jeudi 25 septembre 2008

Rêves du 24 au 25 septembre (dont partie lucide!)

Je suis dans une sorte d'hôtel, il y a plusieurs mecs dans ma chambre mais ce sont visiblement des potes plutôt. A un moment je sors sur le balcon et passe dans la chambre à côté de la mienne. C'est celle de la mère, qui est en vacance avec son compagnon. Je suis à poil, et ça a l'air de ne pas trop m'embarrasser d'être nu devant ma mère, mais en revanche la présence de Pascal me gêne. Je lui dis de nous laisser en famille. Il y a un petit échange de paroles et il concède à nous laisser discuter ma mère et moi. Je ne sais plus exactement ce que je lui dis, elle me répond à un moment que je ne peux pas venir interrompre ses vacances comme ça.

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Je suis dans un magasin. Je cherche un cadeau d'anniversaire pour Axelle en compagnie de ma mère. Je vois plusieurs tenues, des petites blouses grises ou noires. Ma mère les essaie, mais la vendeuse, qui a l'air de nous connaître Axelle et moi, me dit que la taille ne correspondra pas à la taille de ma soeur. Je finis par me ranger à son avis, mais comme je suis frustré de ne rien pouvoir lui acheter, je cherche quelque chose à acheter pour mon propre compte et finis par trouver un casque de scoot rayé en blanc et noir. Je l'essaie, il me va, hop emballé et payé.

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Je suis avec William T. Il a grandi depuis le collège. On sort de la Villette, on se dirige vers le métro. Je lui dis que je suis capable de m'envoler quand je le désire. Et hop je le prouve en m'envolant dans les airs. Quand j'atterris pourtant, William ne semble pas avoir remarqué quoique ce soit. Je retente de lui montrer mon aptitude au vol, peine perdue, il ne voit rien. Je finis par me dire que lorsque l'on vole, on devient invisible aux yeux des autres, et que c'est pour cela que tout le monde s'imagine qu'il est impossible de voler, alors qu'en fait tout le monde en est capable. Je lui dis qu'il suffit de le vouloir pour le faire.
On prend une sorte de couloir roulant (un peu comme ceux de Châtelet ou Montparnasse). Là des vendeuses de bijoux nous interpellent. Elles semblent me connaître mais ne me rappellent rien. Elles parlent des tendances actuelles, du fait que l'on mise plus sur l'élégance que sur ce qui est gros ou voyant de nos jours. Ça ne me passionne pas vraiment, donc je passe mon chemin.

Je me retrouve sur le lieu de travail de William. Une sorte d'hôtel bizarre, avec les murs et sols tapissés d'une épaisse moquette rosâtre. Il fait des massages. A des hommes. Suis assez étonné d'apprendre ça. Me retrouve nu une fois de plus, à déambuler dans les couloirs. Il y a comme de petites alcôves, dissimulées par un très fin voile, où des hommes sont dans des bassines d'eau chaude et se font masser par des minets. Je cherche mes vêtements. Un homme de la sécurité, qui semble veiller un peu sur William, les a lavé pour moi. En fait je retrouve des vêtements perdus dans la réalité. Peu importe je peux enfin me rhabiller.

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Suis chez moi, j'écoute une musique, assez forte. Suis censé être dans le 16ème, mais en même temps c'est comme si j'étais au 6ème étage de l'immeuble, comme quand j'habitais le 9ème. D'ailleurs les murs qui donnent sur la rue ont disparu. Je danse dans ma chambre au rythme de la musique en espérant que je ne fasse pas trop de bruit et que mon père ne soit pas dérangé.
En face ils s'amusent aussi. Un type a organisé une soirée. Les deux endroits se télescopent. Un mec mignon, brun aux yeux bleus, vient me parler comme si on se connaissait. Il ne me dit rien du tout, mais il est tellement mignon que je fais mine de savoir d'où il sort. Mais il est tellement confiant qu'au bout d'un moment je confesse avoir oublié qui il est. Il me dit que l'on a fait des photos ensemble, il vient me les montrer. C'est Steven (un type rencontré il y a un an) en fait. Bien plus beau désormais qu'à l'époque. J'en viens presque à regretter de ne plus trop le fréquenter. Il me dit vivre à proximité de chez moi désormais. Je lui réponds que je m'apprête à déménager.

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Suis dans un métro avec des gens de la Villette, dont Sophie et Li Wa (je crois?). Tout se passe au mieux on rigole etc. Puis Sophie flirte légèrement avec un type. Jusque là aucun soucis, enfin de mon côté. Visiblement ça ne plaît pas trop à Li Wa, qui l'a embrassé 5 minutes auparavant. Gros clash. Je me dis que cette ambiance détendue ne pouvait pas durer de toute manière. On sort du métro. Je ne sais plus trop ce que je dis, mais je cours en avant des autres et je dis (ou répète), que je peux m'envoler quand je le souhaite. Sophie est dubitative. Je lui prouve que j'ai raison en courant et battant des mains et hop je redécolle. J'ai un peu de mal à rester en l'air en revanche. Je dois refaire une tentative et m'envole pour de bon.
J'arrive dans une sorte de petit bâtiment étrange. Très ornementé. C'est un escalier. Il me fait un peu penser à l'escalier du château de Blois que je me suis escrimé à dessiner hier. Un petit tigre blanc apparaît. Je me dis que c'est un mauvais présage, mais je continue à descendre les marches. Effectivement d'autres animaux apparaissent, de plus en plus gros et menaçants. Un éléphant essaie de me foncer dessus.
Là je dis stop: je suis en train de rêver. J'avance la main et uniquement en y pensant, j'envoie balader l'éléphant à 3km. D'autres trucs qui souhaitaient me dévorer subissent le même sort. Suis content de faire un rêve lucide. J'en profite pour contempler un peu le paysage. Par les fenêtres de l'escalier, je vois comme trois autres îles, et suis situé sur une quatrième. Je me dis que ce sont les rêves dont je me suis échappé. Il y a des nuages noirs et inquiétants au dessus des îles. Au dessus de l'une d'elles, les nuages forment même comme des visages de sorcières ayant des crocs à la place des dents... Je me dis que tout ça est très joli et qu'il est dommage que je ne puisse pas en faire une photo. Je me dis également que ça pourrait illustrer de façon assez complète à quel point mon esprit est taré.
Je pense à prendre des notes de tout ceci. Mais en même temps je n'ai pas envie de me réveiller pour prendre des notes.
Il y a encore un monstre qui tente de me faire du mal. Je me dis qu'il est temps de travailler mes pouvoirs de "lucidité" dans les rêves. Au lieu de l'envoyer dans les airs, je le fige et commence à le modifier physiquement. Je finis par lui donner l'apparence de Jar Jar Bing (le personnage chiant de l'épisode I de Star Wars), parce que je n'aime pas le personnage et qu'il est tout sauf effrayant, donc je trouve ça plutôt ironique pour un ex-monstre de rêve.

J'ai l'impression au final que je rêve les yeux ouverts. Si je ferme les yeux, ma lucidité pourrait en morfler et tout ce que je vois disparaître. Je me laisse pourtant tenter, je ferme les yeux. Tout devient noir.

mardi 16 septembre 2008

Rêve du 15 au 16 septembre

Je me fait réveiller dans mon lit par un patient de ma mère. Celle ci ne répond pas au téléphone et cherche un moyen de la joindre visiblement. J'ai beau dire que je ne sais rien, il ne me lâche pas, et ne veut pas me laisser me rendormir tranquillement. Je lui donne le numéro du secrétariat mais ça ne semble pas lui suffire.
Je décide donc de me lever, afin de chercher ma mère. Elle est en train d'examiner une patiente dans une autre pièce de l'appartement. Cela semble durer longtemps... trop longtemps, j'ai envie d'aller me recoucher. Je finis par sortir ma mère de là plutôt brusquement et lui dire de s'occuper de son patient intrusif.
Le patient en question est dans la salle à manger désormais. Ma mère arrive. Ma soeur est là aussi. Le patient fait une plaisanterie à propos du fait que les liens dans notre famille doivent être assez forts, ce à quoi je réponds qu'il n'en est rien puisque ma soeur est à Lyon et que ma mère et moi ne vivons pas vraiment ensemble. Face à la familiarité de ton que j'emploie avec ce type, ma mère me demande si nous nous connaissons, ce que je démens. Je lui dis que je connais juste ce "type" de personne: le genre à venir s'introduire chez vous de façon insidieuse et à vous réveiller.
Ça fait rire le mec.

Rêve du 14 au 15 septembre

Rentrée scolaire une fois encore, à Janson pour ne pas changer. Cette fois ci je suis avec Mme Stositch, une ancienne prof d'Histoire Géo du collège, en guise de professeur principale. C'est le premier cours de la matinée et il y a encore peu d'élèves dans la salle. Je vais m'installer au dernier rang. Les matières que nous allons étudier cette année sont inscrites au tableau. Je suis déçu, il n'y a là que des matières déjà étudiées au collège/lycée..
Je suis interrompu dans mes pensées par la prof qui me demande de venir m'installer au premier rang. Je proteste; personne ne s'est mis au premier rang pour le moment, pourquoi devrais je le faire? La prof avoue que je n'ai pas tort et demande aussitôt au reste de la classe de s'avancer, mais insiste toujours pour que je vienne au premier rang, ce que je refuse toujours de faire. Face à ma résistance, elle me menace de m'exclure de cours. Au vu des matières peu intéressantes que l'on a à étudier, je me dis que ça ne sera pas une grande perte finalement, et me lève, lui tend mon carnet de correspondance, avant de sortir de sortir de salle.
Je vagabonde un peu dans Janson avant de tomber sur une boutique de déguisements pour enfants. On y trouve aussi des perruques. Quand je les vois, je me dis que ça doit être pratique afin de changer de coiffure à volonté selon l'humeur du jour.

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Retour en classe, la prof a changé. Elle nous donne un exercice à faire. Il s'agit de recopier plusieurs fois la même phrase, concernant la chiffre six. Je m'y applique, puisque j'utilise des stylos de couleurs différentes en fonction des mots.
Puis nous sommes interrompus par un prof qui occupe la salle voisine. Il dit qu'il n'y a pas assez de monde dans sa classe, donc il vient récupérer quelques élèves. Au début j'en suis assez content, car je vois partir la plupart des gens que je n'aime pas. Mais je réalise que je fais partie des gens qui sont censés changer de classe, et vais donc me retrouver exclusivement avec des gens que je déteste.
Une fois encore, mes pensées sont interrompues; le prof ne veut pas se contenter de prendre quelques élèves, il veut carrément remplacer notre prof actuelle. Il lui dit qu'elle est stérile, et que par conséquent, elle ne peut pas nous enseigner quoique ce soit correctement. Je trouve l'argument assez bidon, et plus humiliant qu'autre chose pour notre prof à vrai dire.
Je songe à aller me plaindre auprès de la direction du collège au vu du comportement abusif de ce professeur.

vendredi 12 septembre 2008

Rêve d'août 19

Je suis dans l'appartement de ma mère où je loge actuellement. Je consens à le prêter à des jeunes qui cherchent un endroit où loger, parce qu'il est assez vaste. Il y a un mec brun et barbu pas trop moche. Je lui propose de dormir avec moi, puisqu'il n'y a plus vraiment de place nulle part. Mais il décline ma proposition en déclarant qu'il n'est pas trop dans le "trip homo".
Puis il s'éloigne et va rejoindre deux de ses potes qui sont déjà installés dans un lit. L'un d'eux se lève et me regarde avec un sourire navré aux lèvres avant de m'embrasser furtivement, comme en guise de consolation. Puis visiblement le mec pas "trip homo" se révèle plus homo qu'il ne le prétendait, puisqu'il entame avec ses potes un plan à trois dans le lit, devant mon regard un peu perdu...

Je reviens dans l'appart une semaine plus tard. Mais entre temps, ma chambre a été repeinte. Elle est à moitié verte, à moitié rouge. Les deux dans des tons plutôt criards et vifs. Mes meubles semblent même avoir disparus, mais je réalise que cette illusion est dû au fait qu'ils ont été recouvert de peinture eux aussi.
On a entamé de repeindre le reste de l'appart en blanc visiblement. Mais ça n'est qu'entamé, donc il n'y a eu qu'une seule couche de peinture de passée, et on voit la couleur jaune en dessous encore. Je suis à moitié catastrophé, car si d'un côté il me semblait nécessaire de redonner un coup de jeune à cet appartement, de l'autre, je sens que ma mère va être furieuse de retrouver son "instrument de travail" dans cet état.
Axelle est avec moi. Je ne cesse de répéter, en errant dans l'appartement à la recherche d'autres changements, "On est dans la merde... On est dans la merde..." Ma soeur au contraire semble trouver la situation plutôt cocasse, puisqu'elle est morte de rire.
Je découvre la cuisine dans un sale état: elle est remplie de bouteilles de bières vides et de packs en carton qui traînent sur le sol, ce qui me rend furieux, parce que l'on a clairement abusé de ma gentillesse.
Une fille un peu maigre et aux cheveux longs se pointe, comme si de rien n'était. Je suis tellement enragé que je lui saute à la gorge pour l'étrangler d'une main en lui demandant qui est le responsable de tout ce merdier. Elle est trop effrayée pour me répondre de façon cohérente.
Une seconde fille débarque, plus petite et blonde, et me dévisage comme un intru avant de me demander qui je suis. Je lui répond d'une voix ferme que je suis "le propriétaire".

Rêve d'août 18

Encore la rentrée en archi, mais cette fois-ci, c'est le premier cours, un vrai. J'ai ma carte de la mutuelle de la Smerep sur moi. Dans l'ascenceur qui nous emmène vers notre salle de cours, je croise d'autres élèves, dont une fille que je crois reconnaître. Mais elle semble ne m'avoir jamais rencontré donc je présume que j'ai dû la confondre avec quelqu'un d'autre.
Je remarque que tous les élèves ont des cartons à dessin sous le bras. Je demande à la fille s'il fallait en amener un avec soi, et elle me répond que oui. La rentrée commence mal, car à part ma carte de la smerep, je n'ai rien pris d'autre.
Je lui dis que j'étais absent le premier jour, et que c'est pour ça que je ne suis pas tout à fait au courant de ce qu'il fallait amener.

Rêve d'août 17

C'est la rentrée pour ma première année d'archi. Je suis en retard car je me suis réveillé à midi.
J'arrive dans la cour de l'école, qui ressemble en fait fortement à la cour de Janson, mon collège. Autre coïncidence, la zone où je suis censé retrouver ma classe est celle où les 6ème attendent leurs professeurs de la première heure à Janson.
Les gens sont répartis dans les classes en fonction de leurs noms. Il y a des panneaux à l'entrée des classes avec les gens qui sont dedans. Je trouve la mienne et pénètre dans la salle. La prof ressemble vaguement à mon ancienne prof de français de 3ème. Elle me dit que l'on m'attendait pour commencer, et je peux voir tous les élèves me regarder fixement, ce qui me gêne atrocement.

Rêve d'août 16

C'est la rentrée scolaire dans mon école primaire. Je rentre dans ma classe, et on nous donne nos emplois du temps. Mais il y a un soucis, celui qu'on vient de me donner est une feuille toute noire, je ne peux pas lire ce qui est dessus, ce qui me fait paniquer. Je croise mon ancienne prof d'allemand, Mme Brague, une fois de plus.

Puis sans transition, je plonge dans un autre monde. Je suis dans une sorte de jeu vidéo. Nous sommes dans des cavernes étranges, et des créatures ressemblant à des tyrannosaures rex miniatures en plastique essaient de nous attaquer. Il faut les éviter, afin de ne pas se faire blesser. Mais à chaque fois que la situation se corse et que l'on est sur le point de mourir, une fille brune et souriante se matérialise devant nos yeux, et nous sauve la mise avant de disparaître.
Je la soupçonne de nous avoir rétrécis afin de pouvoir nous observer tels des animaux de laboratoires et agir à sa guise.
Après une Nième rencontre quasi-mortelle avec les créatures, la fille qui apparaît à nouveau et me confirme mon hypothèse, puis nous rend notre taille normale.
En fait, nous avions tellement rapetissé, que nous étions perdus dans les rainures d'un tissu de velours recouvrant un canapé, et nous nous battions contre des acariens (devenus géants en comparaison).
Ma grand-mère surgit alors pour me confirmer que les acariens sont nombreux, et qu'il est très difficile de nettoyer les matelas.

Toutes ces émotions passées, je réalise que j'ai oublié d'acheter des fournitures scolaires pour la rentrée et que je suis dans le pétrin.

Rêve d'août 15

Je suis à la recherche d'une jeune fille. Elle a été enlevée pour être tuée et j'essaie de la sauver.
Les types qui l'ont enlevée sont en en train de grimper une échelle, avec la fille qui est ballottée le dos de l'un d'eux comme un sac à patates. Je sors un flingue et leur tire dessus. J'en atteins un qui tombe, mais l'autre tient bon et finalement, tente d'entraîner la fille dans sa chute. Une seconde balle a raison de lui.
Je me mets à grimper à l'échelle également afin de rattraper la fille, puis lui conseille de continuer de monter. Une fois en haut, nous parvenons dans une espèce d'appartement décoré de poufs soyeux, et de draperies légères, le tout évoquant un décor oriental. La pièce est remplie de ballerines, et il y a là leur maîtresse de ballet visiblement, une grosse femme, au maquillage trop accentué et portant une robe noire. Elle fait mine de nous aider pendant un petit moment, mais nous comprenons vite qu'en fait elle tente de stopper notre fuite; elle aussi a été payée pour participer à l'assassinat. Elle tente de se justifier en nous disant que le salaire d'une maîtresse de ballet étant ce qu'il est, elle ne peut pas refuser cet argent providentiel. Il y a un type qui m'accompagne depuis le début. Il me confie d'un ton las qu'il pense au grand-père de la fille, qui voulait juste que sa petite-fille passe de bonnes vacances... Le grand-père s'appelle Gioseppe (ou un truc comme ça). Je me dis qu'en y réfléchissant, c'est peut être lui qui est derrière cette tentative de meurtre.
De la fenêtre, nous voyons un grand bateau à moteur blanc arriver dans le port. Sur le pont supérieur, un homme s'exclame que "ça va être drôle de voir des morts en direct!"
Puis on assiste à un étrange spectacle. Il y a comme un défilé d'hommes qui s'avancent de manière saccadée, faisant des gestes peu naturels ou exagérés, jusqu'à une sorte de plongeoir, d'où ils se jettent. Parmi eux sont en maillot de bain, d'autres sont nus. Il y en a certains qui parmi leur gestuelle bizarre, s'écartent les fesses en s'aidant de leurs mains. Je me dis intérieurement qu'il faut être sacrément impudique pour s'écarter les fesses en public.

Rêve d'août 14

Je suis en vacances en Espagne. Je me balade dans une pinède, et trouve une fille agonisante sur mon chemin, au teint cadavérique, et dont les vêtements sont en lambeaux. Je me décide à la porter afin de la ramener vers la ville où elle pourra obtenir toute l'aide nécessaire. Un bus passe, et je me dis qu'il va m'être ainsi plus facile de transporter la fille qui est dans mes bras, mais le bus ne s'arrête pas, malgré mes cris. Je dois donc courir après, la fille toujours dans mes bras, et m'accrocher au bus afin de parvenir à me hisser à son bord.
Le bus ne va pas jusqu'en ville finalement, et nous devons donc faire le reste du chemin à pied. La fille semble avoir repris des forces, car elle marche à mes côtés.
Nous arrivons dans une sorte de station balnéaire, aux portes d'un hôtel où je semble résider le temps de mon séjour avec Béatrice. Je propose à la fille de prendre une chambre elle aussi, afin de se remettre de ses mésaventures, mais elle me rétorque que l'hôtel est trop cher pour elle et qu'elle ne peut pas se le permettre. Elle s'éloigne donc du hall de l'hôtel, dont l'entrée donne sur une sorte de grande place pavée qui est surplombée par un étrange bâtiment, composé de différentes strates recouvertes de mosaïques colorées, qui m'évoque un peu un jardin conçu par Gaudi à Barcelone. La fille semble lire dans mes pensées, puisqu'elle me dit qu'il ne s'agit pas d'un jardin, mais d'une cathédrale.

mercredi 10 septembre 2008

Rêve du 8 au 9 septembre

Je suis sur les Champs Elysées, je me dirige vers la place de la Concorde. Je me rends dans un bar et découvre que Mylène Farmer y est également. En tout cas elle ne semble pas particulièrement surprise ou gênée par ma présence, donc j'en profite pour aller lui poser quelques questions. Elle y répond avec politesse et je me dis intérieurement que c'est une bonne chose qu'elle ne soit pas hautaine, en dépit du fait qu'elle soit connue en France (uniquement en France).

Je la questionne notamment quant à la qualité et l'originalité de son nouvel album, et de son titre "Dégénération". Elle me dit que c'est en référence à son ancien titre, "Désenchantée". J'avais déjà compris ça, mais je lui demande s'expliquer un peu sur le sens de la chanson; pense-t-elle que sa génération était en proie à une crise de confiance, mais que cette confiance n'existe plus du tout pour la nouvelle génération qui est juste désabusée?
Et ne trouve-t-elle pas que tout ce style de musique commence à avoir un air de déjà-vu?
Elle n'a pas le temps de me répondre, ou du moins je n'ai pas le temps d'entendre sa réponse, que nous sommes rejoints par un homme, que j'identifie à Laurent Boutonnat, son associé. Contrairement à elle, il est plutôt narquois et limite méprisant à mon égard. Puis il incite vivement Farmer à partir de ce bar et de quitter ma table.

lundi 8 septembre 2008

Rêves du 7 au 8 septembre

Je suis sur une île perdue au plein milieu de la mer et recouverte de végétation type jungle. Il y a une sorte de petit village, auquel on accède par une sorte de pont formé par le tronc géant d'un arbre abattu. Il est question du fait que les Humains vivent protégés et insouciants, au beau milieu de la forêt, contrairement à d'autres créatures. Pourtant, ce propos est vite démenti, on voit des loups attaquer le village. Un jeune garçon notamment se fait mordre. Son grand frère part à sa rescousse pour le délivrer, y parvient, mais se fait ensuite lui même attaquer par les loups qui le dévorent. On comprend que le jeune garçon délivré aura pour but de venger la mort de son frère.
Finalement je me retrouve dans la peau du jeune garçon, qui a grandi depuis. Je marche dans la forêt.
J'ai oublié la suite.

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Je cherche un appartement à louer. Je finis par tomber sur une annonce sur un site internet. Le site montre une petite carte (genre mappy), avec la zone occupée par l'immeuble en vert.
Immédiatement, je suis plongé dans le quartier en question. Il s'agit d'immeubles assez hauts (pour des immeubles parisiens bien sûr, pas comparés à des buildings), en brique, mais on a sculpté la brique afin de faire paraître plein de motifs et de décorations sur la surface des immeubles. En fait ça ressemble à du haussmanien, mais intégralement en brique au lieu de la pierre de taille. Il fait assez sombre, c'est la nuit. Je m'avance un peu dans la rue, et finit par tomber devant une grille qui ferme l'entrée à une immense cour bordée d'immeubles de même genre. J'assimile ça à une "copropriété", et je ne peux pas y pénétrer. On dirait que le rez de chaussée d'un des immeubles fait office de restaurant-boîte de nuit. Des gens font la queue en rigolant pour y aller. Je me glisse parmi un des groupes et passe ainsi la grille.
Il y a une sorte de réception de l'autre côté. Une fête, pour un mariage peut être. J'aimerai bien voir ce que ça va donner, mais je n'y suis pas convié. Qu'importe, je fais le tour des tables, les invités ne sont pas encore arrivés.
Ma grand-mère est là. Derrière une sorte de gros pilier, je trouve un groupe de jeunes hommes, plus grands que moi. Ils sont en train de faire une sorte de jeu sexuel, en tout cas ils exhibent leurs pénis. Je rigole intérieurement, parce que ceux ci sont petits.
Finalement ma grand-mère me rattrape. La soirée vient de se terminer, et j'ai dû trop boire parce que je ne me rappelle pas de grand chose. Elle me dit qu'elle nous a acheté des places pour y assister, et qu'elles ont coûté chacune dans les 180€ ce que je trouve énorme.
C'était visiblement un dîner pour promouvoir l'ouverture d'une nouvelle boutique tenue par des Chinois. Ils sont dans la fourrure. J'essaie une sorte de gilet sans manche en vison, et pose des questions à ce propos à ce qui me semble être la gérante de la nouvelle boutique. Je n'aime pas la coupe de ce que je porte, ça me fait trop penser à un vêtement d'Axelle. Je préférerai avoir quelque chose avec des manches.

jeudi 4 septembre 2008

Rêves du 3 au 4 septembre

J'accompagne Axelle en voiture dans son école. Ma grand-mère est là aussi. Elle veut offrir un chapeau à Axelle, qui possède un ruban turquoise.
Finalement je rentre chez moi et commence à mater la télé. Ils diffusent Star Wars visiblement, bien que ce soit une scène que je n'ai jamais vu dans aucun film. Visiblement le Héros fuit les méchants sur une sorte de skateboard flottant (un peu version Retour vers le Futur). Achille apparaît à ce moment. Il commence à avoir un comportement plus ou moins séducteur. Je me laisse faire mais ça me gêne un peu car la fenêtre de ma chambre est en vis à vis avec celle de ma mère. Finalement il me chevauche et veut que je le prenne, ce qui me surprend un peu. J'accepte mais j'émets des gémissements sans trop m'en rendre compte qu'il qualifie de "féminins", ce qui me trouble.
Finalement on interrompt nos ébats. Il a une émission qu'il ne veut pas rater sur M6 Matin ou un truc comme ça. Je lui dis que je regardais la télé tout à l'heure et lui parle de la séquence Star Wars, dans laquelle je me retrouve plongé.
C'est une sorte de manège, il y a plein de ces skateboards flottants, et faut tenir à deux dessus, pendant que les engins tournent dans un manège. Benjamin est là je crois, Corto aussi peut être. C'est un peu difficile. Puis la donne change. Les skate-board rétrécissent: ce ne sont plus que des disques de la taille d'une assiette, blancs ou noirs. Au début je ne comprends pas bien comment tenir à deux sur un truc aussi petit, mais le concept m'est expliqué par le "maître de manège": faut tenir seul sur un disque d'une couleur, et réussir à bousculer ceux qui sont de l'autre couleur, un peu comme des auto-tamponneuses. Comme je pars à contre-sens des autres, personne ne peut me bousculer au départ. Puis un nouveau round commence, et j'essaie une manoeuvre acrobatique, en voulant sauter par dessus une table et atterrir sur le sommet d'un arbre de noël blanc. J'échoue et parvient avec grande difficulté à maintenir mon équilibre.
Le maître de manège fait alors une réflexion et demande "pourquoi les homos sont ils toujours si théâtraux?"

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Je veux prendre des cours de danse, pour me détendre. Visiblement c'est une école où Lauren Ambrose, l'actrice qui joue Claire dans Six Feet Under, a été. En fait ça ressemble plus à des cours de relaxation mais passons. On doit prendre des poses et les tenir quelques minutes. J'essaie différentes poses, dont une où je me retrouve à faire une auto-fellation (chose impossible au vu de la pose, mais bref...) et me demande si ce n'est pas un peu trop osé pour la classe. Visiblement ça ne choque pas tant que ça la prof. En revanche elle fait un commentaire sur mes doigts de pieds qui sont poilus: visiblement ça ne s'accorde pas avec le monde de la danse! Me sens humilié et décide alors de quitter la salle dignement. Je descends un escalier et m'apprête à faire les démarches pour me désinscrire.
Puis la prof me rattrape dehors et me dit qu'elle ne voulait pas me chasser et que j'ai mal interprété son message. Je lui réponds que j'ai pris ce cours pour me détendre et pas vraiment dans une autre optique, et que si les orteils poilus la dérangent, tant pis. Elle me dit que ce n'est pas grave, que je n'aurai qu'à revenir au cours suivant...
Je sors prendre l'air et je tombe sur Louisianne F. . Elle semble plus intéressée par mon paquet de cigarettes que par le fait de me revoir et insiste lourdement pour que je lui en passe une, et elle est entourée d'un groupe d'amies qui veulent aussi que je les dépanne. J'accepte pour Louisianne, mais comme toutes ses filles se battent pour m'arracher mon paquet, la cigarette que je lui tends finit déchiquetée. Je lui dis alors que vu le nombre qui me reste pour ma propre consommation, c'est tout ce qu'elle aura.
Dehors d'autres élèves font des espèces d'étirements. Je les rejoins sans comprendre vraiment ce qu'ils font au début. Les profs font des mouvements, on doit imiter. Ils sont en train de se muscler ou un truc du genre. Je me dis en comparant avec mon corps, que je ne suis vraiment pas assez musclé.

mercredi 3 septembre 2008

Rêve du 1er au 2 septembre

Je conduis une voiture, une mercédès je crois. Je suis en train de faire des repérages afin de trouver un acteur pour jouer dans un film porno. Il y a en a un que je vois dans la rue justement, un mec pas très grand au teint légèrement hâlé. Pour une raison que j'ignore je l'identifie au prénom Tadzio. Il travaille dans un garage. Il y a un truc qui me gêne, c'est le site pour le tournage, on est dans le 19ème arrondissement à Paris visiblement et je ne veux pas tourner à cet endroit. Je décide donc de garer ma voiture dans le garage afin de mettre les choses au clair.
Le garage fait aussi office de bar à putes version pédé visiblement. On peut même y prendre une sorte d'abonnement, genre le premier mois est gratuit et on peut "tester la marchandise" et après on paie chaque mois. Un peu comme pour les mmo..
Je descends dans les tréfonds du garage et au final me retrouve sur la pente d'un toboggan rose avec des sortes de paillettes ou des petites lumières pour l'éclairer. Un truc très kitsch.
Me retrouve à l'arrivée dans une sorte de backroom. Suis assez étonné, c'est la première fois de ma vie que je mets les pieds dans un endroit pareil. La luminosité est plutôt élevée pour une backroom d'ailleurs, je vois des mecs copuler un peu partout autour de moi. Un type veut coucher avec moi et je crois que j'accepte mais il met trop de gel...
En fin de compte je réalise que Benjamin est lui aussi présent. Je me sens honteux comme si j'étais surpris en train de faire quelque chose de mal. Aussitôt je me mets à fabriquer des chaussures féminines en papier, comme une sorte de prétexte pour expliquer ma présence ici au cas où il viendrait me demander. Je fais une série de bottines à talons haut en papier, genre Clairfontaine. J'essaie de modeler du mieux que je peux les chaussures, mais quelque chose cloche. Benjamin s'approche et me fait remarquer que je n'aurais pas dû prendre mon propre pied comme modèle car il est trop "nerveux". Je prends conscience alors du fait que mes chaussures ressemblent plus au moulage d'un pied qui serait comme torturé, et j'en viens à me dire que mes propres pieds ne doivent pas être bien beaux.

lundi 1 septembre 2008

Rêve d'août 13

Je suis à Verbier et je me réveille dans ma chambre. Il y a un mec mignon qui me regarde avec bienveillance. Il me dit que j'ai l'air tourmenté dans mon sommeil, car je parle beaucoup. Je lui réponds qu'il m'arrive de rire en dormant également.
Puis ma mère débarque avec son compagnon Pascal, ainsi que d'autres personnes dont une qui est, je le comprends, le frère de Pascal. Il me dit que je lui ai pris sa chambre, d'un ton très péremptoire, ce qui m'agace au plus haut point vu que la maison ne lui appartient même pas. Je me tourne vers ma mère pour qu'elle me soutienne, mais celle ci me reproche d'un ton sec de ne pas avoir demandé la permission avant de prendre la chambre, ce qui me met hors de moi.
Finalement Pascal dit à tout le monde de se calmer, et me tend la main, comme en signe d'apaisement. Ce geste finit par me faire craquer, et dans un accès de rage, je prends un verre que je fracasse contre le bureau avant de me jeter à la gorge de Pascal le tesson en main, avec la ferme intention de le blesser plus que sérieusement cette fois ci...

Faux réveil

Je me réveille et suis à nouveau à Verbier. Ma mère n'est pas beaucoup plus agréable que précédemment. Je lui parle sur un ton qui ne lui plaît visiblement. Elle me demande de ne pas l'embarrasser en face de mes amis. Je contemple l'assistance, et réalisant qu'il n'y a autour de nous que des amies d'Axelle, que je ne connais pas qui plus est, je lui rétorque que je ne peux pas l'embarrasser en face de mes amis, étant donné que ce ne sont pas les miens. Ma mère ne semble pas vraiment apprécier beaucoup plus ma réponse insolente.
On se retrouve tous dans la chambre d'Axelle. On parle de je ne sais plus trop quoi; me rappelle juste qu'il est question de la virginité présumée d'une de ses copines.