mercredi 30 avril 2008

Rêve du 30 avril 2008

Je suis chez mes grands parents maternels. Le plafond est très haut. Les murs sont blanc, un peu passé, mais toujours blanc quand même.
La maison est en vente. Je suis d'ailleurs avec un groupe de gens qui visite. Il y a un vendeur. Il montre différents type de draps, de sous draps, etc à l'éventuellement future famille qui viendrait s'intaller là. Ils sont surtout dans des tons bleus, à rayures, à pois, unis, mais dans des tons bleutés toujours.
Je me sens opposé à la vente, mais je suis toujours le groupe de visiteurs. Je filme avec mon portable ce que dit le vendeur parfois. Il me fait remarquer que la société ne pourrait être tenue responsable sur un plan juridique de son discours... donc que ça ne le gêne pas. Tant mieux pour lui me dis-je, car son discours me paraissait suspect justement.

J'ai Maminou au téléphone. Je ne sais pas comment ça sort, mais je finis par lui dire que je l'aime, que je l'aime tellement qu'elle ne peut pas mourir, qu'elle ne DOIT pas mourir, car je ne le supporterai jamais, et j'éclate en larmes. Elle s'apprête à me répondre mais le téléphone coupe.

Je continue donc de suivre le groupe. On arrive dans une chambre pour enfant. La "mère" s'exclame que ce sera un endroit parfait pour son fils. Il y a un meuble encore à nous dedans. La table à langer qui était dans la chambre d'Axelle. Je fais donc remarquer que la chambre ne sera pas tout à fait en l'état me disant intérieurement que nous récupèrerons le meuble qui nous appartient. Le vendeur montre plein de housses de lit. Toutes bleutées encore. La mère hésite quant à la couleur à choisir. C'est important, elle ne veut pas dégouter son enfant du bleu. Elle dit même qu'elle a mis un petit pot d'eau turquoise dans sa salle de bain pour l'inciter à se laver derrière les oreilles. Je lui dis que ce n'est pas efficace.

Je quitte le groupe et vais dans la cuisine. Papillon est là. Il s'exclame qu'on a gardé mon plat.
Je regarde vite fait mon assiette: en fait on l'a recouverte deux fois de film plastique transparent, mais elle ne contient rien. Mon grand-père me dit, ou je me dis, je ne suis plus trop sûr, que c'est parce que ma grand-mère commence à perdre la tête...

La voilà d'ailleurs! Je cours vers elle, je l'embrasse et la tiens dans mes bras. Elle me dit qu'elle est désolée pour tout à l'heure, que son portable a coupé. Je sanglotte, elle me dit de son air de pinson rieur qu'elle allait me dire un petit "Merde" pour que je cesse d'y penser. Elle m'aime moi aussi. Tout va bien, je suis plus ou moins rassuré, même si la perspective reste en tête.

Me réveille en sanglots.

mardi 29 avril 2008

Cauchemar du 28 au 29 avril 2008

Somnifères avant de dodo = rêve très court.

Suis dans un appartement avec Axelle. Elle a un devoir à rendre pour le lendemain à une prof visiblement. Il est tard on est déjà le soir, elle n'a pas fait grand chose. On va voir mon père pour qu'il l'aide un peu, mais celui ci ne semble pas disposé pour le faire. Il ne lui donne que des conseils flous et rien de bien utile. Axelle s'y attendait. Nous battons donc en retraite vers ma chambre. Elle semble assez démotivée. Elle me dit qu'il est déjà "2h30" (du matin) et qu'elle est en retard de toute manière.
Je dois la remotiver seul. Pas question que ma petite soeur rate son devoir. Je lui dis qu'il est hors de question qu'elle rate ou manque quoique ce soit. Elle finit par retrouver le moral et se décide à y aller.

Moi je vais me coucher, il est tard, et je dois aider Béatrice le lendemain. A ce moment là je remarque un truc au dessus de ma tête, tandis que je suis toujours dans mon lit. Une petite chose qui pend au bout d'un fil... une araignée! Et elle grossit; elle descend sur moi!
Je me réveille en hurlant et en me débattant dans les airs.
Bonne chance petite soeur, je t'accompagne oniriquement au moins!

lundi 28 avril 2008

Rêve du 27 au 28 avril 2008

Des rêves divers et confus en première partie de la nuit.

Je suis avec Nicolas. J'ai concédé à l'héberger à Deauville pour la nuit, car il est loin de chez lui, il est tard, et que je suis poli. Mais ça me fait un tantinet chier tout de même et ne suis pas totalement en confiance. Ma chambre est en fait celle que j'occupe actuellement à Paris. Je l'installe dans une moitié du lit, et vais dans la salle de bain. Quelque chose en lui me dégoûte légèrement.
Quand je reviens, mes craintes se voient confirmées: il a démoli intégralement ma chambre, tout est renversé dans tous les sens, et même; mes deux fenêtres sont murées avec des briques. Je suis assez en colère car je trouve son comportement très grossier. Je n'arrive pas à comprendre comment il a même pu réussir à foutre un tel bordel en si peu de temps. Il y a tant à ranger et réparer, que la tâche me paraît vite impossible seul, surtout que Nicolas ne semble pas m'aider. Mes fenêtres murées semblent me préoccuper particulièrement.

Je me décide à appeler Maminou pour qu'elle m'aide, je m'apprête donc à descendre les escaliers, mais un groupe de gens arrive, dont une femme assez belle avec un très volumineux manteau en fourrure brune. Je pense qu'ils vont se ranger de mon côté, mais en fait non, ils semblent vouloir tempérer mon jugement. Ce n'est pas si grave finalement... Je suis furieux et chasse tout ce monde inutile, Nicolas compris, de ma chambre.

Je descends donc les escaliers. Il y a différents paliers et des galeries qui dominent le rez de chaussée visiblement. Ma chambre est à un étage très élevé de toute évidence. Je n'atteins pas le rez de chaussée, mais peut voir au travers des marches et aperçois ma femme de ménage et une de ses amies, du moins je présume. Je ne me rappelle plus de son nom, donc j'ai du mal à l'interpeller avant de finir par lâcher un "Samia!". Elle me présente son amie, je blablate pour être poli, mais surtout réalise que depuis le début je regardais son amie, et que je la prenais pour ma femme de ménage. Je dois être vraiment myope, ou alors n'avoir aucune mémoire pour les visages me dis-je intérieurement. Je lui demande de venir m'aider à ranger ma chambre et elle semble accepter, quand j'aperçois plus loin au rez de chaussée deux hommes, que j'associe à des Bricoleurs. L'un d'eux est blond et mignon, il ne m'est pas inconnu, c'est un type dont j'ai consulté le profil sur rezog hier. "Voilà pourquoi il me semblait familier hier!" me dis-je.

C'est finalement le blond qui vient m'aider. On monte les marches et arrivons dans une zone où la déco se fait plus néo-gothique, en bois sombre, avec des moulures torturées. Mais le type semble plus intéressé par mes fesses que par mes soucis ménagers. En fait de près il est laid; il a tout de l'ouvrier quelconque. Suis plus ou moins flatté de lui plaire, mais n'ai aucune envie de me laisser faire par ce type qui ne me plaît pas. Je le repousse donc, mais il réitère ses avances. Comprenant qu'il ne me sera d'aucune utilité lui non plus, je le chasse, et me décide à descendre jusqu'au rez de chaussée.

J'arrive dans une cour d'immeuble ensoleillée une fois en bas. Il y a un groupe de gens que je connais, du moins dans le rêve, dont la femme au manteau de fourrure brune de toute à l'heure. Elle est avec son petit ami, du moins c'est ce qu'il semble. Je lui propose de m'aider: il s'agit d'aller dans la rue, en face, ou dans l'immeuble voisin, afin de constater les dégâts extérieurs causés à mes fenêtres. Elle accepte, mais son ami semble plus réticent à la laisser partir. Elle assure que tout ira bien.

Nous nous dirigeons vers l'immeuble d'en face. Une fois dans le hall d'entrée, nous réalisons que c'est le siège d'une entreprise. Il ne sera pas aisé de pénétrer à l'intérieur. Il y a tout un groupe de standardistes japonaises. Elles sont néanmoins occupées, car il y a aussi un groupe de manifestants, avec des banderoles et appelant au boycott, qui sont là pour protester contre les agissements de la société.

Nous passons discrètement derrière le bureau des standardistes et arrivons dans la première cour de l'immeuble. Elle est très grande et couverte d'herbe; une sorte de jardin en fait. La société y donne une garden-party, il fait toujours aussi beau et les invités sont tous habillés en blanc. Ca se complique, il doit y avoir un service de sécurité certainement, d'ailleurs nous les repérons aisément, ce sont les seuls qui ne sont pas en blanc. Je sais que derrière le bâtiment au fond, il y a une seconde cour, plus petite, sombre, avec des plantes, comme chez le médecin qui m'a prescrit de l'Havlane; c'est là que je dois aller.
La femme me dit qu'elle fera diversion.

En fait de diversion, nous commençons à sprinter et à courir doit vers la porte du bâtiment du fond. Nous renversons sur notre passage de grands vases transparents remplis d'eau, pour ralentir ou faire "diversion", mais pas de manière super discrète à mon goût. Peu importe cela semble fonctionner. Lorsque j'arrive près de la porte, je m'envole en tenant un récipient vide dans les mains et le lâche dans un bol de punch rouge, ce qui éclabousse les gens autour. J'espère intérieurement qu'ils seront trop déconcertés pour penser à regarder en l'air. La femme est restée au sol, je la remercie d'un sourire tandis qu'elle continue de courir, puis je me dirige en volant vers le bâtiment du fond...

samedi 26 avril 2008

Rêve du 25 au 26 avril 2008

On est en voiture avec Papillon et Maminou. Nous sommes dans sa grosse mercédès et nous dirigeons vers une destination inconnue. Le paysage ressemble beaucoup à celui de mon dernier rêve, à savoir la campagne en hiver sous la neige et je m'en fais la réflexion. La discussion n'est pas sereine entre Papillon et moi. Pas vraiment une dispute, mais chacun défend son point de vue sans prêter trop attention à ce que l'autre a à dire. Le long de la route, on croise quelques demeures de maître normandes. Papillon fait la réflexion que "Ernesto R. en a une superbe". Je me dis intérieurement, que, certes les maisons à colombages sont charmantes, mais trop simples à mes goûts.
Dans un virage, nous croisons un homme a l'air dépouillé et frustre au bord de la route. Il vend du bois de chauffe. Mais pas des bûches. Il vend des souches énormes, racines comprises, ou de grandes branches, bref, rien n'a été débité en bûches. Papillon doit faire quelque chose et nous quitte pendant que Maminou reprend le volant. Elle lance à la volée au vendeur de bois qu'elle repassera tout à l'heure. Je réalise alors que l'homme en question est Ernesto R. Je fais remarquer que l'on n'a pas besoin d'autant de bois, mais Maminou insiste, et me dit qu'elle a peut être pitié de cette pauvre Eva, dont le mari est obligé de vendre du bois dans la neige.

Béatrice se retrouve dans la voiture et nous nous retrouvons assis tous les trois autour d'une table de restaurant chinois, au milieu de la route. Le serveur vient nous apporter les plats. Je regarde le mien avec circonspection. Il a l'air minuscule, meme pour une entrée. La discussion se poursuit sur le même ton que précédemment, je ne me rappelle plus des propos exacts, mais je sais que je n'arrive pas à être d'accord avec Maminou qui persiste dans l'erreur de son jugement selon moi. A tel point qu'à un moment je lâche un "De toute façon, je ne t'ai jamais aimé"; mais je prononce ces mots en me tournant vers Béatrice qui les prend pour elle, quoique dans ma tête ils soient destinés à Maminou.

J'ai peur que Béatrice prenne mal ce que je viens de dire, mais elle ne réagit pas trop. J'essaie d'ajouter que c'était une blague, que je ne le pense pas du tout et que ça ne lui était même pas adressé, donc qu'elle ne s'en fasse pas. Mais rien ne sort de ma bouche. Je deviens du coup déconcerté par mon humeur, car je me vois raconter de la merde, sans pouvoir intervenir ou y mettre un terme. Je me sens étrange.
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Je dessine une tête d'oiseau. C'est celui que Edith a été acheté hier. Je m'applique pour bien représenter les motifs noirs qu'il a sous les yeux. L'oiseau devient vivant et je me retrouve dans une cage à oiseau dorée. Je réalise que j'ai beaucoup en commun avec les oiseaux finalement, vivant moi aussi dans une cage, et ayant à l'esprit ma situation actuelle aussi bien que générale.

vendredi 25 avril 2008

Rêve du 24 au 25 avril 2008

Rêve fragmenté une fois de plus, mais très coloré, très riche.

Suis à Deauville, ou à Verbier, dans ma tête on est plus proche de Deauville mais en réalité on n'est à aucun des deux, juste un endroit qui me rappelle quelque part Deauville, symboliquement et un peu visuellement. On est dans un jardin. On c'est car je sens la présence de ma famille du côté maternel. Axelle est dans le jardin. Il est dans des tons très "enfantins", l'herbe est très verte, le ciel bleu ciel vif, le tout dans des tons unis. Il y a dedans des attractions pour enfants. Dont une qui me fait penser (avec le recul) à ces espèces de boites avec le soleil et la nuit qui apparaissent pour les enfants et histoire de tamiser leur chambre. Là on y voit le soleil qui sourit, stylisé de façon à plaire aux enfants, avec plein d'autres cercles et de traits verticaux. Comme un mécanisme, mais stylisé lui aussi. Le tout forme une sorte d'automaton, c'est plus ou moins animé et les parties bougent légèrement. Il y a également une partie qui représente le mauvais temps, à moins que ça ne soit une autre machinerie du même style située derrière.
Axelle a l'air heureuse. Je cherche quelque chose.

On est dans les prés, un loup enragé m'a arraché tout l'avant bras droit. Le paysage ressemble à la campagne en hiver, avec des arbres dépouillés de leurs feuilles, de la neige partout, le ciel recouvert de gros nuages gris sombre. On se croirait dans un clip de Mylène Farmer ou dans Sleepy Hollow tant l'ambiance est pseudo-gothique. Il y a une battue pour retrouver la louve enragée. Visiblement on l'a attrapée, elle, son "compagnon" et ses petits, il y en a trois ou quatre. Les chasseurs leur ont tiré des balles dans le corps à tous. Ils sont ligotés, entravés. "On" me dit de rester à distance donc je tourne autour de la scène, car la louve est toujours dangereuse. Effectivement, elle a beau être attachée, on voit bien qu'elle est prêt à mordre et semble déborder de rage, de haine et de fureur. Certains louveteaux résistent eux aussi. Ils ne sont pas morts du premier coup. Les chasseurs continuent de tirer des balles à bout portant sur eux, quand bien même ça ne les achève pas. Leur pelage est tout souillé de sang, de sueur, et entravé par les cordes. Je me dis que c'est cruel de ne pas les achever directement. La louve me fait peur, je m'éloigne en tenant la manche droite repliée qui couvre mon moignon.

Il faut retrouver ma main. Il y a une histoire confuse. On est dans une série. Mon mollet gauche a disparu lui aussi, je ne sais plus comment, mais la série l'explique je crois. Une sorte d'histoire voleur, que l'on doit retrouver via des terminaux publiques internet. Il y a une journaliste je crois, elle enquête, mais peut être n'est ce que la série. D'ailleurs à un moment, je deviens Spike de Buffy. Ou plutôt il m'aide, avec son corps, comme il me manque un bout de bras et de jambe. A noter que même dans le corps de Spike, je suis toujours privé d'avant bras et de main droite, mais je possède une sorte de "main invisible" du côté droit, un pouvoir de Spike visiblement, ça m'aide à compenser ma perte. J'ai un gant de boxe couvrant ma main gauche, j'en met un aussi à la droite, pour cacher son invisibilité.
J'arrive quelque part, j'ai des infos glanées sur le terminal concernant ma main ou son voleur. Mais quand j'arrive, les personnes censées me retrouver voient Spike (j'ai son corps partiellement) et m'attaquent directement, avec rage, comme s'il était lui responsable de quelque chose dans cette histoire. Je dois m'expliquer.

Durant ce temps, l'histoire de la louve n'a pas cessé, sauf qu'elle ressemble plus à une renarde en furie, et incandescente littéralement de rage désormais. Mais elle est toujours entravée, je passe à côté et m'éloigne au plus vite.

Me retrouve dans une maison, que j'identifie plus ou moins similairement à Deauville même si je sais qu'on y est pas. La maison est celle dominant le jardin au début du rêve. Elle est sombre. Je suis dans une pièce qui ressemble à un ancien bain turc du XIXème avec des carreaux de faïence plein de motifs floraux stylisés de façon orientale etc. Il y a des bassins même d'où émane une lumière bleutée, des tentures en tissu léger dans les tons violet sombre.
Tante Pascale est là. Elle est avec moi sur une sorte de belvédère ovale qui surplombe la salle.
Elle me parait immédiatement suspecte, trop "sympathique" et "insidieuse" pour être vraie. En effet ça se confirme. Elle me drague. Je suis choqué, veut partir, mais elle insiste. Je dois limite fuir.
Je me retrouve dans le jardin. Il n'a pas changé, toujours aussi aussi lumineux et clair. Axelle est près de la machine qui symbolise le soleil, elle sourit béatement. Je lui demande si ça va bien, visiblement elle est heureuse. J'ai envie de lui raconter ce qui vient de se passer. Mais me dis qu'il vaut mieux que personne n'en sache rien, et ça me dégoûte encore.
Je retourne sur mes pas, et m'apprête à ré-entrer dans la demeure. Il y a des terrasses avant d'y parvenir. La lumière devient crépusculaire et violacée. Les cousines sont là visiblement, enfin je vois Aude de façon certaine, mais je sais que les deux autres sont là aussi.
Ma tante est là aussi. Elle est habillée avec un costume et une chemise d'homme désormais. Visiblement elle n'a pas renoncé à ses projets et recommence à me draguer mais plus ouvertement. Elle vient même frotter son postérieur contre le mien d'une façon qui se veut plus ou moins excitante. La scène me fait penser à une des interprétations que j'avais faite d'une planche de Rorschach quand j'étais à Garches. Je me décolle d'elle aussitôt et rentre dans le manoir gothique.
L'intérieur est à l'image des bains, beau et belle époque, avec moulures, boiseries etc mais comme laissé à l'abandon quelque part, décrépi. La luminosité est basse, les volets doivent être fermés.
Je me retrouve face à mon oncle. Je recule. Je tente de lui dire quelque chose à propos de ce qu'il se passe. Il semble être au courant des agissements de sa femme depuis longtemps mais avoir décidé de fermer plus ou moins les yeux dessus.
Je recule donc, mais ma tante est toujours là à m'attendre dehors. Je me dirige donc droit sur mon oncle, et lui dit qu'il se passe quelque chose. Il est pris d'une colère froide alors et dit à ma tante quelque chose comme "Tu n'as pas pu t'empêcher de le corrompre?" puis je le vois sortir une fiole qui contient une substance rose brillante, qui détonne comparée au reste du décor. C'est une potion magique, ou un sort. Il ouvre la fiole et en répand le contenu autour de lui en cercle, pour former le cercle de protection me dis je en pensée. Je me dis que c'est un sort de téléportation, car il créé un puissant écran de fumée rosâtre.

En fait non il est juste tombé par terre. Mais il semble plus jeune. Sa tenue semble avoir changé, il porte une chemise blanche qui est ouverte, on voit ses pectoraux, ils n'ont rien de ceux d'un homme de 50 ans. Son teint est plus hâlé. Je réalise alors que mon oncle fait de la muscu et des UV depuis longtemps. Il confirme. Je me surprends à avoir furtivement des pensées qui me dégoûtent et m'empresse de les chasser de mon esprit.

jeudi 24 avril 2008

Rêve du 23 au 24 avril 2008

Rêve dont hélas j'ai perdu les principaux détails.

Me rappelle être chez moi, chez mon père. On a une nouvelle femme de ménage. Elle ressemble à Fania, cette fille que mon père avait hébergé un moment. Mais elle est folle visiblement. On se rend compte qu'elle prend un plaisir pervers à frotter sa vulve contre nos draps quand elle fait les lits. Je la surprends même en train de le faire pour mes draps ce qui me dégoute. Elle semble assumer quelque part sa folie. Mon père la chasse de chez nous, et moi aussi, en hurlant de rage.

Voilà rien de plus, putain de somnifères...

mercredi 23 avril 2008

Rêve du 12 au 13 février 2008

Le rêve est très décousu.

Me rappelle être dans un décor très oriental/hippie, plein de drapés en mousseline et de poufs. Des gens sont en couple dans des alcôves. Je suis avec une fille, qui me fait penser peut-être à la Canadienne qui avait rendu visite à Axelle à Paris. Je l'embrasse je crois, et on fait mine de commencer à faire l'amour, mais je n'ai pas de capotes. Je vais donc dans l'une des alcôves voisines pour voir si un autre couple en a. Je sais plus si je tombe sur René l'ex de Béa ou sur Steeve des Roches, ou peut être les deux. En tout cas on me répond qu'ici non plus il n'y en a pas. Je me décide donc à sortir pour aller acheter des capotes à tout le monde.

Suis à Paris je crois ensuite, dans la zone des Grands Magasins mais tout est différent de la réalité. Je cherche une petite boutique, je ne sais plus exactement pour quoi, je sais qu'il y a un rapport avec Matchek mon chat, peut être pour le soigner. Axelle est dans les parages. Je sais que dans ma tête je me dis que maman nous a déposé avec sa grosse mercedès.

Je suis dans un train pour aller en Suisse à Genève. Il y a un changement à faire dans une petite gare donc je descend. Suis avec Matchek, je transporte sa litière. Ensuite sans que je comprenne vraiment comment, je ne suis plus dans la gare, mais dans un paysage semi-alpin, avec un chalet moderne en face de moi. Il pleut je crois, je rentre pour m'abriter. Il y a deux femmes à l'intérieur. Le chat s'est sauvé, je cours le rattraper et j'installe sa litière pour qu'il ne fasse pas de bêtise.
Après je ne sais plus trop comment mais il y a un meutre dans la maison, dans lequel je suis impliqué. Il y a du sang sur un mur. Il y a aussi une histoire d'argent dans une valise que je récupère. Rassoul, le pote d'Edith, ou quelqu'un qui s'en rapproche, est également impliqué visiblement, puisqu'on lui conseille de fuir. Il veut partager l'argent en trois, mais je lui dis qu'on le fera plus tard, que ce sera plus sûr.
Moi même je quitte les lieux je crois, je suis sur une route.

Ensuite il y a une sorte "d'ellipse corporelle", puisque je passe dans le corps de Shane Vandrell, le collègue de Vic Mackey dans la série The Shield. J'imagine qu'ils (que nous?) sont là pour enquêter sur le meurtre. La voiture s'arrête, et je m'embrouille avec Vic, qui est avec un collègue. Il me frappe et m'enferme dans son coffre. Il tente de reprendre ou de me donner une bague noire. Mais avant de refermer le coffre il me donne sa bite à sucer, ce que je fais avec grand plaisir et m'excite pas mal, mais il ne me laisse pas continuer. Je comprends alors que Vic et Shane sont en fait des amants secrets mais que Vic culpabilise et ne veut pas être pédé. Finalement je sais plus trop comment je sors du coffre et l'autre collègue qui était là m'accompagne.
On marche sur la route, je me sens coupable de quelque chose. On tombe sur un petit groupe où se trouve Glenn Close. Elle est sénatrice américaine ou un truc du genre. Elle tente de signaler sa disparition auprès du Congrès Américain. Elle lance une visioconférence mais qui est piratée. Des missiles ont disparu. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai l'impression d'être en partie responsable, c'est peut être lié au meurtre de tout à l'heure. Et soudain un missile apparait dans le ciel. Il traine une banderole derrière lui, comme les avions publicitaires le long des plages de St-Tropez. Mais je n'arrive pas à lire ce qu'il y a écrit sur la banderole.

Les gens s'affolent autour de moi mais pas moi qui visiblement exulte, comme si le lancement du missile était le signal du début de quelque chose. Je commence à m'élancer en faisant de grands bonds et en hurlant de rire, et me jette dans la pente de la montagne en direction de la ville. En raison de l'inclinaison je me mets à chuter dans les airs sans toucher la paroi de la colline, qui est couverte par une route d'ailleurs. Une fois que je suis dans la ville, je réalise que je suis à Verbier. Je suis toujours pris dans mon entrain, et pour une raison que j'ignore je suis invisible, mais cela me semble tout à fait logique et normal. Je déambule dans les rues en chantant "Jack's Lament" de l'Etrange Noel de M. Jack, et je tombe sur un resto chinois, où il y a des gens de Penninghen (notamment Fred que je reconnais malgré une coupe de cheveux différente). Profitant de mon invisibilité, je m'amuse à les faire chier, en prenant ce qu'ils tiennent entre leurs mains, la nourriture notamment, et je mange un peu tout et n'importe quoi. Mais ils remarquent à peine, comme si quelque chose occultait ma présence et mes actes.

Rêve du 17 au 18 janvier 2008

Me rappelle être près du Racing au bois de boulogne. On est en famille. Me suis réconcilié avec maman je crois. On cherche un terrain pour planter un arbre. Le terrain qu'on trouve est une plate forme herbeuse entre les routes à un carrefour. Géraldine, la plus jeune de mes cousines, veut y planter un chêne. Mais c'est une graine bizarre que je tiens dans les mains parce que ça ressemble à un gland vert qui aurait commencé à germé, sauf qu'il aurait donné une fleur de marronier. La fleur sent très bon. Je sais qu'il y a un rapport avec l'enterrement de mon grand-père aussi. Il doit mourir dimanche prochain visiblement et on est vendredi ou un truc comme ça. Je dis que c'est n'importe quoi, qu'on ne peut pas prévoir la date de sa mort. Mais on me répond qu'il est très fatigué. Papillon lui même répond de son ton bourru que c'est comme ça et que de toute façon tout a déjà été prévu pour dimanche donc qu'on ne va rien changer et qu'au pire il se suicide pour faire concorder les dates. Me dit qu'ils sont fous dans cette famille quand Géraldine, après que l'on ait planté le gland, me saute au cou et tente de m'embrasser sur les lèvres, ce qui me dégoute.

Après je me réveille dans mon lit puis je descend l'escalier et quitte ma chambre sans prendre le temps de faire le lit ou de fermer la porte de ma chambre, ce qui m'inquiète un peu. Au bas de l'escalier suis dans la rue, dans un décor un peu industriel, genre ancienne manufacture mais en ruine et réaffectée à autre chose. Je tombe sur quelqu'un qui me dit quelque chose. Suis toujours un peu inquiet par rapport à ma chambre. Je sais plus trop ce qu'il se passe mais je sais que j'en viens à voir que le père noel n'a pas lu toutes ses lettres et que plein d'enfants ne vont pas recevoir leur cadeau. Avec la personne qui m'accompagne, on se décide de prendre les lettres et faire les cadeaux. Mon premier cadeau c'est un truc qui mélange coloriage et couture visiblement. Je m'y reprends plusieurs fois avant de constater que je suis nul en couture, et je décide de faire des points au feutre, au lieu de faire des points de croix. Mais le feutre bousille tout et mon partenaire se rend compte de ma supercherie en me faisant une réflexion du type "encore un truc baclé...".

Après ya toute une histoire de meurtre, d'enquête policière, de gemellité et du feu, des ascenceurs, mais c'est pas très clair pour moi.

Rêve du 21 au 22 décembre 2007

Je me rend à Verbier pour les fêtes. Je suis certainement hébergé par ma tante Pascale. Je rencontre ma mère dans notre appartement et pris de fureur je l'attaque et la frappe violemment en lui disant de ne plus m'écrire de lettres.

Toujours à Verbier, mais le décor change subtilement; la montagne est devenue désertique, ressemblant davantage à une bordure de mer. D'ailleurs l'appartement lui-même est rempli de sable, du sable sort des matelas des lits, etc. L'appartement semble différent, il est plus grand et possède une terrasse devenue immense, sur laquelle on trouve un bar et des machines de fête foraine. On y accueille des gens de Penninghen, il y a notamment le pédé Corse, ainsi que l'autre corse que je ne pouvais pas blairer, Pierre-Victor ou un truc comme ça. Sa présence d'ailleurs m'angoisse et je ne supporte pas de le savoir dans mon dos.

Puis une ellipse spatiale nous emmène au bord du Lac des Vaux. L'eau du lac est sublime, elle est pleine de myriades bleutées et violacées. Je pénètre dans le lac et au fond je me retrouve dans une sorte de grotte pleine de cristaux bleu et violet. Là se tient un individu étrange sur un rocher un surplombant légèrement le reste de la grotte, dans un costume en robe qui évoque des coquillages stylisé et autres créatures marines. Il tient également un grand sceptre dans sa main. Je comprends qu'il s'agit d'un Atlante.
Il m'accueille en me disant que l'Humanité est enfin prête pour recevoir la Connaissance...


Et je me réveille.

mardi 22 avril 2008

Rêve du 19 au 20 décembre 2007

J'intègre une école de design. Je retrouve là bas Alexandra K. des Roches ainsi que quelqu'un d'autre de la pension. Me bats avec Alexandra. Un prof fait une réflexion quant à mon projet de maquette. Il s'agit de Mme Brague je crois et elle le regarde avec dépit, comme si j'avais foiré quelque chose, une fois encore.
A l'intérieur, je sympathise avec un jeune métisse un peu rondouillet. Il me fait penser à Eole. D'ailleurs est là lui aussi. Il me dit d'un air narquois que j'ai trouvé quelqu'un qui lui ressemble afin de le remplacer. J'acquiesce, puis il me pousse vers la sortie de l'école, et je laisse le jeunot.
Nous nous retrouvons donc à la sortie de l'école; on n'a pas le droit de fumer tant qu'on reste dans l'enceinte mais je m'en grille une quand même, toujours en compagnie d'Eole.
Aussitôt, débarquent la directrice chinoise, et son assistant tout aussi chinois, de l'école, furieux. Ils nous hurlent dessus et commencent à frapper Eole. Moi comme j'avais fini les cours, ils se contentent de me mettre dehors, mais en ce qui le concerne, ils tentent carrément de l'enterrer vivant.
Je me dis que c'est un peu dingue comme réaction, largement disproportionné, et même carrément illégal. Je commence à me battre au travers des barreaux de la grille d'entrée avec l'assistant, afin de le blesser, ce que je parviens à faire. A ce moment, il se range de notre côté. On déterre Eole et on quitte l'école tout en les menaçant de poursuites judiciaires du fait que nos parents sont puissants et qu'ils vont le payer...

Le chemin qu'on emprunte ressemble à celui que l'on prend quand on quitte le Racing pour revenir Porte Dauphine, mais j'arrive à Deauville en fait.

Il y a une histoire à propos de film, car c'est le Festival du Film Américain de Deauville qui a lieu. En même temps nous sommes situés dans un terrain en pente et "on" (car je ne situe pas vraiment avec qui je suis) empile des sandwiches au fromage. Il ne faut pas les faire tomber et les empiler toujours plus haut, ce qui est difficile. La famille du côté paternel est présente. Je n'arrive pas à rester en équilibre dans cette pente et j'ai du mal à maintenir ma pile de sandwiches stable. J'en fais même tomber quelques uns.

Il y a un film dont tout le monde parle. Il s'agit de "Bewitched" II ou III, avec cette fois un mélange de Janet Jackson et de Michelle Pfeiffer dans le rôle du Diable. Les effets spéciaux sont amusants, mais le film est globalement à chier. Le Diable piège le héros dans une belle voiture qui va à toute allure dans un garage, où la police l'attend.
En fait c'est la fin du film et pas une simple bande-annonce. C'est également la fin du festival. Je m'éloigne avec bonheur du fromage!

Je me retrouve donc au manoir, mais la décoration intérieure est différente, sans que cela ne me choque ceci dit. J'ai envie d'habiter le dernier étage (les combles, qui ne sont pas aménagés dans la réalité). Il y a plein de tentures très colorées sur les murs, comme des rideaux. Il y a également une table basse ovale en verre posée en équilibre sur le lit. Me rappelle l'avoir vue dans un autre rêve. Je me demande également à quoi bon refaire la déco de cette chambre, puisque je ne vais pas souvent à Deauville. Il faudra mentir et affirmer le contraire pour convaincre mes parents ou mes grands-parents de me financer. Surtout que la chambre n'est pas à moi. C'est celle de ma mère je crois, mais elle ne l'occupe pas et je me dis qu'il n'y a pas de raison pour qu'elle ait cette chambre là, qui est l'une des plus belles.
Je tire un peu sur les rideaux, qui se décrochent de leurs tringles. Je me sens honteux, mais je regarde le tissu: très coloré et psychédélique...

Rêve du 12 au 13 décembre 2007

Il s'agit là du premier rêve que j'ai noté, quand j'ai commencé à m'intéresser au rêve lucide. Il me reste des souvenirs de certains rêves d'enfance, et donc bien plus anciens, mais je les posterai plus tard.

Je suis sur le forum psychonaut, et je cherche des info à propos des graines de morning glory. Là je tombe sur un petit mec blond qui m'a déjà parlé sur rezog. Il est mignon alors instantanément, je lui fais des avances, et on tente de coucher ensemble. Il se laisse faire et visiblement n'est pas trop regardant quant à l'utilisation de capote. Je bande mais il me propose un gel durex que je ne connais pas le gel "sensation savon", un gel qui lubrifie presque pas et qui est très baveux pour donner l'illusion de la salive. J'arrive pas à le pénétrer et pendant ce temps lui il voit mes graines sur ma table de nuit. Il en mange une et décolle instantanément en me disant qu'il voit trop de trucs etc. Je me dis que je suis maudit par rapport à tous ces trucs. Puis ensuite suis en train de relire le forum et je vois une photo de lui avec un autre mec. L'autre mec est brun et lui toujours blond, mais là il a une grosse barbe blonde bien fournie. Me dis que je suis vraiment maudit car la mienne reste clairsemée quoiqu'il arrive. Et je me réveille.

Rêve du 21 au 22 avril 2008

Tout tourne autour de l'Extrême-Orient une fois de plus.

Je suis dans un centre d'études. On y apprend à jouer au ma-jong, au mikado, à des jeux de cartes également (les cartes ressemblent à celles du tarot un peu), mais pas seulement, on y enseigne également des techniques respiratoires de méditation et des formes d'arts martiaux également.
Moi je suis en première année, donc je n'en suis qu'aux jeux pour le moment, les cours de méditation de combat sont pour les années supérieures. Je me demande sur quel genre de métier ça va me faire déboucher de savoir jouer au mikado...

A un moment, je dois traverser avec un groupe d'autres élèves la salle des étudiants en méditation de combat. Il y a 4 grosses statues dans la salle posées en demi cercle au premier rang. Elles représentent des animaux stylisés. Je crois reconnaître un singe et un lézard. Le haut de chaque statue comporte une mèche, comme pour des bougies, qui est allumée d'ailleurs.
Mais voilà, en passant dans la salle avec les autres élèves, je bouscule la statue du lézard. Je fais du bruit, ça perturbe le cour de méditation de combat visiblement. Le maître me regarde d'un air un peu courroucé. Me sens honteux et me dépêche de remettre en place la statue du lézard, ainsi que de rallumer sa mèche. J'essaie de faire vite et bien car je sens que mon avenir dans l'école est en train de se jouer si je fais n'importe quoi.
Mais la statue prend carrément feu, enfin le haut de sa tête quoi. Je me précipite alors dessus pour l'éteindre, croyant avoir fait une connerie. Les élèves rigolent doucement, visiblement j'ai fait une erreur. Le maître m'explique d'un ton patient mais las que les statues sont des bougies géantes en gros et sont censées se consumer intégralement.
J'ai perturbé le cours donc il décide d'y mettre fin. Instantanément, les élèves du cours se redressent et adoptent une drôle de position rituelle en criant "Shadowkhan!". On dirait que c'est le premier qui le dit qui gagne. Me dis que ce doit être un rite ancien pour mettre fin à l'exercice ou alors conjurer le mauvais sort...

lundi 21 avril 2008

Rêve du 20 au 21 avril 2008

Faute d'avoir pris des notes, seulement quelques bribes me restent.

Suis en classe, dans une salle qui ressemble à celles de mon école primaire. Un de mes profs de l'an dernier, M. Pariselle, passe dans les rangs. J'ai un cahier devant moi. Il demande à le voir. C'est mon cahier d'histoire de l'art je crois. Je ne l'ai rempli qu'au début (forcément) et n'ai pas noté tous les cours. Je l'ai également utilisé pour une autre matière, qui ressemble à des mathématiques je crois.
J'ai un peu peur qu'il se rende compte du fait que je n'ai pas fait mon travail correctement.
Puis c'est mon ancienne prof d'allemand du collège qui passe derrière mon épaule: Mme Brague.
Elle voit mon cahier et le feuillette en prenant une sorte d'air désappointé. Je prends une mine déconfite tandis qu'elle pointe du doigt puis arrache une page où il y a un gros O/8. Me sens honteux d'avoir été découvert.

Rêve du 19 au 20 avril 2008

Plusieurs rêves cette nuit, mais je n'en ai noté qu'un, celui qui me semblait le plus "intéressant". Ils ont tous des liens avec ma grand-mère, ce qui découle sûrement du fait que je séjourne chez elle à Deauville. Je note également un lien avec une série que j'ai regardé récemment, Spellbinder, ou les Maîtres des Sortilèges, un truc de mon enfance retrouvé sur Youtube.
Bref le rêve en question:

L'action se déroule sur une île volcanique. Le volcan est recouvert de verdure mais est toujours en activité, j'ai une vue aérienne dessus. Au pied du volcan se trouve une sorte de petite ville chinoise, qui comprend une mini Cité Interdite. Les autochtones vivant à l'extérieur de la Cité sont habillés de façon contemporaine, au contraire de ceux vivant à l'intérieur de ses murs, qui semblent avoir gardé leurs traditions. Il est question de l'influence occidentale, sur la nation de l'île.
On voit alors en vue aérienne une autre île volcanique, avec des motifs hawaïens qui en partent et s'étalent sur l'océan en direction de la première île. Ceci est censé symbolisé l'influence grandissante des occidentaux dans l'île, notamment des américains. L'époque est mal définie, mais visiblement le contexte est similaire à celui de la Chine de la toute fin du XIXème siècle.

En dehors des enceintes de la Cité Interdite, il y a un gros bâtiment; c'est celui des délégations européennes visiblement. Il y a des conflits à ce sujet. Au palais, on semble croire que l'on a encore le contrôle de la situation, mais selon l'avis de certains, la présence même du bâtiment prouve que les Occidentaux ont pris le pouvoir de manière insidieuse.

La situation devient plus orageuse, il y a un message qu'il faut transmettre au palais. "On" demande à un serviteur chinois de le faire, car ce sont eux qui ont construit le palais et donc en connaissent les passages secrets, et surtout le palais est en papier! Le messager se "plie" littéralement et emprunte ainsi un des couloirs cachés qui débouche derrière une tenture en peau de bête, dans la chambre de la Princesse. Elle comprend qu'elle est prisonnière dans son propre palais et décide de s'adresser à la foule.
Son discours est plutôt nerveux, elle crie plus qu'elle ne parle, et s'énerve devant l'incompréhension ou le refus de lucidité de certains de ses sujets. Elle leur dit qu'ils sont déjà occupés sans même le réaliser, faisant allusion aux coutumes occidentales prises par certains sans doute.
La foule réagit négativement, mais ce sont surtout les gardes chargés de la protection du palais qui semblent les plus irrités.
La princesse décide de fuir en escaladant le volcan.

A ce moment là, la princesse devient Axelle. Il y a une histoire de bébé à sauver, avec la terre du volcan. Le bébé est dans une barque de l'autre côté de l'île. Axelle parvient jusqu'à la barque, puis prend le bébé dans ses bras pour remonter à nouveau la côte jusqu'à pouvoir atteindre un endroit où elle peut enduire le bébé de boue volcanique, avant de redescendre à nouveau dans la barque avec le bébé, celui ci sauvé par son geste.

La barque s'éloigne de l'île. Maminou est dedans. Elle nous affirme la "judéïté" de notre famille, car sa mère aurait été italienne mais avant ça... je ne sais plus exactement comment, mais il y aurait un lien avec la famille royale de l'île. Le nom de la princesse est extrêmement complexe d'ailleurs, quelque chose comme Oaxacachaca. Beaucoup de A dedans en tout cas. Elle nous parle également de son père qui était un homme au physique ordinaire mais brillant et qui aurait épousé sa mère , une élégante, pour son argent.

jeudi 17 avril 2008

Rêves du 16 au 17 avril 2008

Premier rêve:
Je suis dans une sorte de groupe de commandos, on progresse en rampant à travers des ronces (en fait la topographie fait penser à celle de l'ancien jardin de mes grands-parents à Deauville). Il fait nuit, et on doit agir furtivement, sans être vu de l'ennemi. On doit récupérer des armes en argent massif afin de vaincre nos adversaires. Avec la lumière lunaire, les armes en argent sont très brillantes, alors que tout le reste est obscur. J'en récupère deux: une sorte de tout petit crochet, et un falcata de taille moyenne. Le falcata doit me permettre de vaincre un adversaire féminin dont je pare les coups. Elle me domine de toute sa noire silhouette, dont je ne distingue aucun trait, tandis que je suis toujours au sol. Je me fait une réflexion du style "Si c'est l'arme la plus grande qui doit servir à vaincre la femme, c'est parce que ce sont elles les plus fortes en fait.."

Deuxième rêve:
Je suis aux Roches! Dans une nouvelle chambre. C'est une chambre occupée par des petits visiblement, parce que j'ai pu les voir à poil et ils ne sont pas pubères. Ils n'en sont pas moins pugnaces, et ne désirent pas que je m'installe.
Giovanni m'appelle, je quitte donc ma chambre et traverse un couloir pour aller dans "la chambre des garçons", celles où sont réunis la plupart de ceux que j'ai connu là bas. Il y a Giovanni, Kevin, Jason, l'Irlandais dont j'ai oublié le nom, et sûrement un ou deux autres. Je sais que je me méfie un peu de Kevin. Ils portent tous des peignoirs ou des serviettes nouées à la taille, comme s'ils sortaient de la douche, donc la vision est un peu excitante. Ils sont en train de jouer à une sorte de poker. Je dis que j'ai des cartes, et effectivement, j'ai des cartes mais de Tarot de Marseille. Mon jeu est mélangé avec celui de Jason. Il possède un autre jeu de Tarot, dont les dessins sont plus raffinés et ornementés.
Giovanni revient au bout d'un moment pour signaler que c'est le moment de regagner nos chambres respectives, l'heure du coucher. Mon jeu étant mélangé à celui de Jason, ça prendrait trop de temps de les classer, donc je lui dis que je les récupèrerai plus tard, avec néanmoins une légère appréhension.

Je regagne ma chambre et les petits de tout à l'heure sont toujours là, et toujours pas prêts à me laisser m'installer. Il n'y a que deux lits dans la chambre, on est trois. Je leur dis que je suis le plus grand, qu'ils sont petits, ils peuvent dormir tête-bêche dans le même lit tandis que je serai dans l'autre. Ils refusent, mais comme j'ai le sentiment d'avoir été un minimum intégré au groupe des "aînés", je me bats contre eux, ne voulant pas être humilié désormais par des nabots à peine entrés en 6ème.

Suis réveillé par un coup de fil, et me rendors.
Suis toujours aux Roches. La directrice veut offrir à Giovanni une Bugatti des années 30 (un truc ressemblant au modèle 57SC) noire et rose, en guise de remerciement pour l'image qu'il donne de l'école.
Il y a une sorte d'ellipse, et je vois comme la surface d'un contenant rempli d'eau, dont l'eau dépasse à peine de la limite, puis une goutte coule, c'est une larme en fait. Je me dis que moi que je n'aurai jamais droit à ce genre de cadeau vu l'image que je donne. Je semble me déplacer ailleurs tout en pensant au fait que j'étais le suicidaire de l'école. Une fois que j'ai pensé cela, je me défenestre du second étage de la maison des Sablons.
Ellipse. Je suis préoccupé par l'idée de tout noter, je commence même à le faire mais me rend compte que je suis toujours aux Roches. Je suis dans une sorte de pente de colline herbeuse, après mon saut. Je me dit que l'école en elle-même était maudite de toute manière, car elle est envahie de pigeons ramiers. Et effectivement, il y en a partout. Des mâles, des femelles, et même des poussins jaunes. Les femelles sont brunes, ce qui m'étonne car j'avais lu sur wikipedia que les pigeons ramiers n'avaient pas de dimorphisme sexuel. J'essaie d'attraper un des petits poussins jaunes. Ses plumes sont arrangées comme pour en faire une sorte d'oursin. Lorsque je le tiens du bout des doigts, je m'aperçois que c'est en fait un insecte, et de répulsion, je me réveille..
Ellipse. Je retourne sur mes pas. Je vois un bâtiment étrange. En fait il semble avoir été partiellement démoli, mais on en aurait conservé quelques parties. Il semble dater du XVIIIème italien, les parties conservées sont peintes dans des tons rose pastel. Visiblement, un homme célèbre s'est défenestré de cet immeuble, et on donc classé monument historique la fenêtre d'où il s'est jeté, ainsi que la fenêtre de sa soeur et celle d'un autre personnage masculin. Il y a même des sortes de mannequins en plâtre blanc pour représenter les trois personnages chacun à leur fenêtre respective.
Adossé à ce qu'il reste de l'immeuble, il y a une fontaine, classée elle aussi. En fait il s'agit d'un bassin assez simple, sauf que la paroi d'où sort l'eau est couverte de visages, des grotesques, qui font penser un peu à des masques. Il y en a des dizaines, chacun est différents.
Il y a une sorte de petit tunnel voûté à côté de la fontaine. Je m'apprête à m'y engager tout en ayant le Pont des Arts en tête...

mercredi 16 avril 2008

Rêve du 15 au 16 avril 2008

Je suis chez ma grand-mère maternelle. On est dans son ancien appartement à Paris. Visiblement on y tourne un film. Il y a des assistants plateau un peu partout; des maquilleurs, des cameramen etc. Et de l'équipement aussi, des spots, des fils, des écrans etc.
Je suis à la fois observateur, et à la fois dans le rêve. Par moment, c'est comme si je tenais moi même la caméra, et que je filmais le making-off du film. A différents moments d'ailleurs je filme en particulier une femme, qui regarde la caméra de face, mais à travers un miroir (c'est pas très clair j'en conviens). Elle passe son temps à se remaquiller, particulièrement les lèvres. Ses lèvres sont d'ailleurs énormes, épaisses, et toutes luisantes du fait du maquillage ou du fait qu'elles soient humectées en permanence. La femme dit que c'est très important pour elle et qu'elle adore filmer sur le vif ou un truc comme ça, et j'ignore si elle parle du making off que je fais, de la taille (importante) de ses lèvres, de l'importance du maquillage ou des trois à la fois... Quoiqu'il en soit, il y a un truc qui fait que sa bouche est plus répugnante que pulpeuse.

Un peu plus loin j'aperçois une vieille femme. Elle ressemble à ma grand-mère, mais en plus... décatie, débraillée. Elle porte d'ailleurs sa robe de chambre et tente de prendre une brosse dont la face est couverte de nacre ou d'émail. Je me précipite pour l'empêcher, elle se bat en prétendant que c'est à elle, et j'ai comme un doute mais pourtant je suis certain qu'il ne s'agit pas de ma grand-mère. Au bout d'un moment d'autres personnes arrivent, dont ma mère et ma grand-mère, et la voleuse est démasquée. Je reprends le peigne, mais sa face décorée s'est cassée dans la lutte. Je dis à la femme de rendre également la robe de chambre.
Je me tourne vers ma grand-mère pour lui rendre le peigne, et je lui dit que je suis désolé. Elle me dit que c'était de l'émail du XVIIème siècle avec un ton las dans la voix. Je lui réponds que ma tante (qui est experte en joaillerie) pourra sûrement le réparer, mais à ce moment, le reste du motif se désagrège.
Nous convenons tous que cette idée de tournage n'était pas une bonne chose et suis surpris d'être du même côté de ma mère pour une fois et qu'il n'y ait pas de désaccord entre nous.

samedi 12 avril 2008

Rêve du 11 au 12 avril 2008

Il y a un truc que je ne supporte pas quand je rêve, c'est d'une part lorsque le rêve ne m'implique pas, et que je suis cantonné à un rôle "d'observateur invisible", et d'autre part quand celui ci est trop inspiré par des fictions réelles. Qu'est ce qu'une "fiction réelle" ? Un film, une série, un jeu vidéo, des oeuvres de fiction donc, mais qui existent réellement. Et il arrive que l'inconscient s'en inspire un peu trop pour créer certains rêves. Et je peux donner un exemple parfait avec mon dernier rêve en l'occurence, très inspiré par les films Highlander (que pourtant je n'ai jamais énormément aimé, et dont j'ai peu de souvenirs).

Le rêve ici se déroule comme si je regardais un film. Il ressemble d'ailleurs d'avantage à une bande-annonce qu'à un rêve, tant il contient de procédés filmiques.
On voit pour commencer un jeune Egyptien, il est acculé à une sorte de falaise, armé d'un cimeterre ou d'un khopesh. Il est vêtu d'un pagne, porte une perruque et semble assez peu sûr de lui. Quelqu'un qui est "derrière" le champs de vision de la "caméra" lui parle. Il lui dit qu'il n'est pas préparé, qu'il n'est que scribe, qu'il ne saura pas se défendre. Le garçon, dans un mouvement de colère ou de peur, se sert de son arme pour balayer vivement le sol et projeter un nuage de sable vers son agresseur, tout en lui criant que sa connaissance lui fait office d'arme.
Il y a ensuite une sorte de "travelling" (suis pas sûr du terme), et la caméra se met à tourner lentement vers la gauche autour du garçon; ce dernier change, le décors change aussi, on voit alors un homme qui porte le casque emblématique des gladiateurs romains, dans ce qui semble être un ports, puis ça change à nouveau, et on voit au moins deux autres personnes dont les détails m'échappent, jusqu'à ce que la caméra ne s'arrête après avoir effectué un quart de tour.
Nous voyons donc la scène de profil par rapport à tout à l'heure, et on peut voir un deux dommes discuter. Ils portent des vêtements qui rappellent ceux des conquistadors du XVème siècle. Ils sont à nouveau au pied d'une falaise, mais nous ne sommes clairement plus en Egypte dans un désert. Ils semblent converser de leur condition d'immortels. L'homme en arrière-plan porte une barbe à moitié blanche et rousse, on comprend qu'il s'agit de celui qui a vaincu tous les précédents. Celui qui est plus en avant semble être un ami, ou du moins un compagnon fidèle.
Leur discussion se termine sur "Si ce n'est Dieu, qui alors?" Et à peine ces mots prononcés, l'homme à la barbe se jette sur le second et le poignarde au cou.
Il y a ensuite un gros plan sur son visage et une sorte de "morphing". D'un seul coup, on a avancé dans le temps, c'est toujours le même homme, mais il est plus vieux, et nous sommes dans le temps actuel. Il ressemble désormais à un de ces gentils papis provenciaux, le visage buriné par le soleil, et avec une fine moustache blanche au dessus de la bouche. On est dans une station balnéaire huppée de la Côte d'Azur, du style St-Tropez. L'homme semble être le parrain aux allures tranquilles d'un réseau mafieux, car il y a des tas de gardes du corps autour de lui.
Il déclare que "... est la plus suisse des villes de France!", avant de rencontrer un visage connu dans la foule. Il s'agit d'une femme de sa tranche d'âge, qui est avec des amies à une terrasse de café. Il l'interpelle "Minetta!" Celle ci semble sincèrement ravie de le voir et s'en va à sa rencontre. On comprend qu'il s'agit d'une "simple" humaine, et qu'il y a de l'affection entre eux.
L'homme désire discuter avec elle en tête à tête, tranquillement sur un banc.
Le plan change et on voit plein de gens qui déambulent, tournent en rond, l'air furieux, comme s'ils avaient été dérangés. Ils marchent dans les allées d'un parc visiblement. Une femme semble marmonner que "Jamais son mari ne ferait ça pour elle", avec un relent d'envie et d'amertume dans la voix. La caméra glisse et on comprend vite que l'homme a en fait fait évacuer la plupart des bancs occupés du parc par ses hommes, qui restent autour à surveiller, afin d'avoir un espace d'intimité avec son amie.

vendredi 11 avril 2008

Rêves du 10 au 11 avril 2008

Après ce petit message d'introduction, je peux me concentrer sur la raison d'être de ce journal, à savoir les rêves:

Je suis dans une sorte d'hôtel, dans le restaurant. Il y a une sorte de petit chariot à glace comme on en trouve dans les fêtes foraines. Un couple de vieux américains sont là. Je vois l'homme se servir une glace, mais il en met une telle quantité que sa boule ressemble d'avantage à une barbe à papa. Je me dis qu'il s'agit là d'un trait typiquement américain, l'exagération, même dans les boules de glace. Il s'apprête à s'en aller, mais je pensais qu'il s'agissait du serveur. Cléo est à côté de moi et je me dis qu'une glace lui ferait plaisir, donc je demande à l'homme, en anglais, s'il peut nous en servir une. Il semble destabilisé et quelque peu énervé par cette demande. J'insiste avec un ton un peu plus hautain, puisqu'à mes yeux c'est son job de serveur et la moindre des choses que de satisfaire les clients. Bon gré mal gré il s'y colle en maugréant, puis s'éloigne. Mon père arrive, demandant ce qu'il se passe avant de se tourner vers Cléo comme si j'avais fait quelque chose de travers.
Glissement de tableau, et d'un seul coup mon père et Cléo ne sont plus les seuls présents. En fait c'est toute ma famille qui est là, aussi bien du côté paternel que maternel. Nous sommes tous réunis pour fêter Pâques. Les tables sont disposées en forme de croix plus ou moins, pour qu'il y ait de la place pour chaque convive. Il n'y a pas que des gens de ma famille. Béatrice, Caroline, Emilande et une de ses amies sont là visiblement. Je suis assis à côté de Caroline ou du moins dans la même zone. Je vais voir Béatrice qui est à l'opposé de moi pour savoir si elle ne s'ennuit pas trop, et elle m'assure que non mais je sens bien à son regard que c'est faux.

La repas continue, il y a des cris et des débats à table, mais rien qui change d'une ordinaire réunion de famille. Puis le décors change subtilement. Nous ne sommes plus dans un hôtel, ou peut être que si, mais il y a des caractéristique de la maison à Deauville, notamment le grand escalier en bois. Les gens sont déguisés, c'est une sorte de soirée. Certains font même des chorégraphies. Je ne sais plus pour quelle raison, je me moque d'une fille, en me trompant sur son identité, puis je m'aperçois que c'est l'amie d'Emilande et vais m'excuser.
Il y a maintenant des sortes de chorégraphies, les gens s'accroupissent sur le sol tous en choeur en portant des vêtements violets. Je ne sais plus comment, mais je me coupe le pouce. Je ne saigne pas néanmoins et essaie de recoller la partie supérieure du pouce sur l'inférieure, en me disant que la cicatrisation fera son effet si je fais attention à ne pas le cogner.
Axelle et Raphaël veulent s'en aller. Je grimpe les escaliers pour les retenir, leur disant que c'est le Nouvel An et qu'ils ne peuvent pas partir si tôt, mais ils semblent déterminés.

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Le second rêve a eu lieu après que je me sois réveillé puis rendormi. Je suis en compagnie de ma mère. Je me dis que puisque je l'ai appelé récemment et qu'elle m'a fourni des réponses utiles à propos des documents du bac, je peux tenter de me comporter aussi bien que possible et mettre nos différents de côté. Mais je réchigne et n'ai aucune envie d'être en sa compagnie. Nous sommes à Verbier. On prend même des télésièges pour y accéder, mais ils n'ont pas de barre pour retenir les gens de tomber. Je dis que je peux bien me débrouiller tout seul et pendant qu'elle en prend un avec quelqu'un, je la suis dans un second, seul. Une fois en haut, je la suis, mais toujours en traînant les pieds. Je me force à ne pas paraître trop angoissé ou énervé. Une fois arrivé en haut, elle m'amène quelque part et je me rends compte qu'elle cherche à me faire interner dans un asile. Je n'ai même pas le temps d'être furieux, je m'enfuis. Je menace le standardiste d'accueil de l'asile avec un coupe-papier doré en forme de couteau, afin qu'il me laisse sortir et me donne de l'argent.
Je chope une télécabine et tente d'arriver aussi vite que possible en bas. Dans ma tête je ne pense qu'à une chose, regagner Martigny et prendre un train. Il y a d'autres gens dans la cabine. Dont un jeune garçon. Les gens me regardent avec une légère suspiscion et j'essaie de paraitre décontracté. Pendant ce temps le garçon me tourne autour et semble s'intéresser au contenu de mon sac (qui contient les billets). Je le repousse violemment au bout d'un moment et il tombe par terre (ou plutôt sur le sol de la cabine).
La suite est plutôt floue.

Création

Un peu bizarre de commencer un blog maintenant alors que la mode est lancée depuis quelques années déjà et que j'y ai toujours été réfractaire, d'autant plus que je ne suis pas vraiment sûr d'y écrire régulièrement. Enfin là n'est pas le sujet, si je crée ce truc, c'est dans l'espoir que ça me motive à tenir mon carnet de rêves plus régulièrement que je ne le fais actuellement. Ayant quelque peu perdu l'habitude d'écrire de façon manuscrite, peut être que le fait de taper sur un clavier me motivera plus.
En outre, si des visiteurs sont de passage, ils pourront peut être m'aider à trouver des significations à certains rêves, car la plupart restent très obscurs pour moi.

Voilà, pas grand chose à dire de plus, bienvenue si vous me lisez.