dimanche 17 août 2014

Rêve du 16 au 17 août 2014

Je suis dans un hotel, à l'étranger mais je ne sais pas où. Nous sommes regroupés dans une pièce aux murs roses et qui est mal éclairée. En fait c'est une prise d'otages, il y a un forcené qui retient captive une femme. Pour la libérer elle doit rejouer des scènes de contes avec lui. Elle est habillée avec une robe médiévale bleutée, et porte un genre de coiffure étrange, ses cheveux forment deux petits monticules sur chaque côté de sa tête, retenus par des filets. Elle doit jouer le rôle de la Belle au Bois Dormant. On essaie de l'aider un peu, mais elle refuse, paraît très lasse et nous fait comprendre qu'elle sera libre une fois que le forcené aura fini de jouer la scène du baiser de réveil du conte. Elle s'allonge un peu difficilement dans un lit, étant gênée par sa coiffure et sa robe.
A ce moment le preneur d'otage débarque l'air furieux. Il est habillé comme un prince de la Renaissance. Il n'est pas content de la mise en scène, ça ne va pas selon lui, nous sommes trop nombreux dans la pièce, il faut tout recommencer.
La nouvelle scène n'est pas tirée d'un conte, c'est une re-création d'une scène de Western. Il y a un groupe de mecs habillés en cow-boys qui jouent de la guitare près d'un feu de camp. Cléo est avec moi. Les types jouent de la guitare et dansent en même temps. Cléo s'approche d'eux avec un petit garçon de son âge, et veut danser avec eux, et du coup s'installe au milieu du groupe de guitaristes.
Mais évidemment elle ne connait pas la chorégraphie, gesticule un peu n'importe comment pour s'amuser, mais au final ça ruine la scène, donc je la prends par le bras et la ramène vite auprès de moi, pour éviter que le fou furieux pense que sa scène est à nouveau gâchée.
Je remarque à ce moment là un mec pas trop mal, avec des tatouages sur le visage. Il me sourit, je réponds à son sourire. Je vais près de lui. De près il est moins mignon mais bon... On discute rapidement, et on s'embrasse, mais nos bouches n'arrivent pas à s'accorder du coup il y a un gros filet de bave entre nos deux bouches. Je suis légèrement embarrassé, mais il rigole et trouve ça mignon, donc ça me rassure. Il me dit qu'on peut aller ailleurs. Je me demande vite fait si Clément ne va pas me voir, et puis décide de le suivre.
Il a une chambre dans l'hotel mais il ne faut pas être vu, et on passe donc par les escaliers de service. Je lui demande ce qu'il fait dans la vie, il me répond qu'il est avocat et je suis étonné vu son look, ses tatouages sur le visage. Je lui demande si ça ne le gêne pas trop professionnellement, et il me répond que non, tout est une question de préparation. On arrive à son étage mais un majordome de l'hôtel nous voit tous les deux dans les escaliers. Il porte une tenue bleue. Il nous regarde d'un air désapprobateur et nous dit juste d'un ton sévère:"Pas d'adieux". On le dépasse quand même, et le mec tatoué me dit que ça va aller, il connait quelqu'un qui peut nous aider. On remarque un groupe de travailleurs chinois, en tenues bleu gris, et mon compagnon d'aventure fait un signe à un petit vieux. Ce dernier fait un petit hochement de la tête en souriant, et s'empresse de nous devancer pour ouvrir la porte de la chambre du mec, car lui même n'en possède pas les clefs.

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Je suis avec Clément dans les rues de Paris. Nous sommes proches de la Seine. On passe devant un bâtiment que dans le rêve je connais. Je dis "Heu tiens ce n'est pas le Palais des Accords ? Là où furent signés les accords de paix après la guerre de Trente Ans ?". Clément a l'air énervé et me dit que ce n'est pas le bon nom, il me le donne mais j'ai oublié. Le palais est en réalité un petit bâtiment qui a l'air un peu vétuste qui est construit juste au bord de l'eau. Il y a une barge faites de pavés retenus ensemble par des linteaux de bois, qui permet de traverser la Seine. Je suis un peu étonné que quelque chose d'aussi lourd puisse flotter. Je monte dessus. Il y a un genre de mécanisme qui permet de faire partir la barge et la faire aller sur l'autre berge, il faut actionner une manivelle. Clément commence à faire tourner la manivelle, la barge commence à s'éloigner, mais au bout de quelques minutes, à force de tourner la manivelle, Clément tombe à l'eau. Il essaie de se raccrocher à la barge mais n'arrive pas à remonter dessus.
Je vais dans l'eau moi aussi. En fait il y a plein de monde. Il y a des lignes flottantes comme dans les piscines pour séparer les couloirs. Des gens pratiquent un genre de sport bizarre, ils se servent du dossier d'une chaise en bois pour faire flotter l'avant de leur corps et avancent en battant des pieds dans l'eau. J'essaie de passer mais ils vont tous dans le sens qui m'est contraire.

vendredi 23 mai 2014

Rêves du 22 au 23 mai 2014

Je suis dans un aéroport. Je suis avec Clément, dans la salle d'embarquement. Le plafond est une immense verrière de forme arrondie, donc on voit bien l'extérieur. Il y a une tempête de neige qui fait rage dehors. Deux étudiantes qui attendent elles aussi leur avion sont assises à côté de moi. On discute, et je leur dis que ça me rappelle Boston pendant l'hiver 2012.
Soudain le vent devient si violent que l'on voit une tour de contrôle s'effondrer au sol et être recouverte de neige aussitôt. C'est la panique, les voyageurs commencent à évacuer le sas d'embarquement en criant ! On se dirige de façon désordonnée vers des escalators pour trouver la sortie, mais il y a un autre problème encore plus grave ! Je ne sais pas pourquoi exactement, mais il n'y a pas que la tour de contrôle qui a été touchée, il y a eu aussi probablement un problème avec l'endroit où on stocke les bagages, car l'aéroport est envahi de bêtes sauvages qui étaient destinées à voyager dans la soute d'un avion: des lions, des tigres, des loups et des hyènes. Ce qui accroit la panique chez les voyageurs cherchant à s'échapper, moi y compris.
On me fait comprendre qu'il ne faut surtout pas les regarder dans les yeux si on ne veut pas se faire attaquer. Je prends un escalator dont la sortie est gardée par des hyènes et j'essaie de détourner mon regard pour ne pas les provoquer. Il y a des enfants qui se cachent le visage dans leurs mains. Finalement j'arrive à les dépasser. Il faut ensuite prendre des escaliers pour descendre de niveau. Je dépasse tout le monde et j'arrive dans une zone que les animaux n'ont pas encore investie.
Plutôt que d'attendre leur arrivée, je décide de descendre encore d'un niveau pour me rapprocher de la sortie. Dans l'escalier qui me mène au niveau inférieur, je trouve un petit placard qui se révèle être en fait des toilettes. Sans réfléchir, je m'y engouffre et verrouille tout de suite derrière moi, étant persuadé que désormais je suis à l'abri des bêtes sauvages.
J'ai à peine le temps de reprendre mon souffle que j'entends une présence derrière la porte, des pas qui se rapprochent lentement. Mon angoisse augmente. La présence s'arrête derrière la porte, je maintiens le verrou fermé de toutes mes forces. Mais je vois que c'est la poignée de la porte qui bouge, pas pour s'ouvrir, au contraire pour se fermer, la personne derrière la porte est en train d'utiliser une clef pour verrouiller la poignée de porte. Une voix grave ricane et me dit "Maintenant c'est toi qui est pris au piège...." .


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C'est mon anniversaire, ma mère a organisé un repas. Il y a un genre de sauna. dans lequel je me retrouve. Un autre mec est là, torse nu. Il me fait penser à un ancien collègue de travail. Il essaie de me draguer, j'ai pas vraiment envie de coucher avec lui mais bon je me dis que je peux être sympa et le remercier de m'avoir prêté attention. Je me lève du banc où j'étais allongé et là je remarque que je fais au moins 20 cm de plus que lui... Et il a des yeux bizarres. Il me dit qu'il est trisomique. Je suis un peu gêné car je m'étais toujours dit que coucher avec un handicapé ça m'exciterait mais là pas du tout en fait.
Je retourne à l'anniversaire. Il y a donc quelques personnes invitées dont ce mec que je connais mal. Et quelques membres de ma famille, mon oncle et ma tante, ma mère qui a organisé le truc, ma soeur, mes cousines. Je me dis que c'est à chier comme anniversaire et j'aimerai ne pas être là. Ma mère veut me placer entre ma tante et mon oncle mais je râle car je n'ai aucune envie d'être à côté d'eux, je n'ai rien à leur dire. J'en profite pour glisser un mot à ma soeur, je lui dis de me rappeler de lui parler de mon projet de film, j'ai eu une idée géniale et je veux lui en parler (je fais référence à mon premier rêve).
Finalement on s'asseoit tous autour de la table mais il manque des couverts et des plats. Je réalise alors que je possède une baguette en bois qui me permet de faire bouger les objets à distance. Je me concentre très fort et je parviens à ramener des fourchettes et des couteaux depuis la cuisine. Mais ça me demande un effort de concentration intense à chaque fois et plus je m'en sers et plus mon pouvoir faiblit. Dommage...

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Je travaille à nouveau dans les fleurs. Ou bien je suis en cours, je ne sais plus exactement. En tout cas il faut créer de petites compositions florales. Il faut prendre des touffes d'herbes, les diviser et replanter chaque brin dans un petit monticule de mousse, en laissant deux trous à côté du brin pour que d'autres tiges puisse émerger. C'est fastidieux et pas très intéressant. Il y a un mec mal rasé qui nous supervise. Il critique notre travail et le trouve nul. Ca m'énerve. Il décide de partir du travail avant que nous ayons fini mais je me méfie car j'ai des objets de valeur dans mon casier. Je mets donc les bouchées doubles pour finir en vitesse et aller vérifier ce qu'il se passe du côté des casiers. Je ne m'étais pas trompé ! Je surprends le mec en train de fouiller dans mon casier !
Je l'interpelle et il s'arrête aussitôt mais ne semble pas vraiment gêné de son attitude et s'en va d'un air nonchalant. Je peux voir par la fenêtre qu'il rejoint deux autres types dans la rue.
Je vais me venger, je prends dans mon casier des montres Armani, et j'en mets une à chaque doigt pour me créer un genre de poing américain. Ainsi armé je m'apprête à descendre dans la rue pour lui casser la gueule avec les objets qu'il convoitait. Mais avant je préviens la responsable de la boutique de la tentative de vol: c'est une petite vieille qui est assise dans une fauteuil à bascule, et qui regarde par la fenêtre, drapée dans une robe violette, avec une coiffe bizarre qui fait penser à celle de la grand-mère de Marjory dans Game of Thrones. Elle ne semble pas trop prêter attention à ce que je lui dis.
Je vais dans la rue à la rencontre des trois types dont le voleur. Visiblement ce n'est qu'un pion, son chef est à moitié allongé sur un muret vêtu d'un blouson noir. Il a aussi un énorme pistolet futuriste qui semble être fait en plastique violet. Je lui parle du vol mais il me répond que c'est le taf du mec, dont le prénom est Stéphane. Je lui réponds que je comprends mais que je n'aime pas la manière dont il nous traite au travail. Et que je ne comprends pas pourquoi il est notre supérieur alors qu'il ne sait rien faire de plus que nous. Le mec au pistolet me demande si je ne sais vraiment pas pourquoi il est mon supérieur. Je commence à chercher et admettre que Stéphane est plutôt mignon et que ça pourrait être la seule raison valable.

samedi 22 mars 2014

Rêves en vrac février 2014


Je reprends mes cours d'archi, mais je suis contraint d'arrêter quand je réalise que décidément moi et les mathématiques, ça ne peut pas le faire ! Je choisis donc une autre orientation professionnelle et décide de suivre des cours d'assistant social.
Pour mon premier stage on décide de m'envoyer dans la demeure d'une jeune couple fortuné, dont le petit garçon a quelques retards d'apprentissage. J'arrive alors qu'ils se préparent à célébrer quelque chose le soir. Le thème de la soirée est le bleu, du coup tous les invités sont habillés en bleu, mais pas un bleu marine rasoir, plutôt bleu Klein, la table et les plats sont décorés de bleu eux aussi, jusqu'au petit garçon que je dois garder qui porte un costume de marin bleu, un peu comme celui de Donald.
Je m'approche de lui mais il s'enfuit dans la cuisine. La cuisinière semble particulièrement indifférente face à son sort, et je le retrouve en train de se balancer, nu et s'étant chié dessus. Il faut donc que je le lave avant de le rhabiller pour qu'il puisse être présenté aux amis des parents et faire bonne impression, mais il refuse que je m'approche de lui. Il s'enfuit et se rhabille tout seul, mais en étant toujours sale, et je crains que l'on découvre qu'il s'est chié dessus.
Le dîner se termine et je vois que le père possède la photo d'un cheval de course prise lors d'un match de polo. Il y a des gens qui posent à côté du cheval, dont moi. Je le lui dis, pour qu'il réalise que je fais aussi un peu partie de son milieu, mais il a l'air de ne pas trop y prêter attention et je me dis intérieurement que ces gens se foutent de ce que j'ai pu être avant. 
Je repars m'occuper du garçon. La mère me rejoint et on décide de jouer à chat pour attirer le garçon loin des invités et l'inciter à monter à l'étage.

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Je visite le nouvel appart de Papa à Berlin. Les murs sont en béton brut, c'est assez joli et surtout il y a une immense baie vitrée qui fait littéralement tout le contour de l'appartement. Mais Papa veut mettre des carreaux de mosaïques sur la baie vitrée et ne laisser que quelques carrés de lumière. Je trouve cette idée grotesque et m'énerve face aux décisions qu'il prend. 
Je réalise que je ne sais pas à quoi ressemble l'immeuble vu de l'extérieur et décide de sortir. La façade est celle d'un vieux bâtiment anglo-normand décrépi, on voit que certains colombages sont en train de pourrir. Mais c'est très joli tout de même, je commence à aimer de plus en plus cet endroit.
Il y a un autre bâtiment adjacent. C'est un hôtel en ruine. On dirait un bâtiment de la fin de XIXème délabré. Mon père me dit que l'hôtel fait partie du lot qu'il a acheté. Je suis extrêmement excité, car j'ai toujours rêvé de visiter une ruine. Le portail en fer rouillé est fermé par une lourde chaine mais je parviens à pousser la porte suffisamment pour que l'on puisse entrer.
L'intérieur est très différent, c'était en fait un ancien couvent. Les murs sont tapissés de boiseries anciennes. Il y a des objets divers ça et là. Je remarque sur un vieux guéridon une fiole remplie d'un liquide bleu turquoise, et qui fait quelques bulles. Je me demande de quoi il peut bien s'agir. Poussé par ma curiosité, j'en bois une gorgée. Rien ne se passe mais je me demande si c'était bien raisonnable de boire un breuvage qui était abandonné depuis je ne sais combien de temps, sans oublier que j'ignore tout de la nature du breuvage en question.

Rêves du 20 au 21 mars 2014


Je dois prendre l'avion avec Clément. Il nous a acheté deux tickets pour que nous partions en vacances et je suis content de quitter Paris.
A l'aéroport pourtant je rencontre un problème, je dois scanner mon billet mais aussi mon passeport et ma photo n'est pas valide, donc je dois prendre une photo avec la machine pour valider mon trajet.
J'essaie de me prendre en photo, ce n'est pas dur car c'est basiquement un selfie, mais impossible de trouver le bon angle. En plus sous certains angles, mon visage change, je deviens un mec différent, avec des yeux bleus notamment. Du coup la photo est refusée à chaque fois. Clément commence à s'énerver. Les gens derrière nous trépignent. J'essaie de reprendre d'autres photos mais un groupe de petites asiatiques font les marioles juste derrière moi dans le champs de vision de la machine.
Finalement je renonce face à ces difficultés et annonce à Clément qu'il devra prendre l'avion sans moi, que je le rejoindrai avec le prochain vol, le temps de prendre une bonne photo. Il n'a pas l'air ravi, et intérieurement je voudrai qu'il insiste pour que je vienne avec lui, mais il se résout finalement à partir sans moi. Quelque part je suis soulagé car comme ça je ne l'embarrasse pas plus longtemps et j'ai le temps de me concentrer sur cette satanée photo...

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Je suis dans un avion, nous sommes en train d'atterrir, je peux voir du hublot un magnifique paysage composé d'un océan turquoise au milieu duquel flotteraient quelques îlots tropicaux. Je suis avec mon père. Il me paye des vacances, nous sommes en Floride. En fait nous sommes à Disneyland. Le parc s'est étendu sur plusieurs îles, chaque île possède son propre hôtel, avec des ambiances différentes.
C'est vraiment un type de vacance que je trouve un peu cheap et bas de gamme, mais en même temps je suis ravi à l'idée de ne rien faire d'autre que de lézarder à la plage au bord d'une eau limpide.
Problème, mon père n'a pas réservé, la meuf de l'accueil nous dit qu'il ne reste quasiment plus de chambre. On accepte les dernières disponibles même si ce ne sont pas les meilleures, je suis un peu déçu, j'espèrais avoir le meilleur de ces vacances à la sauce Disney.

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Je suis chez ma mère, et je promène mes chiens. Il y a Nolka, Hélios et une nouvelle venue, un Terre-Neuve femelle que j'ai appelé bizarrement Golden alors qu'elle est toute noire.
Je pars les promener avenue Foch. C'est un peu difficile car les trois chiens ont trois rythmes différents. Nolka a du mal à nous suivre, il boîte lentement.
Finalement à force les chiens se séparent et je dois les retrouver. Je cherche Golden sous des voitures ce qui finit par me sembler absurde puisque je me rappelle que les Terre-Neuve ne peuvent pas se cacher sous des voitures. Je la retrouve, mais je réalise que Hélios a disparu.