samedi 29 novembre 2008

Rêves du 29 novembre 08 (2)

Je domine une forêt depuis un plateau rocheux. En fait je surplombe l'espace d'un jeu vidéo: il faut déplacer à travers la forêt un groupe d'animaux, tels des pions, (là j'ai deux marmottes [qui ressemblent à des castors] à faire bouger), leur faire franchir des obstacles jusqu'à les mener jusqu'à un certain point. Puis ce sont des groupes d'animaux différents qu'il faut coordonner. Je dois faire se déplacer une vache noire, une vache blanche, une chèvre et un chien. J'arrive à les mener jusqu'à une zone où quelqu'un garde un objet précieux.
C'est une plaque d'argent fine, taillée en forme de bouclier, sur laquelle sont gravés des inscriptions et un grand soleil. Le gardien me demande si je sais de quoi il s'agit. Je réponds que oui; c'est en fait un emblème de Louis XIV, que l'on accrochait sur les bateaux qui partaient explorer les terres inconnues pour les revendiquer au nom du roi; la plaque servait à montrer la magnificence du Roi Soleil. J'ajoute que c'est plutôt minable comparé au faste de la flotte inca qui avait débarqué en Europe, et que les empereurs incas auraient pu marcher dans Paris s'ils l'avaient voulu. Mon interlocuteur me dit que jamais ça n'aurait pu arriver car la flotte inca n'avait pas remonté la Seine jusqu'à Paris. Je précise alors qu'ils n'étaient pas très loin en Île de France, mais que leur opération n'était peut être pas militaire ou d'ordre colonial, contrairement aux expéditions européennes. Ceci dit intérieurement je m'interroge sur le besoin d'envoyer une si grande flotte uniquement pour de l'exploration.

Je passe à bord d'un vaisseau justement. Ce n'est pas vraiment moi, mais un autre personnage, qui semble pressé de partir. Il est suivi par un autre type à l'air louche. Mon perso fait tout pour empêcher le second de monter à bord et y parvient. Le navire part, mais le type louche s'avance le long du quai jusqu'à tomber dans l'eau.
Mon navire coule, et le mec louche coule à pic également. Ma suspicion à son égard se voit justifiée puisque une fois au fond de l'eau, il se transforme en une sorte de truc monstrueux à l'air vaguement humain. C'est un mutant. Mais moi aussi, puisque je parviens sans peine à respirer sous l'eau. Le monstre me pourchassait pour cette raison; il fait partie d'une sorte de brigade anti-mutants. Il me dit que les mutants sont inhumains, faisant allusion à mon attitude stoïque alors que je devrais être en train de me noyer. De mon point de vue c'est l'hôpital qui se fout de la charité, vu sa tronche...

Visiblement l'histoire change un peu, puisqu'un troisième type utilise ses propres super-pouvoirs pour éloigner le monstre et l'électrocuter. Je m'incarne dans la peau de la Petite-Amie-En-Danger-Du-Superhéros. L'opération de sauvetage va visiblement coûter la vie du super-héros, et je veux l'empêcher de se sacrifier pour moi. J'escalade une sorte de grande machine mais trop tard.
De toute façon c'est la fin du film.
C'était Spiderman 2. J'ai trouvé ça bien mieux que le Spiderman avec Kirsten Dunst, le personnage de la petite amie était un peu plus volontaire et moins niais.

.....

Suis dans un labo de génétique. Des scientifiques présentent leur projet. Un des responsables considère que les applications de leurs expériences n'auront aucun effet nuisible au niveau bioéthique, mais un autre chercheur ne partage pas du tout son avis, et demande à ce qu'un contrôle soit mis en place afin de prévenir tout dérapage. Les deux commencent à se disputer jusqu'à ce que Obama intervienne en déclarant qu'il faudra instaurer une commission de contrôle éthique.
Puis les scientifiques nous montrent l'un des premiers résultats de leurs expériences. Dans une cage en verre on voit une souris avec une aile de chauve-souris qui a poussé sur le côté. Les chercheurs ont mélangé les gènes des deux animaux. La souris semble plutôt agitée. Les chercheurs nous disent qu'elle a aussi hérité de l'instinct prédateur des chauve-souris.

Je crois que la souris mutante s'échappe, on la cherche un peu, et sous un linge, je trouve une femme miniature. Elle fait environ 10 cm de haut. C'est une autre expérience probablement. Moi même je suis réincarné en femme pour le coup. La mini-femme me dit que j'ai une fuite: en effet j'ai mes règles. Elle sait ce genre de truc parce qu'elle a un odorat très développé. Il faut que j'aille me changer. Ça emballe la mini-femme qui voulait faire du shopping pour s'acheter de nouveaux sous-vêtements. Je sors donc et passe dans un centre commercial. Mais pas le temps de faire des courses; je suis parti avec le résultat d'une expérience hautement confidentielle, donc les scientifiques me font pourchasser immédiatement!
Je dois trouver une planque, me réfugie dans des toilettes crades. Un garde entre dans les toilettes et regarde par dessus la porte des cabinets pour voir si je suis la personne que l'on recherche. Je baisse la tête et fait mine de pisser pour ne pas être reconnu. Le mec regarde à plusieurs reprises, et me crache dessus à un moment, mais ne m'identifie pas comme le voleur, et me laisse finalement tranquille.

Rêves du 29 novembre 08 (1)

Je suis dans un bistrot. J'attends quelqu'un. Je suis censé faire des exos de maths. Il y a deux mecs à une table voisine. Me demande s'ils sont en couple, mais quoiqu'il en soit ça m'énerve de les voir ensemble, donc je leur tourne le dos pour ne plus les voir.
Au bout d'un moment ils s'en vont.
Et un peu plus tard, la personne que j'attendais arrive. C'est mon oncle, même s'il ne lui ressemble pas du tout, puisque c'est un mec en fin de vingtaine qui est face à moi. Il est là pour m'aider avec les maths car j'ai un peu de mal. Je le remercie etc, et lui me répond qu'il avait promis de m'aider de toute manière.
On esssaie de résoudre les premiers exercices, puis nous quittons le bistrot. Je suis dans sa voiture, il ressemble désormais à mon oncle réel. Il reçoit alors un coup de fil de ma tante, qui veut savoir quand est ce qu'il rentrera. Mon oncle lui répond de ne pas l'attendre, et de dîner sans lui. Ma tante semble irritée au téléphone et je suis désolé de causer des soucis.
On roule dans le XVIème je crois bien.
Puis nous marchons, le long d'une petite muraille. Je fais des reproches à mon oncle, lui disant qu'il avait pourtant promis de m'aider. Il traîne essouflé derrière moi, car désormais il a l'apparence d'un papy rabougri.
On arrive dans un immeuble, pour visiter un appartement. Le quartier n'est pas idéal, mais l'appartement est sublime: il s'agit sûrement d'un ancien atelier qui a été réaménagé. Il possède un plafond très haut, composé d'une grande verrière. Il y a des poutrelles en métal qui soutiennent la structure, et du lierre s'enroule autour, donnant au lieu un côté mi-industriel, mi-naturel, et vraiment charmant. C'est un deux pièces. Il est composé d'un très grand séjour, dans lequel on trouve une cuisine américaine, et d'une vaste chambre, avec une salle de bain complète dans une troisième pièce. Orienté Sud-Est.
Le seul soucis, c'est le quartier qui ne me plait pas vraiment. Et je suis visiblement très loin de la station de métro la plus proche. Je me dis que ce n'est peut être pas si grave, il me suffit d'avoir un scooter, de toute façon j'en voulais un depuis un bail.
La méthode pour obtenir l'appart est assez originale: ce n'est pas le meilleur dossier qui l'emporte, mais le premier qui signe. Comme il y avait beaucoup de monde pour le voir, je me suis précipité en avant et suis entré dedans avant tout le monde avec mon oncle lorsque les deux agents immobiliers ont ouvert ses portes.
Je pose quelques questions. Le loyer mensuel "700 et quelques"; la superficie "800" (je me dis que c'est bien trop petit pour 800m², et que la personne a dû confondre avec 80m², ce qui est déjà inespéré vu le loyer.
Je n'hésite pas trop longtemps, je signe avant tout le monde. Et hop, j'ai enfin mon appart!

...

Suis spectateur au départ. Je vois sur une sorte de vaste lac bordé de collines qui se jettent dans l'eau, deux embarcations. Un voilier élégant, et une sorte de petit rafiot plus modeste. Il y a des gens sur chacun d'eux. Deux filles sur le voilier, deux garçons et une fille sur le rafiot. Les deux groupes sont en vacances visiblement. Ils se connaissent aussi semblerait il.
Le rafiot se rapproche du voilier. La fille du rafiot, une blonde, discute avec une autre du voilier, brune. Je regarde ce qui se passe sur le voilier, quand on entend un grand bruit: quelque chose a percuté le rafiot: un météore! Le météore a percé le pont visiblement et un des mecs est tombé dans le trou. La fille et l'autre type l'aident à se relever, il n'y a rien de cassé, mais tout le monde est sous le choc. Surtout que la situation empire rapidement: le météore n'a pas que fracassé le pont, il a aussi percé la coque du bateau, qui commence à prendre l'eau...
Rewind => Je revis exactement la même scène, mais cette fois ci, dans la peau de la fille du rafiot, donc le point de vue change. Et change aussi le fait que je sais ce qu'il va se passer. Le météore tombe, l'eau monte... On commence à écoper pour essayer de gagner du temps.
La fille brune sur le voilier semble aussi ébranlée. Elle me dit que je compte trop sur les autres, ces deux types en l'occurrence, que je ne suis pas assez indépendante, et que je fais vraiment cliché de la Californienne blonde.
J'en viens à me questionner sur les probabilités qu'un météore tombe pile poil sur un bateau, quand soudain l'explication m'apparaît: c'est sûrement un moyen pour célébrer l'élection de Obama. Je regarde le ciel, et vois qu'il y a d'autres micro particules qui entrent dans l'atmosphère, on dirait une pluie de petits cailloux enflammés. Ce doit être un genre de pyrotechnie.

Suis téléporté soudain à New York, un endroit qui est censé être et qui ressemble vaguement à Time Square. Les gens sont amassés pour attendre les résultats de l'élection.
Soudain de grands feux d'artifice partent dans le ciel, et la foule se met à hurler de joie: c'est officiel, Obama est le prochain président américain! Moi aussi je crie, emporté par l'émotion de la foule.

Puis les gens retournent à leurs occupations. Il y a plein de gens travaillant dans la finance dans le coin. Ils sont tous habillés en costard. Je détonne un peu, puisque je suis vêtu de mes habits normaux. Je croise un mec de la Villette. Il a trouvé du job aux Etats-Unis. Il est également vêtu d'un costard, quoique assez moche. Il me dit que c'est la règle ici, qu'il faut venir bosser comme ça. Je me dis que j'ai en partie choisi cette branche pour ne pas avoir à subir ce genre d'obligation vestimentaire.
Tout le monde semble occupé, à faire des devoirs ou autre. Je me sens un peu à l'écart vu que je flâne, et me dis que je pourrai en profiter pour faire mon devoir de structure. Je cherche une table où bosser, puisqu'on est dans une sorte de grande bibliothèque en plein air. Les étudiants sont tous en uniforme aussi. Je me mets à la table d'une fille blonde que je connais, mais une sorte de surveillante se pointe et me dis que je ne suis pas au bon endroit, et me met à une table avec des étudiants sans uniforme. Finalement ça me soulage plus qu'autre chose, je ne suis pas le seul à avoir gardé des habits de tous les jours.

mardi 25 novembre 2008

Rêves du 25 novembre 08

Je suis dans un décor champêtre. Axelle est avec moi. Nous marchons le long d'une route qui parcourt des collines, quand nous décidons d'explorer un peu les sous-bois avoisinants. En me penchant je trouve dans l'herbe des espèces de petits bouts d'écorce brunâtre. Ils n'ont vraiment rien d'appétissants et pourtant j'en avale quelques uns puis nous continuons notre balade, jusqu'à ce que je réalise que le décor a changé.

On se croirait désormais dans un dessin animé, tant les formes et les couleurs du paysage sont simplifiées; les collines sont désormais de grosses bosses, au sommet desquelles poussent quelques arbres qu'on pourrait croire dessinés par un gosse de 7 ans....

Je mets peu de temps à comprendre la raison de ce changement: les écorces que j'ai mangé étaient en fait des champis hallucinogènes! Je suis ravi d'en faire l'expérience en pleine nature, et de partager ça avec Axelle qui plus est. Je vais du coup lui demander comment elle vit la chose. Visiblement pas aussi bien que moi; les champis la rendent malade et elle n'aime pas du tout ce genre de trip. Suis un peu déçu par sa réaction, mais pas vraiment étonné.
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Je suis dans l'espace, à bord d'une plate-forme spatiale. Nous sommes en orbite de la Terre. Mais celle ci ressemble plutôt à la représentation qu'on aurait de la Terre dans un jeu vidéo. D'ailleurs je trouve que les images sont plutôt mal faites; l'atmosphère est brouillon, on ne distingue pas les continents, ni les océans à vrai dire: en fait on dirait une sorte de sphère dans des tons beiges.

Je suis sur la passerelle de la plate-forme et me bat contre quelqu'un, possiblement Dark Vador. Un vaisseau est éjecté de la station; en fait on dirait une tête de Vador géante. La tête-vaisseau est attirée de plus en plus par la gravité terrestre et j'assiste à sa désintégration lorsqu'elle pénètre dans l'atmosphère de la Terre. Sauf que la désintégration a lieu au ralenti, et que l'explosion est démesurée par rapport à la taille de la planète, ce qui me fait penser à la qualité pourrie du soft dans lequel je me trouve.

Mais je n'ai pas le temps de penser trop longtemps à tout ça, car il va me falloir moi aussi me rendre sur Terre. Je dois descendre récupérer quelque chose dans le cratère d'un volcan. J'emprunte une navette spatiale et me retrouve dans le cratère du volcan, entouré par de la lave en fusion. Il fait extrêmement chaud, ce qui risque d'endommager la navette et de perturber ma mission. Finalement je parviens à me poser sur un petit rocher qui émerge au milieu du magma, et je tente de récupérer un liquide noir et visqueux qui coule de la roche. Il faut faire vite, car la chaleur est également nocive pour les instruments permettant de récupérer le liquide visiblement.

Finalement c'est chose faite, et je retourne fissa sur la station. Là j'entre dans un laboratoire: il faut faire analyser de toute urgence le liquide!

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Je suis sur une sorte de grand bateau, qui ressemble vaguement à un bateau pirate du XVIIIème, mais en gigantesque. Ce n'est visiblement pas qu'un bateau, mais une sorte de ville pour rescapés dans un monde post-apocalyptique. Le bateau est même divisé en plusieurs villes distinctes, puisque j'apprends que les passagers fortunés du pont supérieur ont décidé de créer la leur, et de la nommer Charlotte.

Je suis à la recherche de quelque chose (j'ai oublié la nature exacte du quelque chose) mais je ne suis pas le seul; des nains déguisés en marins et à l'air mauvais recherchent également ce que je convoite. Je suis donc pris d'une sorte de frénésie et cours partout afin de trouver avant eux.

Je finis par descendre dans les tréfonds de la ville (la cale). Tout y est sale et sombre, et dans une pièce je découvre ce que je cherchais: une sorte de forme bleutée palpitante qui évoque vaguement un atome stylisé: c'est Génome Pur. Tout le monde désire l'obtenir car c'est un monde peuplé de créatures hybrides. On a assemblés des parties différentes pour créer les individus. Un professeur me montre un schéma explicatif qui représente une coupe du cerveau humain; il me désigne ensuite des parties du cerveau où résident des pulsions antagonistes "Ici c'est la haine, là l'amour... Par là on a le courage et ici la peur..." Le Génome Pur permet de séparer toutes ces parties et de ne recoller ensemble que celles qui sont identiques, afin d'obtenir des individus purifiés.

Pas le temps de m'appesantir sur la théorie, des hybrides me pourchassent (des Hommes-Cafards en l'occurrence!). Je crois que je parviens à m'échapper.

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Je songe à me faire bâtir une sorte de pavillon oriental. Je suis avec un vieil architecte qui ne supporte pas le soleil. C'est étonnant car il a la peau toute tannée. Il m'attire à l'ombre, dans une sorte de lit protégé de la lumière par des voiles de mousseline vert clair. J'ai un peu peur qu'il ne veuille coucher avec moi, d'autant plus qu'il ne m'attire pas du tout. Mais on dirait que non. On parle un peu de mon projet, et finalement je trouve que ce n'est pas assez bien, et que tant qu'à faire, autant faire bâtir un palais. J'ai en tête quelque chose assez proche du Taj Mahal, mais en plus haut et en doré.

jeudi 20 novembre 2008

Rêve du 19 novembre

Court rêve fait pendant la journée.

Je suis chez moi dans ma chambre. De ma fenêtre je vois un voisin qui passe dans la cour, et que j'aperçois de temps en temps quand il prend l'escalier de service.
Là je me permets de lui faire un grand sourire.
Il emprunte l'escalier mais s'arrête au premier palier et à travers la baie vitrée de l'escalier de service qui donne sur la cour, il me rend mon sourire.
Je suis content, j'y aperçois un signe, du coup je m'approche de la fenêtre, en boxer.
Il comprend le message et commence à se dessaper de l'autre côté et s'approche également. Sauf qu'il glisse et se casse la gueule dans la cour de l'immeuble.
Je contemple, figé par la surprise, son corps inerte sur le sol en béton, sa tête baignant dans une flaque de sang, en me demandant ce que je suis censé faire...

Et me réveille!

mardi 18 novembre 2008

Rêve du 16 au 17 novembre 08

Je suis dans une sorte d'hôtel qui ressemble un peu au lotissement où vit Dexter dans la série éponyme.
Il s'agit en réalité de logements pour étudiants. Il y a quelques personnes de la Villette dans une chambre voisine de la mienne, dont Chloé et Pauline. Elles veulent détruire la cloison qui sépare leur chambre du couloir, afin que les gens puissent venir chez elles n'importe quand et organiser ainsi de grosses soirées. L'idée ne me convainc pas du tout et je me dis que j'ai bien trop besoin d'intimité pour songer à faire une chose pareille.
J'ai un peu la bougeotte et je bouge pas mal de fois, histoire de découvrir les alentours de mon nouveau logement. La porte-fenêtre donne sur un grand jardin d'un côté, très ensoleillé et vert. De l'autre en revanche, du côté de la porte, on se retrouve dans la structure de l'immeuble, qui est plongée dans une obscurité bleutée. Je fais un tour et croise dans un couloir une sorte de mendiant aviné qui s'approche de moi en essayant de me dire quelque chose d'un ton agressif, ce qui me pousse à me réfugier dans mon nouvel appartement. Pourtant je ne l'aime pas trop, et ne m'y sens pas vraiment à l'aise: il est lui aussi très sombre mais également très sale et en désordre. En outre il semble un peu délabré; je vérifie même que la porte ferme correctement.

Il fait de plus en plus chaud. C'est normal, on est à moitié dans l'univers de Dexter, donc à Miami en Floride. Par la fenêtre j'aperçois le jardin. Le ciel est devenu rouge orangé. Le jardin aussi a changé: c'est une jungle désormais, et je m'y retrouve plongé!
Un plongeon quasi-littéral, puisque je me retrouve à patauger dans l'eau croupie d'un marais.
Je repère un crocodile dans un coin. Évidemment je suis pétrifié.
Le crocodile s'avère être une sorte de moyen de transport assez étrange finalement. Je grimpe sur son dos, tandis qu'une fille voyage dans son immense gueule (il doit faire au moins 7 ou 8 mètres de long).
Le crocodile va de plus en plus vite, je dois me cramponner, tandis que la fille continue à prendre des poses de plus en plus étranges entre les crocs du reptile..
Finalement il décolle et on se retrouve à voyager à toute vitesse dans les airs, à travers des espèces de grands tuyaux composés de bois et de piquants, comme si des ronces géantes avaient poussées et s'étaient mêlées pour former des espèces de couloirs.
Du coup il faut être assez prudent pour éviter les piquants.

Je finis par atterrir dans une sorte de fête foraine et réalise alors que j'étais juste dans une de ces machines qui bougent sur elles mêmes avec un écran pour donner la sensation du mouvement.
Sur les murs d'une des attractions, il y a des peintures d'enfants qui changent. Il s'agit d'une pub pour MacDo en fait. Une façon de représenter qu'il y a toutes sortes de gens différents qui viennent bouffer chez eux je présume. En tout cas ces images me mettent mal à l'aise.

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Je suis chez moi dans ma chambre, et je me dispute avec ma mère. Elle veut en effet couper une partie de mon lit afin de le transformer en canapé et le transporter ailleurs. Je suis résolument contre. Elle en déduit que c'est parce que je souhaite m'installer dans l'appartement ad vitam aeternam. Et que je la déçois et patati et patata. Personnellement, c'est l'idée de voir le lit tranché en deux qui me met en colère.

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Suis à nouveau dans l'univers de Dexter. Je suis dans une voiture de police, je suis plus ou moins la soeur de Dexter, Debra. Mais je suis également spectateur. Elle se fait attaquer dans sa voiture par un tueur en série. Mais elle est plus rapide que lui et lui injecte une seringue de tranquillisant pour l'arrêter. Le tranquillisant ne fait pas effet très longtemps ceci dit et je la vois en train de frapper violemment le corps de l'homme avec la seringue pour lui injecter plus de calmant. Le calmant en question a une consistance gluante et est blanchâtre...

Le tueur parvient finalement à s'échapper dans un parking sombre. Je me cache plus ou moins pour ne pas me faire repérer. Le tueur me tombe dessus et mutile une poupée barbie en lui arrachant la main gauche.

Je me retrouve avec mon père, et j'essaie de raconter l'histoire fictive de la poupée barbie.
En fait c'est une fille qui a fait Science Po, mais ça ne lui a pas trop réussi, elle n'était pas heureuse dans son travail, elle a voulu changer de vie. Je compte sur mon père pour qu'il me donne des détails à propos de Science Po afin que mon récit soit plus crédible.

Rêve du 29 au 30 octobre 2008

Je suis en train de me disputer à propos de la conception de plans avec des gens que je n'identifie pas clairement. Je ne trouve pas efficace notre manière de travailler car nous sommes envahis par des guêpes.

Je suis dans le métro. Une jeune fille accompagné d'un homme attire mon attention car elle porte une écharpe qui semble m'appartenir. Elle discute avec l'homme d'une ville construite par un grand architecte. Du moins c'est ce que j'imagine au début.
En réalité, elle ne parlait pas d'une ville, mais d'un parc pour enfants; je m'y retrouve aussitôt projeté: les balançoires ont la forme de compas, les nacelles sont de gros dodécaèdres jaunes coupés en deux et le sol est jonché de feuilles mortes artificielles (une idée de l'architecte) ce qui semble dégoûter la jeune femme qui trouve l'endroit malsain.
J'aperçois Cléo et ma tante, mais elles semblent occupées, ce qui me décide à faire des croquis des balançoires, histoire de trouver de l'inspiration pour mon tabouret.
Ma tante se rapproche de moi avec Cléo afin de me dire bonjour.
Une guêpe surgit alors d'un trou dans le sol, ce qui me fait peur.