protéger et je gueule contre un peu tout le monde.

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Je suis au Printemps, à l'étage où se situait le stand de Mariage Frères, mais la configuration du magasin a changé, il manque des stands, d'autres sont en travaux, ou d'autres ont changé d'apparence. Me rapproche de ce qui était le stand Ladurée, mais ça a été remplacé par une boulangerie bas de gamme. Ils ont tout de même gardé le décor caractéristique. Je veux acheter quelque chose, mais je ne sais pas trop quoi, et me fait un peu bousculer par des clients.

jeudi 16 avril 2009

Rêve du 16 avril 09

Je suis en voiture, avec quatre autre personnes, la nuit à Paris. C'est un genre de petite auto, et c'est Mlle Poulain qui est au volant, toujours avec son béret basque. Elle nous raccompagne chez nous et je lui ai dit de me déposer Place des Vosges, mais elle ne peut croire que j'y habite et grommelle depuis que je lui ai donné cette adresse puisqu'elle pense perdre son temps avec un petit prétentieux. Je lui assure qu'elle aura une preuve en me voyant entrer dans l'immeuble.

Elle me dépose à 50m de l'immeuble, comme pour avoir le dernier mot. Mais finalement elle est obligée de passer devant chez moi, à cause des sens interdits qui l'obligent à faire un tour de la place (qui ne ressemble plus du tout à la place des vosges).

Maminou est là pour nous accueillir. Je la serre dans mes bras en la voyant. Je me fais la réflexion que la peau de ses bras ressemble à celle d'un poulet rôti au toucher. Les autres passagers de la voiture descendent tandis que ma grand-mère salue poliment Mlle Poulain. Nous devons faire un cake au citron.

dimanche 12 avril 2009

Rêve du 12 avril 09

Je suis en compagnie d'une femme de petite taille un peu boulotte et d'un genre de scientifique grand et maigre sur un bateau. La femme est en noir et l'homme porte une blouse blanche.

Nous recherchons l'entrée d'une caverne au trésor à proximité. Nous arrivons à proximité des côtes rocheuses et nous savons tous que nous approchons de l'entrée. Mais elle est fermée, et l'homme sait comment déverrouiller tout ça. Il nous demande de chercher un tourbillon dans l'eau et en un coup d'oeil je le découvre, ce qui me rend très fier.



Le bateau s'achemine alors juste au dessus du tourbillon et commence à tourner. Mais rien ne se passe. L'homme nous explique alors que c'est parce que lui seul détient la clef et tout en parlant, ouvre sa bouche pour dévoiler l'une de ses incisives du bas qui est devenue un petit chicot noir, si petit que ça ressemble à une aiguille tordue plus qu'à une dent.

Il touche la dent en question et soudain tout s'accélère. Le tourbillon s'agrandit en quelques secondes et sa vitesse devient bien plus conséquente, le bateau se met à tourner sur lui même à toute allure et nous sommes projetés aux extrémités du bateau qui se fait engloutir.

Ce n'est pas très clair, mais il est question d'aller à la proue du bateau (chose assez difficile puisque l'on est rejetés vers la poupe par les rotations rapides) pour y exercer une sorte de pouvoir spirituel afin de ne pas être avalés dans les eaux et d'ouvrir la porte de la caverne. Une femme obèse habillée en noir (avec un casque à cornes sur la tête ce qui fait un peu penser au cliché sur les cantatrices allemandes) s'avance néanmoins et commence à étendre ses bras, ce qui a pour effet d'ouvrir une sorte de voie dans le mur d'eau. Je veux m'avancer pour l'aider, mais le scientifique me dit qu'il n'y a qu'une grosse femme en noir qui peut parvenir à gérer cette étape. Intérieurement je me dis que c'est un peu discriminatoire.

Mais c'est efficace puisque la femme ouvre une sorte de grand trou noir dans le mur d'eau, que le bateau traverse, nous débarquant finalement dans la grotte.



On trouve dans la grotte quelques ruines, des escaliers etc, mais globalement beaucoup de pierres humides.

En fait, nous sommes dans les ruines de l'Atlantide. Je commence à me méfier du scientifique maigre, car j'ai la sensation que maintenant qu'il a trouvé sa précieuse cité engloutie, il va vouloir se débarrasser de nous. Or je ne suis pas venu pour me faire tuer, mais pour m'enrichir;

je fouille discrètement et découvre des vases remplis d'or ! Je dissimule bien vite cet or aux yeux des autres, pour en garder un maximum pour moi. Je me fais la réflexion que ça paraîtra peut être un peu étrange aux yeux des douanes si je rentre en France avec un énorme sac à dos, alors que je ne suis parti que 3 jours et que l'on risquerait de me reprendre l'or pour pillage de biens culturels si on le découvre. Je me dis que c'est assez injuste envers les chasseurs de trésors comme moi, et me demande si ces règlementations s'appliquent aux civilisations non répertoriées...



Puis viens me joindre à la conversation de façon innocente. C'est un jeu de dupes, car je sens que le scientifique sait que j'ai trouvé de l'or, et je sais qu'il veut me tuer; mais nous agissons de façon tout à fait policée l'un envers l'autre. La petite femme en noir (d'ailleurs je me demande où est passée l'obèse) s'éloigne pour prendre une douche et nous discutons tous les deux. Je finis par réaliser que le scientifique est en fait lui même un Atlante, ce qui expliquerait pourquoi il était le seul à pouvoir activer le mécanisme pour pénétrer dans la grotte, et également pourquoi il veut me tuer: afin de protéger les restes de sa civilisation. Je prends alors un risque en le devançant et en lui disant que si moi même j'étais un Égyptien de l'Antiquité, ça m'écoeurerait de participer à la découverte d'une tombe pour voir ses trésors pillés aussitôt. Il comprend ce que je suis en train d'insinuer et nie se sentir autant impliqué, car 2000 ans ont passé, et tout ce qu'il reste de ses anciens camarades c'est le tas d'ossements informes qu'il m'indique dans un coin. C'est donc qu'il est lui aussi motivé par la richesse. J'essaie une autre tactique.

S'il est aussi vieux, c'est qu'il est forcément mort. Et sa dent bizarre, c'est peut être une chaîne d'âme (faut voir Bleach pour comprendre). Je lui propose de se libérer de son lourd fardeau, en retirant la clef qui est sous la dent noire, et de s'en servir pour que son âme trouve enfin le repos. Ce faisant je me dis que ça ressemble à de l'incitation au suicide, mais étant donné qu'il est déjà mort et que ça pourrait me sauver la peau, c'est peut être moins immoral que ça en a l'air.



Mais il refuse.

J'ai oublié la suite (assez courte) et me réveille.

jeudi 2 avril 2009

Rêves du 1er au 2 avril 09

Je suis chez moi, je ressens un puissant malaise qui me fait voir le monde dans des couleurs différentes.


Je me réveille, à nouveau chez moi. Je sors de ma chambre et voit que mon chat n'est pas seul, Matchek est également là. Ça me fait assez bizarre de le voir, car je sais qu'il est mort, et donc ne suis pas totalement réjoui. A côté de mon chat actuel il a une tête étrangement grosse. J'essaie de le caresser mais il saute tout de suite sur mon bras droit et essaie de me mordre le poignet. Je me dis qu'il n'a pas changé du tout et qu'il est toujours aussi chiant qu'avant, et tente de m'en débarrasser.


Je me réveille à nouveau dans ma chambre, ce n'était qu'un rêve finalement. Et le malaise de tout à l'heure revient, en plus violent. J'ai l'impression de perdre totalement la raison. Je me sens extrêmement faible, mais c'est surtout ma perception du monde qui est altérée puisque les murs jaunes de ma chambre deviennent bleus par exemple et que je vois tout de façon floue et saccadée. Je titube jusqu'à la salle d'attente. Ma mère est là et je lui dis que je vais mal. Elle semble sincèrement inquiète et peinée et me dit qu'elle devrait peut être me faire interner. Je ne proteste pas car je sens très bien que quelque chose ne va pas du tout, et finalement ça me rassure qu'elle le propose sans que j'ai à lui demander.


Je me réveille pour de bon.





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Début un peu flou. Je me souviens atterrir dans une chaise à porteur qui fonctionne sans porteur (mais tout en conservant la même forme, donc pas de roues, ni rien qui puisse expliquer qu'elle se déplace).


Il y a d'autres personnes dedans on est un peu entassé les uns sur les autres. Une séquence étrange dans un parking où il est question de sodomie.


Puis la chaise à porteur nous emmène à Deauville. Je crois que c'est une idée qui vient de moi.


Je suis avec des gens de la Villette cette fois ci, même si je n'identifie que Sophie et Ulysse clairement.


La chaise à porteur se gare devant une boutique (ou plutôt il y a des espèces de crochets de long des murs et on peut l'y laisser). Je me dirige ensuite vers le stand de glaces de Martine Lambert.


Il ne fait pas si beau, mais j'ai tellement envie d'un sorbet. La vendeuse me demande si je souhaite une part de pizza, et j'accepte car j'ai un peu faim. Mais lorsqu'elle me l'apporte il s'agit en fait d'une part de pizza faite de trois sorbets différents, qui ont l'air tous plus chimiques les uns que les autres au vu de leurs couleurs trop vives pour être naturelles. J'hésite un peu à refuser mais j'explique que je m'attendais à une vraie part de pizza et pas à ça. La vendeuse bougonne mais va la reposer finalement. Entre temps d'autres personnes sont arrivées pour commander et passent devant moi. On m'apporte des espèces de sandwiches chauds, et j'attends toujours afin de commander ma glace. Je décide d'en prendre une à cinq boules: deux aux fruits de la passion, une café, une framboise et j'ai oublié le parfum de la dernière. Mais finalement, la vendeuse peu aimable baisse le store, j'ai attendu pour rien.





Je ne suis pas le seul, puisque le groupe de la Villette attendait également que j'aie ma glace. Ils veulent décider d'un endroit où dormir. Certains envisagent une sorte de camping aperçu dans un autre rêve. Je ne suis pas vraiment intéressé. J'hésite à leur dire que j'ai une maison où nous pourrions tous aller éventuellement. En même temps, je n'ai pas envie que l'on me perçoive comme un gosse de riche. Certains sont à l'aise avec l'idée de dormir dans la voiture à porteur...


Je décide du coup de ne pas passer la nuit avec eux et de ne rien leur dire à propos de la maison; des personnes prêtes à dormir à plusieurs dans un endroit aussi minuscule ne pourraient que voir d'un oeil mauvais une aussi grande baraque.