mercredi 27 janvier 2010

Rêve du 26 au 27 janvier 2010

Dans un car avec des gens de la Villette. Ya M. Doulet, mon prof de dessin d'archi. Je me sens un peu honteux parce que je ne lui ai pas remis le dernier devoir à faire. Le car roule sur une route en pente à toute vitesse, ça fait un peu peur. M. Doulet me dit qu'il est blessé car on l'a traité de pédé. Je me demande bien pourquoi il me prend à part pour me dire ça... parce que je le suis? Je suis en train de me demander si je dois voir ça comme une forme de discrimination quand j'en conclus qu'il est peut être aller se confier à quelqu'un qui peut le comprendre.. Ca m'arrange car je le trouve mignon depuis le début de l'année... mais le rêve se brouille.

Suis chez moi pour le nouvel an. Enfin tout y est plus étroit. Du couloir je peux voir la rue. Je suis avec un type que je connais, Vincent D. je crois. On passe devant ce qui semble être le centre d'une organisation gouvernementale ou un truc du genre (des écrans partout avec un gros logo qui dit "EADS" ou un truc comme ça). Nous descendons l'escalier de l'immeuble, qui est bien plus imposant que l'escalier réel, tout en marbre blanc, des colonnes etc et bien plus vaste aussi; il y a une sorte de bagarre au rez-de-chaussée je crois. Quelqu'un casse une vitre de voiture dans la rue, il y a des éclats de verre partout, ça ne me donne pas très envie de sortir du coup. Je me dis que c'est dangereux, quelqu'un pourrait se blesser avec tout ce verre.
Finalement l'agitation gagne les étages, je me retrouve à remonter précipitamment l'escalier, et à tenter de m'enfermer chez moi.
Je repasse devant l'entrée du centre gouvernemental vu plus tôt. Je décide de l'explorer cette fois ci.
En fait il s'agit du centre de commande d'une organisation de super-héros. Je ne suis plus vraiment présent, mais plutôt spectateur et disséminé dans différents personnages. Il y en a trois. Un jeune noir aveugle qui possède un pouvoir qu'il contrôle mal, un vieux qui me fait penser à une sorte de mélange entre Gandalf et le professeur Xavier, et enfin un ou une troisième qui exhorte le jeune noir à ne pas se laisser faire.
Le vieux mentor (galdalf/xavier) engueule le jeune avec une voix dure dans les airs, ils flottent tous les deux, car il a tenté de se rebeller. Il lui dit qu'il peut se rebeller mais que ça ne change rien, qu'il l'aime toujours, qu'il est juste peiné de ne pas le voir suivre le bon chemin. En fait j'ai l'impression de voir ce que pourrait sortir Dieu s'il pouvait parler, une histoire d'amour inconditionnel, mais pas amour où on l'entend la plupart du temps.
Pendant ce temps, la troisième personne qui est restée au sol crie au jeune de ne pas se laisser faire, de résister. Hésitant au départ, le jeune finit par se laisser convaincre et réussit à canaliser son pouvoir jusqu'à faire exploser en milliers de particules le vieux.
J'ai zappé la suite.

vendredi 15 janvier 2010

Rêve du 14 au 15 janvier 2010

Une course poursuite dans un étrange immeuble. Je suis dans un genre de cage d'escalier et je saute de pallier en pallier, j'atterris sur les rambardes, etc. Le décor est en bois sombre orné de motifs néorenaissance. Je ne sais plus pourquoi mais mon but est de récupérer une bague appartenant à ma mère. Une fois celle-ci en ma possession, mon agilité se trouve décuplée, et je bondis à toute allure. C'est parfait car je peux ainsi semer facilement mes poursuivants (dont ma mère possiblement). Je me saisis d'un câble de téléphérique et glisse en m'y tenant par les mains au dessus d'une grande vallée verdoyante.

J'arrive à Marseille, pendant la seconde guerre mondiale. Je cherche Maminou, et finit par la trouver. Elle m'explique un peu de quoi sa vie était faite à l'époque. Je n'imaginais pas qu'elle flirtait avec autant de garçons. Visiblement elle connaissait mon grand-père déjà à l'époque ce qui m'étonne un peu, mais il n'est pas là. Je crois me rappeler qu'il est au Canada.

jeudi 14 janvier 2010

Du 13 au 14 janvier 2010

Suis au Racing avec mon td d'histoire de la ville. Au départ je ne saisis pas trop pourquoi on visite cet endroit quand je remarque que le bâtiment principal possède en fait les façades des Tuileries. Quand l'Etat a vendu les pierres, certaines ont été réutilisées dans d'autres bâtiments explique le prof.
Évidemment l'intérieur n'est pas du tout de la même époque, mais étrangement il est en ruine lui aussi. Je pars à l'aventure, explorer des pièces remplies d'objets divers.

Me retrouve avec Axelle dans des grottes souterraines. Ya plusieurs portes, mais certaines sont gardées par des pièges. Elle veut toujours emprunter les portes les plus sûres, mais je suis persuadé qu'il y a des trucs intéressants derrière celles piégées; sinon elles ne seraient probablement pas aussi bien gardées. On essaie de franchir un genre de passerelle étrange. Elle est extrêmement fine, et forme un arc de cercle, mais dès que l'on s'avance dessus, elle plie sous notre poids, il s'agit donc de ne pas l'amener jusqu'à son point de rupture. Pour ça, on a un genre de bottes magiques qui réduisent le poids autant qu'elles augmentes l'agilité. Ce sont un genre de boots en cuir bleu-gris. Je les trouve un peu trop féminines pour moi et surtout elles sont trop petites.
Finalement on échoue et n'arrivons pas à atteindre la porte.

Suis dans un train, il y a des gens assis, mais je ne sais plus trop pourquoi je suis là ou bien où je me rends.

samedi 2 janvier 2010

Fragments du 1er au 2 janvier 2010

J'ai en ma possession un sac rempli de billets et de pochons de c, problème le sac ne ferme pas. Et voilà que je croise un groupe de policiers sur mon chemin, ce qui m'angoisse pas mal. Heureusement ceux ci ne voient rien.
Je retrouve mes complices. Le sac contient 56000 euros. Je me dis qu'avec cette somme je devrais être à l'abri du besoin pour quelques temps. Mais ya des dissensions dans notre groupe. On est dans une sorte de prison je crois, faut s'échapper, mais on ne sait pas trop comment faire. Ya un personnage de la série Oz: Abedisi, il me fait assez peur vu ses antécédents dans la série. J'essaie de régler le problème en le frappant sans prévenir avec un marteau, mais ce mec est une telle montagne de muscles que ça ne lui fait rien. Il en profite pour me donner un coup de poing et je commence à vraiment flipper vu qu'il fait deux têtes de plus que moi. Je lui dis de laisser tomber, ça ne lui a même pas fait mal, pourquoi se venger sur moi qui suis presque insignifiant comparé à lui? Finalement les autres l'exhortent à lâcher l'affaire et il se détourne de moi. Suis assez intrigué par lui car par moment il parle tout à fait normalement, et à d'autres il se remet à parler avec l'accent afro-américain; je ne saisis pas l'intérêt de mixer les deux.
Ya un autre type avec nous dont je pensais qu'il ne resterait pas en vie très longtemps au début, et qui finalement s'impose comme chef de groupe.

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Suis avec un groupe, on porte des costumes bizarres. Une fille et un mec viennent de se rencontrer, et semblent se plaire. La fille est asiatique et ne parle pas très bien français, voire pas du tout, et elle une coupe au carré avec des cheveux teints en doré. Finalement elle doit partir. Je confie à une autre fille de notre groupe que de toutes façons les relations sentimentales n'ont jamais d'impact majeur sur les gens; au contraire elles confirment juste leurs convictions premières; les cyniques à force deviennent aigris et les amoureux déçus..

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Une histoire avec Christian B. que je croise alors que j'attends Ghislain quelque part. Il n'a pas changé, mais il n'a plus de boutons sur la figure donc on pourrait en déduire qu'il est un peu mieux. Il n'a pas l'air très intéressé par moi, et quand bien même il ne m'attire plus du tout, ça m'aurait flatté qu'il le soit. Je lui propose de bouffer au restau, mais faut que je prenne une douche avant je crois.

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Je suis à la plage, je mange un bout. La mer est d'huile, c'est assez bizarre. Il fait beau, je sens la chaleur du soleil sur ma peau, c'est très agréable tout ça. Je suis tellement heureux que j'en profite pour glisser à la surface de l'eau, comme un patineur sur glace pratiquement. J'en profite pour planer au dessus de l'eau, en me servant de courant d'air chaud pour m'élever de quelques centimètres dans les airs, au grand étonnement d'une petite fille qui se trouve sur la plage.
Puis comme d'habitude, je finis par perdre le contrôle et n'arrive plus à m'élever.

Un groupe d'étudiants s'approche; ce sont des élèves de seconde année de la Villette, je vois Pauline et Chloé et leur souhaite une bonne année. Ils ont des td visiblement, et doivent aller en cours. La plage a disparu et me suis retrouvé dans un bâtiment scolaire du coup.
Béatrice est là aussi. J'ose pas trop lui dire que j'ai séché mon partiel de maths. De toute façon elle a cours également.
Une policière débarque alors et veut me parler. Je n'aime pas trop ça mais soit... Elle voudrait fouiller mon ordinateur. C'est visiblement la fille d'un commissaire noir qui aurait enquêté sur moi. Son père s'est suicidé donc c'est elle qui reprend l'enquête. Je feins d'être désolé, alors qu'intérieurement cette nouvelle me réjouit. Mais je préfère ne pas trop l'exprimer en face de sa fille qui se trouve être membre des forces de police.
Elle désire donc fouiller mon ordinateur mais je ne sais pas trop pourquoi. Visiblement elle n'a pas besoin de me le dire. C'est assez étrange car elle est assez menue, et souriante et agréable, mais elle dégage une intense aura de menace en même temps. En tout cas plus je la vois sourire et plus elle m'est antipathique. Je suis toujours réticent car je n'ai rien fait de mal, mais elle ne lâche pas l'affaire. Je prétexte de devoir m'absenter quelques instants pour aller aux toilettes, afin de partir cacher mon ordi portable.
Pendant le trajet je me dis que c'est probablement parce que j'ai posté sur mon blog ce rêve à propos d'un sac rempli de billets et de cocaïne qu'on enquête sur moi, ce qui au passage me semble très injuste étant donné qu'il ne s'agissait que d'un rêve! J'ai vraiment rien à cacher dans mon ordi, c'est juste que j'ai aucune envie qu'on trouve mon dossier film porno, après tout c'est mon intimité, je ne vois pas pourquoi on fouillerait ma vie privée sans raison valable.
Je prends donc l'ordi sur mon bureau et cherche un endroit où je pourrai le dissimuler. Le mieux c'est de le confier à quelqu'un. Je pars chercher Béatrice à travers les salles de classes. Je me trompe deux fois et fini par arriver dans la bonne salle.
Mais elle refuse de m'aider! Elle me dit que d'un point de vue légal, je n'ai pas le droit de refuser, et qu'elle commettrait un délit en m'aidant. Je peux comprendre qu'elle n'ait pas envie de s'impliquer si c'est risqué pour elle, mais suis quand même déçu.