jeudi 12 juin 2008

Rêve du 11 au 12 juin 2008

Court rêve qui ressemble plutôt à un début de thriller.

Je suis dans ma chambre à Paris chez mon père. Il y a un concert au trocadéro. Je l'entends d'ici et vois de ma fenêtre les lumières des spots qui s'agitent là bas. Il y a des gens sur les toits d'en face qui regardent le concert. Ce dernier est donnée par une chanteuse nommée Marion.
La chanteuse d'ailleurs entre dans ma chambre par la fenêtre. Elle fait une pause. Je suis assez étonné car le seul moyen pour elle d'avoir été aussi vite serait d'être passée par les toits, et même cet itinéraire me semble risqué, vu ne serait-ce que la distance entre mon toit et celui des immeuble en face de chez moi... Elle est réputée pour ne pas avoir sa langue dans sa poche. En effet, elle parle de sa "vocation musicale" avec beaucoup de sarcasme: elle ferait tout ça pour l'argent et n'a pas beaucoup de considération pour son public. D'un autre côté, elle le dit avec une petite pointe d'ironie dans la voix qui empêche que l'on soit sûr de ce qu'elle dit.
Les gens dans la rue, ou même sur les toits d'en face, commencent à chercher leur idole.
Ils semblent hystériques. Ils commencent à deviner sa présence chez moi, et veulent entrer dans l'immeuble. Le bas de l'immeuble fait penser à la devanture d'un restaurant japonais, avec des baies vitrées coulissantes. Je m'empresse de vite tout fermer, et verrouiller au maximum ce que je peux. Les gens semblent agir de façon de plus en plus frénétique dans le seul but d'avoir un autographe ou de la toucher...
Nous courons nous réfugier à l'étage...

dimanche 8 juin 2008

Rêve du 7 au 8 juin 2008

Je suis dans un avion. On est censé partir pour une destination qui m'échappe. Et d'ailleurs peut être que moi aussi je tente d'échapper à quelque chose en prenant cet avion. Hélas il y a un blizzard énorme qui s'abat sur l'aéroport. Un passager me dit qu'il a même entendu un crash et une hôtesse de l'air confirme via le micro qu'un appareil a glissé lors de l'atterrissage.
Je suis très contrarié par ce contretemps. En regardant par le hublot on voit bien qu'il y a un vent glacé et violent qui souffle à l'extérieur. Pourtant je sens que je dois partir au plus vite. Le temps finit éventuellement par se calmer et du coup je commence à m'impatienter, trouvant que le délais n'est plus valable.
Peu importe car la compagnie aérienne décide de nous faire débarquer.
Nous nous retrouvons sur une sorte de petite plate-forme qui est en orbite spatiale autour de la terre. Elle est comme assemblée à base de planches, un peu comme un radeau, mais qui flotterait dans l'espace.

Quelque chose me poursuit. Je ne sais pas exactement ce que c'est, mais ce n'est pas quelque chose de bon. Une sorte de truc qui a un pouvoir. Ça se manifeste sous la forme d'une petite fille je crois, puis elle se pince, ou tord ses doigts et en faisant ainsi, elle oblige les gens qui sont avec moi à se faire du mal, un peu comme une poupée vaudou vivante. J'essaie de m'enfuir, mais le radeau de l'espace est pas très grand, donc pas facile de fuir.
Je me teins les cheveux en noirs, mais en me faisant des mèches rousses. Un type me voit ainsi et me demande si je suis fou d'avoir fait ça. Il a été teint en roux aussi visiblement, et j'en suis le responsable. Et visiblement ça va attirer la colère de la "fille-vaudou". Il est du coup très en colère mais semble effrayé à la fois.

La revoici qui se pointe, je cours me réfugier quelque part, me glisse entre des cageots qui traînent, escalade des parapets, etc, mais je la sens qui me suis encore et toujours. Je finis par voir une échelle et décide de la monter. Je sens comme une voix qui me demande d'un ton narquois et cruel si je n'ai pas peur d'être aspiré par le vide spatial, car si je m'éloigne de la plate-forme, je m'éloigne de son centre de gravité aussi et du coup je risque de partir en apesanteur moi aussi et même de ne plus avoir d'air.
En ce qui me concerne, je me dit que par miracle il y aura peut être un avion et que je pourrais m'échapper. Mais alors que je regarde la lune, celle-ci se met à changer, comme si elle était faite en pâte à modeler: sa surface devient plus ou moins lisse et deux gros cratères apparaissent comme en guise d'yeux. Je sais que c'est l'oeuvre de la présence maléfique qui me poursuit. Je sais qu'elle veut me forcer à m'enfoncer les doigts dans les yeux. J'ai peur. Mais le ciel change à nouveau. La lune s'éloigne, à toute vitesse et la voilà qui brille à l'horizon, d'un vert malsain, qui recouvre petit à petit tout le ciel.

Je finis par m'échapper je ne sais plus trop comment et me retrouve chez Béatrice. Louise est là également. On discute de mes plans pour l'an prochain je crois, je dis à Louise qu'elle va pouvoir me filer un coup de main, ou un truc du genre. Me sens bien mais j'ai pas envie de gêner car j'ai l'impression d'être souvent chez elles et ne veux pas m'imposer. Soudainement, Louise pète un câble. Elle cherche ses outils et ne les trouvant pas elle a une sorte de crise de larmes. Béatrice tente de la consoler, tandis que je regarde autour de moi, en me disant que j'ai vu les outils il n'y a pas si longtemps.
Je finis par les retrouver, ils étaient rangés dans une boite en carton turquoise. Je tente un petit mot réconfortant envers Louise du style "Tu vois, pas la peine de te mettre dans tous ces états, ils n'étaient pas loin", mais pas d'un ton condescendant car me suis senti touché par sa peine et son angoisse subite.

Les parents de Béatrice et Louise arrivent. Le père de Béatrice est très amical envers moi, ce qui me fait plaisir et me perturbe un peu à la fois. Visiblement il a de la fièvre. Je dis alors en m'éloignant un peu, mais après lui avoir serré la main, que je préfère rester à distance car je suis très sensible à la fièvre, qu'elle me contamine très vite. Si vite d'ailleurs que je me sens devenir légèrement fiévreux moi aussi.
Il y a plein de canettes de coca light vides qui traînent depuis tout à l'heure dans la chambre de Béatrice. Ce sont les miennes, et je me sens un peu honteux de salir sa chambre. Mais il n'y a pas de sac poubelle pour que je les ramasse. La mère de Béatrice va faire des courses visiblement et s'apprête à sortir. Je me propose pour l'accompagner jusqu'à la porte et en profite pour lui demander où sont les sacs poubelle.

samedi 7 juin 2008

Rêve du 6 au 7 juin 2008

Je ne me souviens plus très clairement du début du rêve.
Une histoire avec un type blond, et des hors d'oeuvre je crois...

A un moment, je suis en compagnie de types et on est en train de déplacer des gros sacs. Il y a quelque chose d'illégal là dedans. J'ouvre un des sacs et vois des liasses de billets, ce qui me donne envie d'en prendre pour moi. Je dis aux autres mecs qui m'accompagnent de faire comme moi et de prendre des billets pour eux. Ce sont des liasses de billets étrangers. Il y a des dollars et aussi des roubles du Khazakstan. Il faut en prendre beaucoup du coup pour que ça ait de la valeur.
Un autre type se pointe. C'est un réalisateur. Je l'associe à Georges Lucas dans le rêve, bien qu'il ne lui ressemble pas du tout. Il semble mécontent parce qu'on ne fait pas les choses correctement.
On a même élagué un de ses arbres préférés. Il va venir fouiner et voir ce qu'on fait. Heureusement il est dévié de sa trajectoire, car il est invité sur le plateau d'une émission de télévision dont le thème est "Star Wars Latino"... Il y a comme invités l'acteur qui joue Federico Diaz dans Six Feet Under et l'actrice qui joue Gabrielle Solis dans Desperate Housewives.

Une femme me dit que de toute façon c'est un réalisateur médiocre. Il est un peu touche à tout, il a fait de la photo aussi. C'est son ancienne assistante de photographie. Elle a des yeux très étranges, comme s'ils étaient voilés de blanc, comme c'est le cas avec les cataractes. Elle me dit que c'est la médiocrité des autres qui lui donne du succès.
La femme a l'air un peu misérable. Ca se confirme, elle a eu une jeunesse difficile. Elle était talentueuse mais elle a été comme torturée dans son école par ses profs et sa directrice. J'ai un flash-back où je la vois allongée sur le ventre de force sur une table d'école, avec la directrice qui se sert d'un gode-ceinture pour la pénétrer violemment, tandis que deux profs sont autour à se moquer d'elle, en la traitant de grosse. Le gode-ceinture est rempli de lait, pour donner l'illusion du sperme je présume, donc plein de lait gicle hors de son vagin. Ca me dégoute.

vendredi 6 juin 2008

Reve du 5 au 6 juin 2008

Plein de rêves cette nuit mais je n'en ai noté aucun.
Je me rappelle juste de celui ci:

Je suis en cours. Christophe L. est le professeur d'art appliqué visiblement. Il nous enseigne à modeler du fusain ou une matière qui y ressemble drôlement. Ce n'est pas facile à sculpter, car le fusain s'effrite facilement.
A un moment il s'approche de moi et j'ai l'impression que sa peau devient incandescente au niveau de son nez. Je lui en fais la réflexion d'ailleurs.
Alexandra C. , une fille qui était avec moi au collège et était très douée en maths, est là elle aussi. Elle réussit à sculpter divinement bien son fusain. Elle le fait si bien que sa maquette ressemble à du verre pour lunette de soleil, noir, fin et tout brillant.

Christophe me donne autre chose à modeler: des espèces de petits morceaux de métal qui entrent en fusion au contact avec la peau. J'ai un peu peur que ça me brûle. Ca s'appelle le "flambèche" ou un truc du genre.
Ceux que je prends en main fonde instantanément et j'ai du mal à ce que ça ne coule pas partout. Puis ça commence à prendre la forme d'une mini côte de maille qui habillerait mon pouce.

Suis content de moi au final, j'ai réussi à créer quelque chose de pas trop moche.

dimanche 1 juin 2008

Rêves du 1er juin 2008

Je suis à Janson en cours d'allemand. Mme Brague nous donne un questionnaire à remplir. Petit soucis: je ne comprends rien à l'allemand. Et plus je regarde mon questionnaire et plus je le trouve suspect... Visiblement il me manque le corpus de textes, donc impossible de répondre aux questions de compréhension.
Je me lève et vais voir le prof. Ce n'est plus mon ancienne prof désormais mais un type un peu plus jeune que je ne connais pas. Il me fait la bise, ce que je trouve assez étrange comme comportement de la part d'un professeur.

Je me retrouve avenue Victor Hugo avec Béatrice. Il fait nuit. Lorsque nous arrivons à l'endroit où démarre la rue Spontini, des types arrivent et nous encerclent. Je ne me sens pas très à l'aise. Je dis à Béatrice de se servir de son karaté pour nous sortir de là. Visiblement elle n'est pas très effrayée, mais elle ne bouge pas non plus. Un type s'approche de moi pour voler mon portable. Je refuse, et décide de m'enfuir en prenant Béatrice par la main. Intérieurement je me dis qu'il vaut mieux avoir l'air d'un lâche et fuir plutôt que de perdre mon portable.

Je me réfugie dans une grande boutique en espérant que les racketteurs m'y suivent afin de se faire arrêter par les vigiles, mais ils ne semblent pas venir...

....

Je suis à St-Tropez dans une maison de vacances. Ou plutôt un appartement. Il y a une maison en face de l'immeuble dans lequel je loge. Avec une terrasse. J'ai bien envie de voir à quoi tout cela ressemble. J'aimerai bien sauter par la fenêtre pour atterrir sur le toit d'en face mais la maison semble s'être éloignée.. Je crois que je m'envole alors et commence à survoler plus ou moins cette maison qui attise ma curiosité. Une fois posé sur la terrasse je réalise que l'on a une vue incroyable sur la mer et la pinède à la fois. J'ai bien envie de louer la maison pour les vacances au lieu de l'appartement que j'ai déjà et cherche quelqu'un qui pourrait me renseigner.
Je tombe sur deux femmes, des agents immobiliers certainement qui me disent que la maison appartient à la famille Aaron mais qu'elle est louée parfois. Actuellement on ne peut pas l'occuper mais je peux toujours remplir un formulaire.
J'accepte et la femme me tend le formulaire. En fait il faut remplir un texte avec des mots qui manque. L'agent immobilier est censée me lire le texte et je n'ai qu'à combler les trous... Le premier mot est "murmure". Je n'arrive pas à bien écrire et l'agent immobilier me regarde ainsi que mon écriture comme si c'était une preuve de négligence de ma part. Elle veut continuer sa dictée mais ça commence à me fatiguer en fait et je laisse tomber.

Une ellipse m'emmène dans ma chambre à Paris, je suis fatigué, je rentre de je ne sais où et un type me suit. Je crois qu'il a envie de coucher mais pas moi. Je suis en slip ceci dit. Je viens de me lever parce que j'ai une érection et je me dis "c'est le matin, c'est normal". En même temps je crois que ça m'excite aussi un peu d'être désiré par ce type, mais je n'ai toujours pas envie de coucher. Je lui dis que je vais le raccompagner à la porte. J'enfile un t-shirt vert pomme et me dirige vers la porte.

L'appart change. Il est plus strict. Les murs sont d'un blanc plus éclatant encore, et le reste de la déco est dans un style très minimaliste, et noir. On est situé au dernier étage d'un grand immeuble moderne noir qui a une vue sur un port. Il fait nuit. Une des fenêtre est ronde. En fait M6 a mis son logo sur l'immeuble et la fenêtre est insérée dans le rond du 6 de M6.
On doit bientôt déménager. Je quitte l'appart en m'envolant, sûrement par la fenêtre et me dirige vers le port. Il y a une sorte de marché un peu pouilleux sur les quais. Une femme qui tient un stand a un petit chien blanc. Je crois que je l'ai vu un peu plus haut. Je m'envole pour aller le chercher. C'est une sorte de petit bichon blanc extrêmement sale. Je l'emporte avec moi et me redirige vers le port. Je dis à la femme que j'ai trouvé son chien. Et là je réalise que j'ai perdu le chien pendant que je survolais le port. Mais elle me rassure, elle n'a pas perdu le sien. Et elle confirme cela en me montrant son chien, qui est blanc lui aussi mais d'une autre race, genre fox terrier ou un truc du genre.
Je laisse tomber cette histoire de chien et commence à farfouiller les étals. Une femme arrive et dit à la vendeuse qu'il faut faire attention avec ce qui traîne par terre, car bien qu'en cette saison il fasse trop froid pour que quiconque marche les pieds découverts, il ne faudrait pas que quelqu'un attrape le sida. Je lui dis alors que je suis en sandale. Elle me regarde et me répond en se moquant légèrement si j'essaie d'imiter le style de Mylène Farmer parce que j'ai une sorte d'écharpe bleu turquoise autour du cou. Je réponds que non un peu courroucé.