samedi 29 août 2009

Rêve du 28 au 29 août 09 (3)

Je veux acheter du lambrusco dans un grand magasin. Je prends la bouteille et passe à la caisse. Le caissier veut me faire payer 53€. Or j'ai vu que le prix de la bouteille était de 42€. Son comportement me met en colère, et je lui dis que ce genre d'attitude envers la clientèle est inadmissible mais il semble s'en foutre, et me propose de payer le prix régulier ou de laisser la bouteille. Je décide alors de payer le prix qu'il en voulait et d'aller ensuite le dénoncer auprès de la direction du magasin afin de le faire virer. Je lui annonce même mon projet, mais il reste impassible.
Je sors à la recherche du département de la direction du magasin.
Je tombe sur une sorte de grand hall, tout en marbres de différentes couleurs, des personnes en habits de cocktails discutent autour d'un bar. Ce doit être un genre d'évènement privé. Je me fraie un passage à la recherche d'un responsable. Je tiens toujours ma bouteille de lambrusco et inconsciemment, je le l'ouvre et en boit quelques gorgées. Puis je réalise ce que j'ai fait: on ne pourra plus me l'échanger désormais, mon plan semble tomber à l'eau. J'essaie de la rebouchonner tant bien que mal, avec un succès très limité. J'approche des hommes habillés en costume, l'un d'eux me redirige ailleurs. Au bar je crois une grosse femme, qui ressemble à un mélange entre un troll et un drag tant elle est bouffie et maquillée. C'est une amie de ma grand-mère qui me reconnaît et commence à me coller. Je n'arrive plus à m'en débarrasser, mais en profite pour lui expliquer mon problème.
Elle m'emmène dans une autre partie du magasin, où se trouve également un bar, mais plus petit cette fois ci. Tandis que nous discutons, elle saisit ma bouteille mal refermée et du vin coule sur son col. Je me sens atrocement gêné; à cause de mes conneries j'ai abîmé les vêtements de la seule personne qui était disposée à m'aider. Elle ne s'en offusque pourtant pas, et garde sa bonne humeur. Le barman rigole doucement, et je le comprends, c'est vrai que tout ça ressemble à une suite de gags. Je ne sais plus comment ça se produit, mais la femme en revenant, manque par inadvertance de me couper le bras avec un couteau à pain. Oui décidément, tout ça est vraiment trop absurde, même pour moi.

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