jeudi 18 décembre 2008

Rêve du 17 au 18 décembre 08

Je suis dans la rue, il fait nuit. En fait je crois que je suis Buffy. Je suis à la fin de la saison 2 je crois, et je dois quitter Sunnydale, donc je vole la voiture d'un employé municipal qui nettoie le lycée. Le mec appelle ses collègues pour me poursuivre, mais je suis déjà loin.
Par précaution je trouve au détour d'une autre rue une foule et m'enfonce dedans pour ne pas être repéré.
Il y a une sorte de manifestation contre un produit médical toxique. Les manifestants ont écrit des messages en bleu sur leur panneaux de protestation et distribuent des petits papiers bleus pour mettre les gens au courant de leur action.
Je passe difficilement au travers de tout ça et continue ma route. Je déambule un peu, passe devant un resto chinois qui sert des plats peu appétissants, j'ai l'impression de croiser un mec que je connais, Pascal, un type qui travaillait avec moi chez Mariage Frères, mais continue ma route.
Et je retombe sur la manifestation. Cette fois ci, les manifestants essaient de me distribuer un tract. Ils sont très grands et comme je ne leur réponds pas au premier abord, je leur dit que c'est parce qu'ils sont si grands qu'ils sont hors de mon champs de vision, pour m'excuser de ne pas m'associer à leur cause que je trouve juste pourtant.
Et essaie de me frayer un chemin pour aller plus loin. Il y a un couple très grand devant moi qui me bloque un peu le passage. Ils sont également habillés en bleu et semblent enthousiastes à l'idée de la manifestation. Je les dépasse.

Je me retrouve vers Saint-Georges. Dans un troquet pas loin de mon ancien appart, je tombe sur mon père. Son frère est assis avec lui, mais dort.
On discute un peu, je parle de mes projets de vacances, aller faire du ski etc. Mon père dit qu'il ne pourrait pas en faire. Je lui réponds qu'il pourrait faire de la bouée et que c'est assez drôle et sans risque. Il rétorque en riant qu'il pourrait se casser les os avec un truc pareil. J'essaie de faire une blague, mais ça ne prend pas vraiment.


Je suis avec une fille, possiblement de la Villette, mais son identité n'est pas précise car il s'agit d'un mélange de plusieurs personnes. On évolue dans un grand hall jaune pour se rendre à une réception. Il y a des assiettes en porcelaine décorées de motifs bleus sur les murs. Nous suivons une femme d'âge mûr et à l'aspect un peu sévère; ce doit être la maîtresse de maison. Elle semble beaucoup tenir à ses assiettes.
Je me retrouve à un dîner toujours en compagnie de cette fille. Il y a aussi un mec de la Villette présent, ainsi que d'autres personnes dont mon père. Il y a également le mari de la femme mûre. C'est Dick Cheney je crois, en tout cas je l'associe à l'administration Bush.
Le mec de la Villette à un moment se met à critiquer mon père en le traitant de bouffon. La fille qui m'accompagne lui dit que c'est assez grossier ce qu'il fait. Mon père qui reste plus ou moins impassible au début finit par le traiter de petit merdeux, non pas parce qu'il a plus d'expérience que lui, mais parce qu'il gagne plus d'argent que lui. De mon côté je suis silencieux, même si je sens que je devrais m'emporter.
Je demande au garçon s'il sort avec la fille, il me répond que non. Puis je demande ensuite à la fille si elle comptait passer la nuit avec le garçon, elle ne répond pas de façon très claire, mais sous entend que oui. Je lui dis alors que je suis désolé, car si elle veut rester en compagnie du mec, elle va devoir partir elle aussi, puisque je ne tolérerai pas de voir sous le toit de mon père (on est dans mon appartement en fait) une personne qui lui parle aussi mal (en fait c'est ma tentative pour ne pas paraître inactif). Et ce faisant je me lève et incite le type à en faire autant pour le chasser.

Mais finalement c'est moi qui part en compagnie de la fille.
Pendant que nous descendons les escaliers du hall, nous discutons de la présence de Cheney au dîner. Sa femme est vraiment pingre. Quand elle venait à Deauville chez mes grands parents elle était toute mielleuse, tandis que là, elle voulait à peine que l'on se serve de ses précieuses assiettes bleues... Je suis assez outré, car il paraît qu'ils se sont faits couronner empereur et impératrice d'un petit pays du tiers monde. Je me demande si c'est compatible avec la Constitution Américaine d'être empereur de quelque chose. En outre je les suspecte de rester à faire une orgie pendant très longtemps après notre départ. La dernière fois paraît il, Cheney serait resté 8 mois à une réception orgiaque, mais aurait prétendu être en vacances pour camoufler ça. Je trouve toute cette hypocrisie vraiment insupportable...

Il faut se hâter car nous allons être en retard. La fille me parle de ses grossesses. Ou un truc du genre. Je lui dis en plaisantant qu'elle les enchaîne de toute manière. Cela semble la blesser car elle part en avant en sanglotant.
Finalement nous arrivons là où nous devions nous rendre. Il s'agit du baptême de la fille. Sa mère porte une grande robe rouge et tout le monde nous attendait visiblement. La fille est partie pleurer dans un coin derrière un grand piano noir, et sa mère ne comprend pas ce qu'elle a, donc j'essaie de m'excuser pour ne pas me faire accuser d'avoir ruiné la soirée (et accessoirement parce que ça me fait un peu de peine d'en avoir causé autant).
Les choses rentrent dans l'ordre, elle arrête de pleurer et c'est Axelle dont il s'agit désormais. Elle me tend des biscuits apéritifs qu'il faut tremper dans une espèce de fromage blanc.

Je ne sais plus si c'est au sein du même rêve, mais en tout cas Axelle et moi avons une dispute, à propos d'orchidées. On essaie d'en planter chacun, de couleur différentes. Elle essaie de planter des jaunes et noires, moi des rouges et blanches plutôt. et on accuse chacun l'autre de défigurer les plantations de l'autre. Notre mère arrive et nous essayons de la faire intercéder chacun en notre faveur, mais sans résultat très probant.

.....

Une sorte de jeu vidéo grandeur nature. Il y a une sorte de bateau pirate géant dans la mer, et je nage autour. A l'aide d'un élastique géant tendu entre les mats, je recule dans l'eau jusqu'à me propulser dans les airs au dessus du bateau et atterrir dans une sorte de niveau supérieur. Une sorte de labyrinthe. Il y a différents types d'armes au sol, mais aucun qui ne soit vraiment utile. Je peux les recycler pour obtenir des matières premières. Des pères noël automatisés sont les monstres à éviter dans ce labyrinthe. Sauf qu'au lieu des vêtements rouges, ils ont des vêtements jaune et vert. Je parviens à grimper encore et à changer de zone.

Cette fois ci je suis au seuil de l'îlot temporel de Mahaheel, la résidence du Prince Kushulai'n. En gros je suis replongé dans le jeu The Nomad Soul.
Il faut se préparer à aller affronter le roi des démons, Astaroth. Sachant que je n'ai jamais réussi à le vaincre, j'essaie de prendre des forces avant d'aller prendre possession du corps de Kushulai'n. En lisant la soluce, j'apprends qu'il y a un endroit secret à l'extérieur de l'îlot que je n'avais jamais vu. J'essaie de m'y rendre après avoir décroché une tenture rouge. Je récupère je ne sais plus quoi mais glisse et redescend de niveau.

Me retrouve dans l'eau de mer, à côté du bateau, sur laquelle il y a une grosse tête de Mario maintenant.
J'essaie de me relancer avec l'élastique, mais celui ci est tout usé, et ne se tend plus vraiment. Au contraire, il s'étire jusqu'à se casser.
Je nage autour du bateau en essayant de retrouver un autre élastique...

lundi 1 décembre 2008

Rêves du 1er décembre 08

Je suis dans une sorte de résidence de vacances, probablement dans le sud vu que le décor semble un peu méditerranéen. Je suis là bas avec ma mère et ma soeur. Ma mère est au bord de la piscine sous un parasol, elle discute avec une autre femme. Je sais qu'il y a un vieil obèse qui tourne dans le coin également, et qui a des vues sur moi, ce qui me dégoûte.
Je retourne dans ma chambre d'hôtel, et je ne sais plus trop pour quel raison, je soulève la peau d'un de mes index en passant un cure-dent en dessous. Il faut que je trouve ma mère pour qu'elle me donne un pansement.
Une fille arrive, et me montre une zone sur mon pouce en décrétant qu'elle contient des cellules cancéreuses et qu'il faut que je fasse quelque chose pour me soigner en vitesse si je veux éviter un cancer généralisé. J'essaie de m'arracher la zone en question en me mordant, mais sans réel succès. La fille me propose son aide. J'hésite car elle fait partie d'une sorte de secte, mais finalement lui file mon numéro de téléphone.

J'ai un peu zappé un passage intermédiaire, mais je sais que je fuis cet endroit assez rapidement en métro. Dans la rame, je retrouve Ulysse. Il est avec une copine dont il semble assez proche, et je ne veux pas les déranger. Me demande également ce qu'il est advenu de sa Johanna. Puis, pour une raison que j'ai oublié, on commence à se chamailler en se jetant du nutella dessus.
Je vois en même temps que mon téléphone est saturé par 90 appels en absence des membres de la secte. Elles (car il n'y a que des femmes dans cette secte) ont dû remarquer ma défection...
Je reçois un coup de fil d'Axelle qui me demande de revenir en m'assurant qu'il n'y a plus aucun danger.
Mais je ne suis plus vraiment à proximité, puisque le métro m'a déposé à Caen.

Je me balade sur le port, et me fais la réflexion que tout ceci devait être très différent du temps où Maminou était jeune. Je me dis également que le port de Caen est plus impressionnant que celui de Deauville.
Je suis soudain pris d'une forte envie de me jeter à l'eau. Ce que je fais. Mais je dois remonter en vitesse sur le quai car un sous-marin qui faisait des manoeuvres dans le port manque de me rentrer dedans.
Je continue ma promenade sur le quai.
Je croise tout d'abord un groupe de punks, à l'allure plutôt miteuse; je les survole en faisant un grand bond. Puis je traverse le feu de camps d'un groupe de mecs au look roots, qui sont en train de fumer des pets. L'un d'eux m'en propose d'ailleurs, mais je décline et poursuis ma route prestement. Enfin je tombe sur un groupe de types qui n'ont plus de cloison nasale. Ils mendient et me demandent si je n'ai pas un peu d'argent. Ce sont des lépreux en fait. De plus près je remarque que sur les quatre que j'ai en face de moi, deux sont pratiquement aveugles, et les deux autres ont la peau qui commence à sérieusement pourrir et tomber en lambeaux. J'hésite un peu, mais assailli par ma conscience, je finis par leur donner ce qu'ils réclament.

Je déambule dans la ville de Caen. Je cherche l'office du tourisme pour avoir les horaires des trains. Il y a une parade militaire dans la ville je crois. J'entre dans une pharmacie pour avoir des renseignements. La pharmacienne me dit qu'au vu de l'heure, l'office du tourisme est probablement fermé.

Finalement je me débrouille pour retourner au club de vacances, et rejoindre enfin Axelle. A peine suis-je arrivé que je suis saisi d'un mauvais pressentiment; mon téléphone commence à recevoir à nouveau des appels des membres de la secte. Je suis avec Axelle quand les membres arrivent et se mettent à m'entourer. J'essaie de trouver une justification pour mon départ précipité, mais peine perdue: Axelle fait également partie de la secte et m'a piégé!

On me livre à leur gourou. C'est en fait la femme qui se faisait appeler Madame dans le film Martyrs. Elle a sensiblement la même apparence, la même tenue, ainsi que le même rôle finalement. Elle se présente à moi de façon assez chaleureuse et souriante, tout en me disant qu'elle s'appelle Veuve Noire, car elle torture jusqu'à ce que mort s'en suivre tous les mâles qu'on lui apporte. Elle me dit que son apparence bienveillante n'est qu'un masque, et qu'elle ne ressent rien, sauf quand elle torture les gens, ce qui explique qu'elle prenne beaucoup de plaisir à le faire. Elle commence à m'accrocher par les pieds à un fil très fin et me suspend par la fenêtre au dessus du vide...

Me réveille. :x

......

Cette fois ci, c'est moi le tueur en série. Sauf que je suis en fuite, pour ne pas changer. Suis à la fois acteur, et à la fois spectateur, parce que par moment, je suis extérieur à l'action et je fais des commentaires comme si je regardais une série. Une femme (pour ne toujours pas changer) me poursuit. Les rôles sont inversés puisqu'elle est du côté des gentils.
Je m'échappe par des toits. Par coïncidence, je me retrouve à arpenter les toits de mon ancien domicile chez mon père, et le moi-extérieur se dit que ce n'est pas bien malin puisque le moi-intérieur sera vite coincé par le pâté de maison.
Finalement je trouve une issu de secours: une sorte de longue passerelle recouverte par des tentures me permet de filer, à l'abri du regard de celle qui me poursuit.
Je parviens à une marina. J'essaie de repérer un voilier à moteur qui fonctionnerait afin de fuir en bateau par la mer. Mais je ne suis pas assez rapide, et la femme qui me file arrive sur les lieux également.
Pour ne pas être repéré, je me plaque dans la boue. Mais la femme se met à humer l'air pour me repérer; c'est normal, car en temps que tueur monstrueux, j'émets une odeur caractéristique de soufre...
Je me couvre de boue, histoire de ramper invisible, mais une voiture, avec une autre femme au volant arrive. Heureusement mon camouflage me rend imperceptible. Mais je ne peux plus trop bouger, surtout que la première femme s'en va interroger la seconde pour lui demander si elle ne m'aurait pas vu dans les parages. Cette dernière sort de sa voiture, et du coup me rentre dedans vu que j'étais à ses pieds, mais ne peut toujours pas me voir. Elle dit que non, et la "renifleuse" s'éloigne.
J'en profite pour jouer un peu, je me dis que c'est finalement assez marrant d'être quasi-invisible, et du coup, tout en étant allongé par terre, j'étends ma jambe pour tracer avec mon pied des dessins en boue sur les vitres de la voiture, et rigole intérieurement en voyant la femme ne pas comprendre pourquoi de la boue apparaît subitement sur sa caisse.
Puis je décide de prendre la poudre d'escampette, mais ne peux me résoudre à laisser ce témoin en vie; j'utilise un scorpion pour la tuer, et détale.

L'autre arrive immédiatement pour trouver le cadavre et le scorpion, et comprend que je n'étais pas loin.