vendredi 23 mai 2014

Rêves du 22 au 23 mai 2014

Je suis dans un aéroport. Je suis avec Clément, dans la salle d'embarquement. Le plafond est une immense verrière de forme arrondie, donc on voit bien l'extérieur. Il y a une tempête de neige qui fait rage dehors. Deux étudiantes qui attendent elles aussi leur avion sont assises à côté de moi. On discute, et je leur dis que ça me rappelle Boston pendant l'hiver 2012.
Soudain le vent devient si violent que l'on voit une tour de contrôle s'effondrer au sol et être recouverte de neige aussitôt. C'est la panique, les voyageurs commencent à évacuer le sas d'embarquement en criant ! On se dirige de façon désordonnée vers des escalators pour trouver la sortie, mais il y a un autre problème encore plus grave ! Je ne sais pas pourquoi exactement, mais il n'y a pas que la tour de contrôle qui a été touchée, il y a eu aussi probablement un problème avec l'endroit où on stocke les bagages, car l'aéroport est envahi de bêtes sauvages qui étaient destinées à voyager dans la soute d'un avion: des lions, des tigres, des loups et des hyènes. Ce qui accroit la panique chez les voyageurs cherchant à s'échapper, moi y compris.
On me fait comprendre qu'il ne faut surtout pas les regarder dans les yeux si on ne veut pas se faire attaquer. Je prends un escalator dont la sortie est gardée par des hyènes et j'essaie de détourner mon regard pour ne pas les provoquer. Il y a des enfants qui se cachent le visage dans leurs mains. Finalement j'arrive à les dépasser. Il faut ensuite prendre des escaliers pour descendre de niveau. Je dépasse tout le monde et j'arrive dans une zone que les animaux n'ont pas encore investie.
Plutôt que d'attendre leur arrivée, je décide de descendre encore d'un niveau pour me rapprocher de la sortie. Dans l'escalier qui me mène au niveau inférieur, je trouve un petit placard qui se révèle être en fait des toilettes. Sans réfléchir, je m'y engouffre et verrouille tout de suite derrière moi, étant persuadé que désormais je suis à l'abri des bêtes sauvages.
J'ai à peine le temps de reprendre mon souffle que j'entends une présence derrière la porte, des pas qui se rapprochent lentement. Mon angoisse augmente. La présence s'arrête derrière la porte, je maintiens le verrou fermé de toutes mes forces. Mais je vois que c'est la poignée de la porte qui bouge, pas pour s'ouvrir, au contraire pour se fermer, la personne derrière la porte est en train d'utiliser une clef pour verrouiller la poignée de porte. Une voix grave ricane et me dit "Maintenant c'est toi qui est pris au piège...." .


.....


C'est mon anniversaire, ma mère a organisé un repas. Il y a un genre de sauna. dans lequel je me retrouve. Un autre mec est là, torse nu. Il me fait penser à un ancien collègue de travail. Il essaie de me draguer, j'ai pas vraiment envie de coucher avec lui mais bon je me dis que je peux être sympa et le remercier de m'avoir prêté attention. Je me lève du banc où j'étais allongé et là je remarque que je fais au moins 20 cm de plus que lui... Et il a des yeux bizarres. Il me dit qu'il est trisomique. Je suis un peu gêné car je m'étais toujours dit que coucher avec un handicapé ça m'exciterait mais là pas du tout en fait.
Je retourne à l'anniversaire. Il y a donc quelques personnes invitées dont ce mec que je connais mal. Et quelques membres de ma famille, mon oncle et ma tante, ma mère qui a organisé le truc, ma soeur, mes cousines. Je me dis que c'est à chier comme anniversaire et j'aimerai ne pas être là. Ma mère veut me placer entre ma tante et mon oncle mais je râle car je n'ai aucune envie d'être à côté d'eux, je n'ai rien à leur dire. J'en profite pour glisser un mot à ma soeur, je lui dis de me rappeler de lui parler de mon projet de film, j'ai eu une idée géniale et je veux lui en parler (je fais référence à mon premier rêve).
Finalement on s'asseoit tous autour de la table mais il manque des couverts et des plats. Je réalise alors que je possède une baguette en bois qui me permet de faire bouger les objets à distance. Je me concentre très fort et je parviens à ramener des fourchettes et des couteaux depuis la cuisine. Mais ça me demande un effort de concentration intense à chaque fois et plus je m'en sers et plus mon pouvoir faiblit. Dommage...

...

Je travaille à nouveau dans les fleurs. Ou bien je suis en cours, je ne sais plus exactement. En tout cas il faut créer de petites compositions florales. Il faut prendre des touffes d'herbes, les diviser et replanter chaque brin dans un petit monticule de mousse, en laissant deux trous à côté du brin pour que d'autres tiges puisse émerger. C'est fastidieux et pas très intéressant. Il y a un mec mal rasé qui nous supervise. Il critique notre travail et le trouve nul. Ca m'énerve. Il décide de partir du travail avant que nous ayons fini mais je me méfie car j'ai des objets de valeur dans mon casier. Je mets donc les bouchées doubles pour finir en vitesse et aller vérifier ce qu'il se passe du côté des casiers. Je ne m'étais pas trompé ! Je surprends le mec en train de fouiller dans mon casier !
Je l'interpelle et il s'arrête aussitôt mais ne semble pas vraiment gêné de son attitude et s'en va d'un air nonchalant. Je peux voir par la fenêtre qu'il rejoint deux autres types dans la rue.
Je vais me venger, je prends dans mon casier des montres Armani, et j'en mets une à chaque doigt pour me créer un genre de poing américain. Ainsi armé je m'apprête à descendre dans la rue pour lui casser la gueule avec les objets qu'il convoitait. Mais avant je préviens la responsable de la boutique de la tentative de vol: c'est une petite vieille qui est assise dans une fauteuil à bascule, et qui regarde par la fenêtre, drapée dans une robe violette, avec une coiffe bizarre qui fait penser à celle de la grand-mère de Marjory dans Game of Thrones. Elle ne semble pas trop prêter attention à ce que je lui dis.
Je vais dans la rue à la rencontre des trois types dont le voleur. Visiblement ce n'est qu'un pion, son chef est à moitié allongé sur un muret vêtu d'un blouson noir. Il a aussi un énorme pistolet futuriste qui semble être fait en plastique violet. Je lui parle du vol mais il me répond que c'est le taf du mec, dont le prénom est Stéphane. Je lui réponds que je comprends mais que je n'aime pas la manière dont il nous traite au travail. Et que je ne comprends pas pourquoi il est notre supérieur alors qu'il ne sait rien faire de plus que nous. Le mec au pistolet me demande si je ne sais vraiment pas pourquoi il est mon supérieur. Je commence à chercher et admettre que Stéphane est plutôt mignon et que ça pourrait être la seule raison valable.

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