jeudi 18 décembre 2008

Rêve du 17 au 18 décembre 08

Je suis dans la rue, il fait nuit. En fait je crois que je suis Buffy. Je suis à la fin de la saison 2 je crois, et je dois quitter Sunnydale, donc je vole la voiture d'un employé municipal qui nettoie le lycée. Le mec appelle ses collègues pour me poursuivre, mais je suis déjà loin.
Par précaution je trouve au détour d'une autre rue une foule et m'enfonce dedans pour ne pas être repéré.
Il y a une sorte de manifestation contre un produit médical toxique. Les manifestants ont écrit des messages en bleu sur leur panneaux de protestation et distribuent des petits papiers bleus pour mettre les gens au courant de leur action.
Je passe difficilement au travers de tout ça et continue ma route. Je déambule un peu, passe devant un resto chinois qui sert des plats peu appétissants, j'ai l'impression de croiser un mec que je connais, Pascal, un type qui travaillait avec moi chez Mariage Frères, mais continue ma route.
Et je retombe sur la manifestation. Cette fois ci, les manifestants essaient de me distribuer un tract. Ils sont très grands et comme je ne leur réponds pas au premier abord, je leur dit que c'est parce qu'ils sont si grands qu'ils sont hors de mon champs de vision, pour m'excuser de ne pas m'associer à leur cause que je trouve juste pourtant.
Et essaie de me frayer un chemin pour aller plus loin. Il y a un couple très grand devant moi qui me bloque un peu le passage. Ils sont également habillés en bleu et semblent enthousiastes à l'idée de la manifestation. Je les dépasse.

Je me retrouve vers Saint-Georges. Dans un troquet pas loin de mon ancien appart, je tombe sur mon père. Son frère est assis avec lui, mais dort.
On discute un peu, je parle de mes projets de vacances, aller faire du ski etc. Mon père dit qu'il ne pourrait pas en faire. Je lui réponds qu'il pourrait faire de la bouée et que c'est assez drôle et sans risque. Il rétorque en riant qu'il pourrait se casser les os avec un truc pareil. J'essaie de faire une blague, mais ça ne prend pas vraiment.


Je suis avec une fille, possiblement de la Villette, mais son identité n'est pas précise car il s'agit d'un mélange de plusieurs personnes. On évolue dans un grand hall jaune pour se rendre à une réception. Il y a des assiettes en porcelaine décorées de motifs bleus sur les murs. Nous suivons une femme d'âge mûr et à l'aspect un peu sévère; ce doit être la maîtresse de maison. Elle semble beaucoup tenir à ses assiettes.
Je me retrouve à un dîner toujours en compagnie de cette fille. Il y a aussi un mec de la Villette présent, ainsi que d'autres personnes dont mon père. Il y a également le mari de la femme mûre. C'est Dick Cheney je crois, en tout cas je l'associe à l'administration Bush.
Le mec de la Villette à un moment se met à critiquer mon père en le traitant de bouffon. La fille qui m'accompagne lui dit que c'est assez grossier ce qu'il fait. Mon père qui reste plus ou moins impassible au début finit par le traiter de petit merdeux, non pas parce qu'il a plus d'expérience que lui, mais parce qu'il gagne plus d'argent que lui. De mon côté je suis silencieux, même si je sens que je devrais m'emporter.
Je demande au garçon s'il sort avec la fille, il me répond que non. Puis je demande ensuite à la fille si elle comptait passer la nuit avec le garçon, elle ne répond pas de façon très claire, mais sous entend que oui. Je lui dis alors que je suis désolé, car si elle veut rester en compagnie du mec, elle va devoir partir elle aussi, puisque je ne tolérerai pas de voir sous le toit de mon père (on est dans mon appartement en fait) une personne qui lui parle aussi mal (en fait c'est ma tentative pour ne pas paraître inactif). Et ce faisant je me lève et incite le type à en faire autant pour le chasser.

Mais finalement c'est moi qui part en compagnie de la fille.
Pendant que nous descendons les escaliers du hall, nous discutons de la présence de Cheney au dîner. Sa femme est vraiment pingre. Quand elle venait à Deauville chez mes grands parents elle était toute mielleuse, tandis que là, elle voulait à peine que l'on se serve de ses précieuses assiettes bleues... Je suis assez outré, car il paraît qu'ils se sont faits couronner empereur et impératrice d'un petit pays du tiers monde. Je me demande si c'est compatible avec la Constitution Américaine d'être empereur de quelque chose. En outre je les suspecte de rester à faire une orgie pendant très longtemps après notre départ. La dernière fois paraît il, Cheney serait resté 8 mois à une réception orgiaque, mais aurait prétendu être en vacances pour camoufler ça. Je trouve toute cette hypocrisie vraiment insupportable...

Il faut se hâter car nous allons être en retard. La fille me parle de ses grossesses. Ou un truc du genre. Je lui dis en plaisantant qu'elle les enchaîne de toute manière. Cela semble la blesser car elle part en avant en sanglotant.
Finalement nous arrivons là où nous devions nous rendre. Il s'agit du baptême de la fille. Sa mère porte une grande robe rouge et tout le monde nous attendait visiblement. La fille est partie pleurer dans un coin derrière un grand piano noir, et sa mère ne comprend pas ce qu'elle a, donc j'essaie de m'excuser pour ne pas me faire accuser d'avoir ruiné la soirée (et accessoirement parce que ça me fait un peu de peine d'en avoir causé autant).
Les choses rentrent dans l'ordre, elle arrête de pleurer et c'est Axelle dont il s'agit désormais. Elle me tend des biscuits apéritifs qu'il faut tremper dans une espèce de fromage blanc.

Je ne sais plus si c'est au sein du même rêve, mais en tout cas Axelle et moi avons une dispute, à propos d'orchidées. On essaie d'en planter chacun, de couleur différentes. Elle essaie de planter des jaunes et noires, moi des rouges et blanches plutôt. et on accuse chacun l'autre de défigurer les plantations de l'autre. Notre mère arrive et nous essayons de la faire intercéder chacun en notre faveur, mais sans résultat très probant.

.....

Une sorte de jeu vidéo grandeur nature. Il y a une sorte de bateau pirate géant dans la mer, et je nage autour. A l'aide d'un élastique géant tendu entre les mats, je recule dans l'eau jusqu'à me propulser dans les airs au dessus du bateau et atterrir dans une sorte de niveau supérieur. Une sorte de labyrinthe. Il y a différents types d'armes au sol, mais aucun qui ne soit vraiment utile. Je peux les recycler pour obtenir des matières premières. Des pères noël automatisés sont les monstres à éviter dans ce labyrinthe. Sauf qu'au lieu des vêtements rouges, ils ont des vêtements jaune et vert. Je parviens à grimper encore et à changer de zone.

Cette fois ci je suis au seuil de l'îlot temporel de Mahaheel, la résidence du Prince Kushulai'n. En gros je suis replongé dans le jeu The Nomad Soul.
Il faut se préparer à aller affronter le roi des démons, Astaroth. Sachant que je n'ai jamais réussi à le vaincre, j'essaie de prendre des forces avant d'aller prendre possession du corps de Kushulai'n. En lisant la soluce, j'apprends qu'il y a un endroit secret à l'extérieur de l'îlot que je n'avais jamais vu. J'essaie de m'y rendre après avoir décroché une tenture rouge. Je récupère je ne sais plus quoi mais glisse et redescend de niveau.

Me retrouve dans l'eau de mer, à côté du bateau, sur laquelle il y a une grosse tête de Mario maintenant.
J'essaie de me relancer avec l'élastique, mais celui ci est tout usé, et ne se tend plus vraiment. Au contraire, il s'étire jusqu'à se casser.
Je nage autour du bateau en essayant de retrouver un autre élastique...

lundi 1 décembre 2008

Rêves du 1er décembre 08

Je suis dans une sorte de résidence de vacances, probablement dans le sud vu que le décor semble un peu méditerranéen. Je suis là bas avec ma mère et ma soeur. Ma mère est au bord de la piscine sous un parasol, elle discute avec une autre femme. Je sais qu'il y a un vieil obèse qui tourne dans le coin également, et qui a des vues sur moi, ce qui me dégoûte.
Je retourne dans ma chambre d'hôtel, et je ne sais plus trop pour quel raison, je soulève la peau d'un de mes index en passant un cure-dent en dessous. Il faut que je trouve ma mère pour qu'elle me donne un pansement.
Une fille arrive, et me montre une zone sur mon pouce en décrétant qu'elle contient des cellules cancéreuses et qu'il faut que je fasse quelque chose pour me soigner en vitesse si je veux éviter un cancer généralisé. J'essaie de m'arracher la zone en question en me mordant, mais sans réel succès. La fille me propose son aide. J'hésite car elle fait partie d'une sorte de secte, mais finalement lui file mon numéro de téléphone.

J'ai un peu zappé un passage intermédiaire, mais je sais que je fuis cet endroit assez rapidement en métro. Dans la rame, je retrouve Ulysse. Il est avec une copine dont il semble assez proche, et je ne veux pas les déranger. Me demande également ce qu'il est advenu de sa Johanna. Puis, pour une raison que j'ai oublié, on commence à se chamailler en se jetant du nutella dessus.
Je vois en même temps que mon téléphone est saturé par 90 appels en absence des membres de la secte. Elles (car il n'y a que des femmes dans cette secte) ont dû remarquer ma défection...
Je reçois un coup de fil d'Axelle qui me demande de revenir en m'assurant qu'il n'y a plus aucun danger.
Mais je ne suis plus vraiment à proximité, puisque le métro m'a déposé à Caen.

Je me balade sur le port, et me fais la réflexion que tout ceci devait être très différent du temps où Maminou était jeune. Je me dis également que le port de Caen est plus impressionnant que celui de Deauville.
Je suis soudain pris d'une forte envie de me jeter à l'eau. Ce que je fais. Mais je dois remonter en vitesse sur le quai car un sous-marin qui faisait des manoeuvres dans le port manque de me rentrer dedans.
Je continue ma promenade sur le quai.
Je croise tout d'abord un groupe de punks, à l'allure plutôt miteuse; je les survole en faisant un grand bond. Puis je traverse le feu de camps d'un groupe de mecs au look roots, qui sont en train de fumer des pets. L'un d'eux m'en propose d'ailleurs, mais je décline et poursuis ma route prestement. Enfin je tombe sur un groupe de types qui n'ont plus de cloison nasale. Ils mendient et me demandent si je n'ai pas un peu d'argent. Ce sont des lépreux en fait. De plus près je remarque que sur les quatre que j'ai en face de moi, deux sont pratiquement aveugles, et les deux autres ont la peau qui commence à sérieusement pourrir et tomber en lambeaux. J'hésite un peu, mais assailli par ma conscience, je finis par leur donner ce qu'ils réclament.

Je déambule dans la ville de Caen. Je cherche l'office du tourisme pour avoir les horaires des trains. Il y a une parade militaire dans la ville je crois. J'entre dans une pharmacie pour avoir des renseignements. La pharmacienne me dit qu'au vu de l'heure, l'office du tourisme est probablement fermé.

Finalement je me débrouille pour retourner au club de vacances, et rejoindre enfin Axelle. A peine suis-je arrivé que je suis saisi d'un mauvais pressentiment; mon téléphone commence à recevoir à nouveau des appels des membres de la secte. Je suis avec Axelle quand les membres arrivent et se mettent à m'entourer. J'essaie de trouver une justification pour mon départ précipité, mais peine perdue: Axelle fait également partie de la secte et m'a piégé!

On me livre à leur gourou. C'est en fait la femme qui se faisait appeler Madame dans le film Martyrs. Elle a sensiblement la même apparence, la même tenue, ainsi que le même rôle finalement. Elle se présente à moi de façon assez chaleureuse et souriante, tout en me disant qu'elle s'appelle Veuve Noire, car elle torture jusqu'à ce que mort s'en suivre tous les mâles qu'on lui apporte. Elle me dit que son apparence bienveillante n'est qu'un masque, et qu'elle ne ressent rien, sauf quand elle torture les gens, ce qui explique qu'elle prenne beaucoup de plaisir à le faire. Elle commence à m'accrocher par les pieds à un fil très fin et me suspend par la fenêtre au dessus du vide...

Me réveille. :x

......

Cette fois ci, c'est moi le tueur en série. Sauf que je suis en fuite, pour ne pas changer. Suis à la fois acteur, et à la fois spectateur, parce que par moment, je suis extérieur à l'action et je fais des commentaires comme si je regardais une série. Une femme (pour ne toujours pas changer) me poursuit. Les rôles sont inversés puisqu'elle est du côté des gentils.
Je m'échappe par des toits. Par coïncidence, je me retrouve à arpenter les toits de mon ancien domicile chez mon père, et le moi-extérieur se dit que ce n'est pas bien malin puisque le moi-intérieur sera vite coincé par le pâté de maison.
Finalement je trouve une issu de secours: une sorte de longue passerelle recouverte par des tentures me permet de filer, à l'abri du regard de celle qui me poursuit.
Je parviens à une marina. J'essaie de repérer un voilier à moteur qui fonctionnerait afin de fuir en bateau par la mer. Mais je ne suis pas assez rapide, et la femme qui me file arrive sur les lieux également.
Pour ne pas être repéré, je me plaque dans la boue. Mais la femme se met à humer l'air pour me repérer; c'est normal, car en temps que tueur monstrueux, j'émets une odeur caractéristique de soufre...
Je me couvre de boue, histoire de ramper invisible, mais une voiture, avec une autre femme au volant arrive. Heureusement mon camouflage me rend imperceptible. Mais je ne peux plus trop bouger, surtout que la première femme s'en va interroger la seconde pour lui demander si elle ne m'aurait pas vu dans les parages. Cette dernière sort de sa voiture, et du coup me rentre dedans vu que j'étais à ses pieds, mais ne peut toujours pas me voir. Elle dit que non, et la "renifleuse" s'éloigne.
J'en profite pour jouer un peu, je me dis que c'est finalement assez marrant d'être quasi-invisible, et du coup, tout en étant allongé par terre, j'étends ma jambe pour tracer avec mon pied des dessins en boue sur les vitres de la voiture, et rigole intérieurement en voyant la femme ne pas comprendre pourquoi de la boue apparaît subitement sur sa caisse.
Puis je décide de prendre la poudre d'escampette, mais ne peux me résoudre à laisser ce témoin en vie; j'utilise un scorpion pour la tuer, et détale.

L'autre arrive immédiatement pour trouver le cadavre et le scorpion, et comprend que je n'étais pas loin.

samedi 29 novembre 2008

Rêves du 29 novembre 08 (2)

Je domine une forêt depuis un plateau rocheux. En fait je surplombe l'espace d'un jeu vidéo: il faut déplacer à travers la forêt un groupe d'animaux, tels des pions, (là j'ai deux marmottes [qui ressemblent à des castors] à faire bouger), leur faire franchir des obstacles jusqu'à les mener jusqu'à un certain point. Puis ce sont des groupes d'animaux différents qu'il faut coordonner. Je dois faire se déplacer une vache noire, une vache blanche, une chèvre et un chien. J'arrive à les mener jusqu'à une zone où quelqu'un garde un objet précieux.
C'est une plaque d'argent fine, taillée en forme de bouclier, sur laquelle sont gravés des inscriptions et un grand soleil. Le gardien me demande si je sais de quoi il s'agit. Je réponds que oui; c'est en fait un emblème de Louis XIV, que l'on accrochait sur les bateaux qui partaient explorer les terres inconnues pour les revendiquer au nom du roi; la plaque servait à montrer la magnificence du Roi Soleil. J'ajoute que c'est plutôt minable comparé au faste de la flotte inca qui avait débarqué en Europe, et que les empereurs incas auraient pu marcher dans Paris s'ils l'avaient voulu. Mon interlocuteur me dit que jamais ça n'aurait pu arriver car la flotte inca n'avait pas remonté la Seine jusqu'à Paris. Je précise alors qu'ils n'étaient pas très loin en Île de France, mais que leur opération n'était peut être pas militaire ou d'ordre colonial, contrairement aux expéditions européennes. Ceci dit intérieurement je m'interroge sur le besoin d'envoyer une si grande flotte uniquement pour de l'exploration.

Je passe à bord d'un vaisseau justement. Ce n'est pas vraiment moi, mais un autre personnage, qui semble pressé de partir. Il est suivi par un autre type à l'air louche. Mon perso fait tout pour empêcher le second de monter à bord et y parvient. Le navire part, mais le type louche s'avance le long du quai jusqu'à tomber dans l'eau.
Mon navire coule, et le mec louche coule à pic également. Ma suspicion à son égard se voit justifiée puisque une fois au fond de l'eau, il se transforme en une sorte de truc monstrueux à l'air vaguement humain. C'est un mutant. Mais moi aussi, puisque je parviens sans peine à respirer sous l'eau. Le monstre me pourchassait pour cette raison; il fait partie d'une sorte de brigade anti-mutants. Il me dit que les mutants sont inhumains, faisant allusion à mon attitude stoïque alors que je devrais être en train de me noyer. De mon point de vue c'est l'hôpital qui se fout de la charité, vu sa tronche...

Visiblement l'histoire change un peu, puisqu'un troisième type utilise ses propres super-pouvoirs pour éloigner le monstre et l'électrocuter. Je m'incarne dans la peau de la Petite-Amie-En-Danger-Du-Superhéros. L'opération de sauvetage va visiblement coûter la vie du super-héros, et je veux l'empêcher de se sacrifier pour moi. J'escalade une sorte de grande machine mais trop tard.
De toute façon c'est la fin du film.
C'était Spiderman 2. J'ai trouvé ça bien mieux que le Spiderman avec Kirsten Dunst, le personnage de la petite amie était un peu plus volontaire et moins niais.

.....

Suis dans un labo de génétique. Des scientifiques présentent leur projet. Un des responsables considère que les applications de leurs expériences n'auront aucun effet nuisible au niveau bioéthique, mais un autre chercheur ne partage pas du tout son avis, et demande à ce qu'un contrôle soit mis en place afin de prévenir tout dérapage. Les deux commencent à se disputer jusqu'à ce que Obama intervienne en déclarant qu'il faudra instaurer une commission de contrôle éthique.
Puis les scientifiques nous montrent l'un des premiers résultats de leurs expériences. Dans une cage en verre on voit une souris avec une aile de chauve-souris qui a poussé sur le côté. Les chercheurs ont mélangé les gènes des deux animaux. La souris semble plutôt agitée. Les chercheurs nous disent qu'elle a aussi hérité de l'instinct prédateur des chauve-souris.

Je crois que la souris mutante s'échappe, on la cherche un peu, et sous un linge, je trouve une femme miniature. Elle fait environ 10 cm de haut. C'est une autre expérience probablement. Moi même je suis réincarné en femme pour le coup. La mini-femme me dit que j'ai une fuite: en effet j'ai mes règles. Elle sait ce genre de truc parce qu'elle a un odorat très développé. Il faut que j'aille me changer. Ça emballe la mini-femme qui voulait faire du shopping pour s'acheter de nouveaux sous-vêtements. Je sors donc et passe dans un centre commercial. Mais pas le temps de faire des courses; je suis parti avec le résultat d'une expérience hautement confidentielle, donc les scientifiques me font pourchasser immédiatement!
Je dois trouver une planque, me réfugie dans des toilettes crades. Un garde entre dans les toilettes et regarde par dessus la porte des cabinets pour voir si je suis la personne que l'on recherche. Je baisse la tête et fait mine de pisser pour ne pas être reconnu. Le mec regarde à plusieurs reprises, et me crache dessus à un moment, mais ne m'identifie pas comme le voleur, et me laisse finalement tranquille.

Rêves du 29 novembre 08 (1)

Je suis dans un bistrot. J'attends quelqu'un. Je suis censé faire des exos de maths. Il y a deux mecs à une table voisine. Me demande s'ils sont en couple, mais quoiqu'il en soit ça m'énerve de les voir ensemble, donc je leur tourne le dos pour ne plus les voir.
Au bout d'un moment ils s'en vont.
Et un peu plus tard, la personne que j'attendais arrive. C'est mon oncle, même s'il ne lui ressemble pas du tout, puisque c'est un mec en fin de vingtaine qui est face à moi. Il est là pour m'aider avec les maths car j'ai un peu de mal. Je le remercie etc, et lui me répond qu'il avait promis de m'aider de toute manière.
On esssaie de résoudre les premiers exercices, puis nous quittons le bistrot. Je suis dans sa voiture, il ressemble désormais à mon oncle réel. Il reçoit alors un coup de fil de ma tante, qui veut savoir quand est ce qu'il rentrera. Mon oncle lui répond de ne pas l'attendre, et de dîner sans lui. Ma tante semble irritée au téléphone et je suis désolé de causer des soucis.
On roule dans le XVIème je crois bien.
Puis nous marchons, le long d'une petite muraille. Je fais des reproches à mon oncle, lui disant qu'il avait pourtant promis de m'aider. Il traîne essouflé derrière moi, car désormais il a l'apparence d'un papy rabougri.
On arrive dans un immeuble, pour visiter un appartement. Le quartier n'est pas idéal, mais l'appartement est sublime: il s'agit sûrement d'un ancien atelier qui a été réaménagé. Il possède un plafond très haut, composé d'une grande verrière. Il y a des poutrelles en métal qui soutiennent la structure, et du lierre s'enroule autour, donnant au lieu un côté mi-industriel, mi-naturel, et vraiment charmant. C'est un deux pièces. Il est composé d'un très grand séjour, dans lequel on trouve une cuisine américaine, et d'une vaste chambre, avec une salle de bain complète dans une troisième pièce. Orienté Sud-Est.
Le seul soucis, c'est le quartier qui ne me plait pas vraiment. Et je suis visiblement très loin de la station de métro la plus proche. Je me dis que ce n'est peut être pas si grave, il me suffit d'avoir un scooter, de toute façon j'en voulais un depuis un bail.
La méthode pour obtenir l'appart est assez originale: ce n'est pas le meilleur dossier qui l'emporte, mais le premier qui signe. Comme il y avait beaucoup de monde pour le voir, je me suis précipité en avant et suis entré dedans avant tout le monde avec mon oncle lorsque les deux agents immobiliers ont ouvert ses portes.
Je pose quelques questions. Le loyer mensuel "700 et quelques"; la superficie "800" (je me dis que c'est bien trop petit pour 800m², et que la personne a dû confondre avec 80m², ce qui est déjà inespéré vu le loyer.
Je n'hésite pas trop longtemps, je signe avant tout le monde. Et hop, j'ai enfin mon appart!

...

Suis spectateur au départ. Je vois sur une sorte de vaste lac bordé de collines qui se jettent dans l'eau, deux embarcations. Un voilier élégant, et une sorte de petit rafiot plus modeste. Il y a des gens sur chacun d'eux. Deux filles sur le voilier, deux garçons et une fille sur le rafiot. Les deux groupes sont en vacances visiblement. Ils se connaissent aussi semblerait il.
Le rafiot se rapproche du voilier. La fille du rafiot, une blonde, discute avec une autre du voilier, brune. Je regarde ce qui se passe sur le voilier, quand on entend un grand bruit: quelque chose a percuté le rafiot: un météore! Le météore a percé le pont visiblement et un des mecs est tombé dans le trou. La fille et l'autre type l'aident à se relever, il n'y a rien de cassé, mais tout le monde est sous le choc. Surtout que la situation empire rapidement: le météore n'a pas que fracassé le pont, il a aussi percé la coque du bateau, qui commence à prendre l'eau...
Rewind => Je revis exactement la même scène, mais cette fois ci, dans la peau de la fille du rafiot, donc le point de vue change. Et change aussi le fait que je sais ce qu'il va se passer. Le météore tombe, l'eau monte... On commence à écoper pour essayer de gagner du temps.
La fille brune sur le voilier semble aussi ébranlée. Elle me dit que je compte trop sur les autres, ces deux types en l'occurrence, que je ne suis pas assez indépendante, et que je fais vraiment cliché de la Californienne blonde.
J'en viens à me questionner sur les probabilités qu'un météore tombe pile poil sur un bateau, quand soudain l'explication m'apparaît: c'est sûrement un moyen pour célébrer l'élection de Obama. Je regarde le ciel, et vois qu'il y a d'autres micro particules qui entrent dans l'atmosphère, on dirait une pluie de petits cailloux enflammés. Ce doit être un genre de pyrotechnie.

Suis téléporté soudain à New York, un endroit qui est censé être et qui ressemble vaguement à Time Square. Les gens sont amassés pour attendre les résultats de l'élection.
Soudain de grands feux d'artifice partent dans le ciel, et la foule se met à hurler de joie: c'est officiel, Obama est le prochain président américain! Moi aussi je crie, emporté par l'émotion de la foule.

Puis les gens retournent à leurs occupations. Il y a plein de gens travaillant dans la finance dans le coin. Ils sont tous habillés en costard. Je détonne un peu, puisque je suis vêtu de mes habits normaux. Je croise un mec de la Villette. Il a trouvé du job aux Etats-Unis. Il est également vêtu d'un costard, quoique assez moche. Il me dit que c'est la règle ici, qu'il faut venir bosser comme ça. Je me dis que j'ai en partie choisi cette branche pour ne pas avoir à subir ce genre d'obligation vestimentaire.
Tout le monde semble occupé, à faire des devoirs ou autre. Je me sens un peu à l'écart vu que je flâne, et me dis que je pourrai en profiter pour faire mon devoir de structure. Je cherche une table où bosser, puisqu'on est dans une sorte de grande bibliothèque en plein air. Les étudiants sont tous en uniforme aussi. Je me mets à la table d'une fille blonde que je connais, mais une sorte de surveillante se pointe et me dis que je ne suis pas au bon endroit, et me met à une table avec des étudiants sans uniforme. Finalement ça me soulage plus qu'autre chose, je ne suis pas le seul à avoir gardé des habits de tous les jours.

mardi 25 novembre 2008

Rêves du 25 novembre 08

Je suis dans un décor champêtre. Axelle est avec moi. Nous marchons le long d'une route qui parcourt des collines, quand nous décidons d'explorer un peu les sous-bois avoisinants. En me penchant je trouve dans l'herbe des espèces de petits bouts d'écorce brunâtre. Ils n'ont vraiment rien d'appétissants et pourtant j'en avale quelques uns puis nous continuons notre balade, jusqu'à ce que je réalise que le décor a changé.

On se croirait désormais dans un dessin animé, tant les formes et les couleurs du paysage sont simplifiées; les collines sont désormais de grosses bosses, au sommet desquelles poussent quelques arbres qu'on pourrait croire dessinés par un gosse de 7 ans....

Je mets peu de temps à comprendre la raison de ce changement: les écorces que j'ai mangé étaient en fait des champis hallucinogènes! Je suis ravi d'en faire l'expérience en pleine nature, et de partager ça avec Axelle qui plus est. Je vais du coup lui demander comment elle vit la chose. Visiblement pas aussi bien que moi; les champis la rendent malade et elle n'aime pas du tout ce genre de trip. Suis un peu déçu par sa réaction, mais pas vraiment étonné.
.....


Je suis dans l'espace, à bord d'une plate-forme spatiale. Nous sommes en orbite de la Terre. Mais celle ci ressemble plutôt à la représentation qu'on aurait de la Terre dans un jeu vidéo. D'ailleurs je trouve que les images sont plutôt mal faites; l'atmosphère est brouillon, on ne distingue pas les continents, ni les océans à vrai dire: en fait on dirait une sorte de sphère dans des tons beiges.

Je suis sur la passerelle de la plate-forme et me bat contre quelqu'un, possiblement Dark Vador. Un vaisseau est éjecté de la station; en fait on dirait une tête de Vador géante. La tête-vaisseau est attirée de plus en plus par la gravité terrestre et j'assiste à sa désintégration lorsqu'elle pénètre dans l'atmosphère de la Terre. Sauf que la désintégration a lieu au ralenti, et que l'explosion est démesurée par rapport à la taille de la planète, ce qui me fait penser à la qualité pourrie du soft dans lequel je me trouve.

Mais je n'ai pas le temps de penser trop longtemps à tout ça, car il va me falloir moi aussi me rendre sur Terre. Je dois descendre récupérer quelque chose dans le cratère d'un volcan. J'emprunte une navette spatiale et me retrouve dans le cratère du volcan, entouré par de la lave en fusion. Il fait extrêmement chaud, ce qui risque d'endommager la navette et de perturber ma mission. Finalement je parviens à me poser sur un petit rocher qui émerge au milieu du magma, et je tente de récupérer un liquide noir et visqueux qui coule de la roche. Il faut faire vite, car la chaleur est également nocive pour les instruments permettant de récupérer le liquide visiblement.

Finalement c'est chose faite, et je retourne fissa sur la station. Là j'entre dans un laboratoire: il faut faire analyser de toute urgence le liquide!

...

Je suis sur une sorte de grand bateau, qui ressemble vaguement à un bateau pirate du XVIIIème, mais en gigantesque. Ce n'est visiblement pas qu'un bateau, mais une sorte de ville pour rescapés dans un monde post-apocalyptique. Le bateau est même divisé en plusieurs villes distinctes, puisque j'apprends que les passagers fortunés du pont supérieur ont décidé de créer la leur, et de la nommer Charlotte.

Je suis à la recherche de quelque chose (j'ai oublié la nature exacte du quelque chose) mais je ne suis pas le seul; des nains déguisés en marins et à l'air mauvais recherchent également ce que je convoite. Je suis donc pris d'une sorte de frénésie et cours partout afin de trouver avant eux.

Je finis par descendre dans les tréfonds de la ville (la cale). Tout y est sale et sombre, et dans une pièce je découvre ce que je cherchais: une sorte de forme bleutée palpitante qui évoque vaguement un atome stylisé: c'est Génome Pur. Tout le monde désire l'obtenir car c'est un monde peuplé de créatures hybrides. On a assemblés des parties différentes pour créer les individus. Un professeur me montre un schéma explicatif qui représente une coupe du cerveau humain; il me désigne ensuite des parties du cerveau où résident des pulsions antagonistes "Ici c'est la haine, là l'amour... Par là on a le courage et ici la peur..." Le Génome Pur permet de séparer toutes ces parties et de ne recoller ensemble que celles qui sont identiques, afin d'obtenir des individus purifiés.

Pas le temps de m'appesantir sur la théorie, des hybrides me pourchassent (des Hommes-Cafards en l'occurrence!). Je crois que je parviens à m'échapper.

....

Je songe à me faire bâtir une sorte de pavillon oriental. Je suis avec un vieil architecte qui ne supporte pas le soleil. C'est étonnant car il a la peau toute tannée. Il m'attire à l'ombre, dans une sorte de lit protégé de la lumière par des voiles de mousseline vert clair. J'ai un peu peur qu'il ne veuille coucher avec moi, d'autant plus qu'il ne m'attire pas du tout. Mais on dirait que non. On parle un peu de mon projet, et finalement je trouve que ce n'est pas assez bien, et que tant qu'à faire, autant faire bâtir un palais. J'ai en tête quelque chose assez proche du Taj Mahal, mais en plus haut et en doré.

jeudi 20 novembre 2008

Rêve du 19 novembre

Court rêve fait pendant la journée.

Je suis chez moi dans ma chambre. De ma fenêtre je vois un voisin qui passe dans la cour, et que j'aperçois de temps en temps quand il prend l'escalier de service.
Là je me permets de lui faire un grand sourire.
Il emprunte l'escalier mais s'arrête au premier palier et à travers la baie vitrée de l'escalier de service qui donne sur la cour, il me rend mon sourire.
Je suis content, j'y aperçois un signe, du coup je m'approche de la fenêtre, en boxer.
Il comprend le message et commence à se dessaper de l'autre côté et s'approche également. Sauf qu'il glisse et se casse la gueule dans la cour de l'immeuble.
Je contemple, figé par la surprise, son corps inerte sur le sol en béton, sa tête baignant dans une flaque de sang, en me demandant ce que je suis censé faire...

Et me réveille!

mardi 18 novembre 2008

Rêve du 16 au 17 novembre 08

Je suis dans une sorte d'hôtel qui ressemble un peu au lotissement où vit Dexter dans la série éponyme.
Il s'agit en réalité de logements pour étudiants. Il y a quelques personnes de la Villette dans une chambre voisine de la mienne, dont Chloé et Pauline. Elles veulent détruire la cloison qui sépare leur chambre du couloir, afin que les gens puissent venir chez elles n'importe quand et organiser ainsi de grosses soirées. L'idée ne me convainc pas du tout et je me dis que j'ai bien trop besoin d'intimité pour songer à faire une chose pareille.
J'ai un peu la bougeotte et je bouge pas mal de fois, histoire de découvrir les alentours de mon nouveau logement. La porte-fenêtre donne sur un grand jardin d'un côté, très ensoleillé et vert. De l'autre en revanche, du côté de la porte, on se retrouve dans la structure de l'immeuble, qui est plongée dans une obscurité bleutée. Je fais un tour et croise dans un couloir une sorte de mendiant aviné qui s'approche de moi en essayant de me dire quelque chose d'un ton agressif, ce qui me pousse à me réfugier dans mon nouvel appartement. Pourtant je ne l'aime pas trop, et ne m'y sens pas vraiment à l'aise: il est lui aussi très sombre mais également très sale et en désordre. En outre il semble un peu délabré; je vérifie même que la porte ferme correctement.

Il fait de plus en plus chaud. C'est normal, on est à moitié dans l'univers de Dexter, donc à Miami en Floride. Par la fenêtre j'aperçois le jardin. Le ciel est devenu rouge orangé. Le jardin aussi a changé: c'est une jungle désormais, et je m'y retrouve plongé!
Un plongeon quasi-littéral, puisque je me retrouve à patauger dans l'eau croupie d'un marais.
Je repère un crocodile dans un coin. Évidemment je suis pétrifié.
Le crocodile s'avère être une sorte de moyen de transport assez étrange finalement. Je grimpe sur son dos, tandis qu'une fille voyage dans son immense gueule (il doit faire au moins 7 ou 8 mètres de long).
Le crocodile va de plus en plus vite, je dois me cramponner, tandis que la fille continue à prendre des poses de plus en plus étranges entre les crocs du reptile..
Finalement il décolle et on se retrouve à voyager à toute vitesse dans les airs, à travers des espèces de grands tuyaux composés de bois et de piquants, comme si des ronces géantes avaient poussées et s'étaient mêlées pour former des espèces de couloirs.
Du coup il faut être assez prudent pour éviter les piquants.

Je finis par atterrir dans une sorte de fête foraine et réalise alors que j'étais juste dans une de ces machines qui bougent sur elles mêmes avec un écran pour donner la sensation du mouvement.
Sur les murs d'une des attractions, il y a des peintures d'enfants qui changent. Il s'agit d'une pub pour MacDo en fait. Une façon de représenter qu'il y a toutes sortes de gens différents qui viennent bouffer chez eux je présume. En tout cas ces images me mettent mal à l'aise.

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Je suis chez moi dans ma chambre, et je me dispute avec ma mère. Elle veut en effet couper une partie de mon lit afin de le transformer en canapé et le transporter ailleurs. Je suis résolument contre. Elle en déduit que c'est parce que je souhaite m'installer dans l'appartement ad vitam aeternam. Et que je la déçois et patati et patata. Personnellement, c'est l'idée de voir le lit tranché en deux qui me met en colère.

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Suis à nouveau dans l'univers de Dexter. Je suis dans une voiture de police, je suis plus ou moins la soeur de Dexter, Debra. Mais je suis également spectateur. Elle se fait attaquer dans sa voiture par un tueur en série. Mais elle est plus rapide que lui et lui injecte une seringue de tranquillisant pour l'arrêter. Le tranquillisant ne fait pas effet très longtemps ceci dit et je la vois en train de frapper violemment le corps de l'homme avec la seringue pour lui injecter plus de calmant. Le calmant en question a une consistance gluante et est blanchâtre...

Le tueur parvient finalement à s'échapper dans un parking sombre. Je me cache plus ou moins pour ne pas me faire repérer. Le tueur me tombe dessus et mutile une poupée barbie en lui arrachant la main gauche.

Je me retrouve avec mon père, et j'essaie de raconter l'histoire fictive de la poupée barbie.
En fait c'est une fille qui a fait Science Po, mais ça ne lui a pas trop réussi, elle n'était pas heureuse dans son travail, elle a voulu changer de vie. Je compte sur mon père pour qu'il me donne des détails à propos de Science Po afin que mon récit soit plus crédible.

Rêve du 29 au 30 octobre 2008

Je suis en train de me disputer à propos de la conception de plans avec des gens que je n'identifie pas clairement. Je ne trouve pas efficace notre manière de travailler car nous sommes envahis par des guêpes.

Je suis dans le métro. Une jeune fille accompagné d'un homme attire mon attention car elle porte une écharpe qui semble m'appartenir. Elle discute avec l'homme d'une ville construite par un grand architecte. Du moins c'est ce que j'imagine au début.
En réalité, elle ne parlait pas d'une ville, mais d'un parc pour enfants; je m'y retrouve aussitôt projeté: les balançoires ont la forme de compas, les nacelles sont de gros dodécaèdres jaunes coupés en deux et le sol est jonché de feuilles mortes artificielles (une idée de l'architecte) ce qui semble dégoûter la jeune femme qui trouve l'endroit malsain.
J'aperçois Cléo et ma tante, mais elles semblent occupées, ce qui me décide à faire des croquis des balançoires, histoire de trouver de l'inspiration pour mon tabouret.
Ma tante se rapproche de moi avec Cléo afin de me dire bonjour.
Une guêpe surgit alors d'un trou dans le sol, ce qui me fait peur.

jeudi 16 octobre 2008

Rêve du 16 octobre

Je me prépare à intégrer une nouvelle école. Je m'y rends avec Axelle. Nous sommes en retard, je me dis que ce n'est peut être pas la meilleure façon de se présenter le premier jour.
En passant dans une salle sombre, nous voyons un enfant ou jeune ado qui tente de parler à quelqu'un derrière une baie vitrée, un peu comme dans un parloir de prison. Axelle me signale que c'est interdit de faire cela.
Nous rattrapons les autres. Il y a une sorte de soirée, enfin pas vraiment une soirée, mais plein d'élèves réunis en tout cas.
Axelle est obsédée par l'idée de dénoncer le jeune élève de tout à l'heure, ce qui m'étonne un peu, mais je la laisse faire. Je lui fais tout de même remarquer que ça fait plusieurs heures qu'on a croisé ce type et que le dénoncer maintenant n'aura peut être plus grand intérêt. Elle finit par trouver une sorte de responsable et lui parle de l'élève indiscipliné, mais le responsable se moque d'elle en retour.
Plus tard Axelle revient pour dire qu'un élève est sur le point de se suicider. Le responsable, accompagné d'un de ses collègues, se moque une fois de plus d'elle, et décrète qu'elle doit même être un peu givrée. J'avoue que les nouvelles que rapportent Axelle sont un peu étranges, mais je n'aime pas que l'on se moque de ma soeur aussi ouvertement, et je suis démangé par l'idée de l'étrangler avec son écharpe.

Plus tard, les gens sont allongés et écoutent de la musique. Théo et Pol-Alain sont présents. On essaie de deviner quel morceau est en train de passer.

Puis je me retrouve à faire des collages avec des photos de la soirée dans mon carnet de croquis.
Je réalise par la suite que c'est une sorte de travail à rendre. D'autres personnes ont comme réalisé la maquette de la Une d'un magazine fictif. Je prends conscience de ne pas avoir compris parfaitement les consignes de l'exercice, puisque je n'ai pratiquement ajouté aucun texte pour commenter mes photos.
Sur une photo je vois Elisa. Sur la même je vois Charlotte. Elle devait être présente le premier jour, lorsque j'ai pris la photo, car elle n'est plus dans l'école.

jeudi 25 septembre 2008

Rêves du 24 au 25 septembre (dont partie lucide!)

Je suis dans une sorte d'hôtel, il y a plusieurs mecs dans ma chambre mais ce sont visiblement des potes plutôt. A un moment je sors sur le balcon et passe dans la chambre à côté de la mienne. C'est celle de la mère, qui est en vacance avec son compagnon. Je suis à poil, et ça a l'air de ne pas trop m'embarrasser d'être nu devant ma mère, mais en revanche la présence de Pascal me gêne. Je lui dis de nous laisser en famille. Il y a un petit échange de paroles et il concède à nous laisser discuter ma mère et moi. Je ne sais plus exactement ce que je lui dis, elle me répond à un moment que je ne peux pas venir interrompre ses vacances comme ça.

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Je suis dans un magasin. Je cherche un cadeau d'anniversaire pour Axelle en compagnie de ma mère. Je vois plusieurs tenues, des petites blouses grises ou noires. Ma mère les essaie, mais la vendeuse, qui a l'air de nous connaître Axelle et moi, me dit que la taille ne correspondra pas à la taille de ma soeur. Je finis par me ranger à son avis, mais comme je suis frustré de ne rien pouvoir lui acheter, je cherche quelque chose à acheter pour mon propre compte et finis par trouver un casque de scoot rayé en blanc et noir. Je l'essaie, il me va, hop emballé et payé.

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Je suis avec William T. Il a grandi depuis le collège. On sort de la Villette, on se dirige vers le métro. Je lui dis que je suis capable de m'envoler quand je le désire. Et hop je le prouve en m'envolant dans les airs. Quand j'atterris pourtant, William ne semble pas avoir remarqué quoique ce soit. Je retente de lui montrer mon aptitude au vol, peine perdue, il ne voit rien. Je finis par me dire que lorsque l'on vole, on devient invisible aux yeux des autres, et que c'est pour cela que tout le monde s'imagine qu'il est impossible de voler, alors qu'en fait tout le monde en est capable. Je lui dis qu'il suffit de le vouloir pour le faire.
On prend une sorte de couloir roulant (un peu comme ceux de Châtelet ou Montparnasse). Là des vendeuses de bijoux nous interpellent. Elles semblent me connaître mais ne me rappellent rien. Elles parlent des tendances actuelles, du fait que l'on mise plus sur l'élégance que sur ce qui est gros ou voyant de nos jours. Ça ne me passionne pas vraiment, donc je passe mon chemin.

Je me retrouve sur le lieu de travail de William. Une sorte d'hôtel bizarre, avec les murs et sols tapissés d'une épaisse moquette rosâtre. Il fait des massages. A des hommes. Suis assez étonné d'apprendre ça. Me retrouve nu une fois de plus, à déambuler dans les couloirs. Il y a comme de petites alcôves, dissimulées par un très fin voile, où des hommes sont dans des bassines d'eau chaude et se font masser par des minets. Je cherche mes vêtements. Un homme de la sécurité, qui semble veiller un peu sur William, les a lavé pour moi. En fait je retrouve des vêtements perdus dans la réalité. Peu importe je peux enfin me rhabiller.

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Suis chez moi, j'écoute une musique, assez forte. Suis censé être dans le 16ème, mais en même temps c'est comme si j'étais au 6ème étage de l'immeuble, comme quand j'habitais le 9ème. D'ailleurs les murs qui donnent sur la rue ont disparu. Je danse dans ma chambre au rythme de la musique en espérant que je ne fasse pas trop de bruit et que mon père ne soit pas dérangé.
En face ils s'amusent aussi. Un type a organisé une soirée. Les deux endroits se télescopent. Un mec mignon, brun aux yeux bleus, vient me parler comme si on se connaissait. Il ne me dit rien du tout, mais il est tellement mignon que je fais mine de savoir d'où il sort. Mais il est tellement confiant qu'au bout d'un moment je confesse avoir oublié qui il est. Il me dit que l'on a fait des photos ensemble, il vient me les montrer. C'est Steven (un type rencontré il y a un an) en fait. Bien plus beau désormais qu'à l'époque. J'en viens presque à regretter de ne plus trop le fréquenter. Il me dit vivre à proximité de chez moi désormais. Je lui réponds que je m'apprête à déménager.

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Suis dans un métro avec des gens de la Villette, dont Sophie et Li Wa (je crois?). Tout se passe au mieux on rigole etc. Puis Sophie flirte légèrement avec un type. Jusque là aucun soucis, enfin de mon côté. Visiblement ça ne plaît pas trop à Li Wa, qui l'a embrassé 5 minutes auparavant. Gros clash. Je me dis que cette ambiance détendue ne pouvait pas durer de toute manière. On sort du métro. Je ne sais plus trop ce que je dis, mais je cours en avant des autres et je dis (ou répète), que je peux m'envoler quand je le souhaite. Sophie est dubitative. Je lui prouve que j'ai raison en courant et battant des mains et hop je redécolle. J'ai un peu de mal à rester en l'air en revanche. Je dois refaire une tentative et m'envole pour de bon.
J'arrive dans une sorte de petit bâtiment étrange. Très ornementé. C'est un escalier. Il me fait un peu penser à l'escalier du château de Blois que je me suis escrimé à dessiner hier. Un petit tigre blanc apparaît. Je me dis que c'est un mauvais présage, mais je continue à descendre les marches. Effectivement d'autres animaux apparaissent, de plus en plus gros et menaçants. Un éléphant essaie de me foncer dessus.
Là je dis stop: je suis en train de rêver. J'avance la main et uniquement en y pensant, j'envoie balader l'éléphant à 3km. D'autres trucs qui souhaitaient me dévorer subissent le même sort. Suis content de faire un rêve lucide. J'en profite pour contempler un peu le paysage. Par les fenêtres de l'escalier, je vois comme trois autres îles, et suis situé sur une quatrième. Je me dis que ce sont les rêves dont je me suis échappé. Il y a des nuages noirs et inquiétants au dessus des îles. Au dessus de l'une d'elles, les nuages forment même comme des visages de sorcières ayant des crocs à la place des dents... Je me dis que tout ça est très joli et qu'il est dommage que je ne puisse pas en faire une photo. Je me dis également que ça pourrait illustrer de façon assez complète à quel point mon esprit est taré.
Je pense à prendre des notes de tout ceci. Mais en même temps je n'ai pas envie de me réveiller pour prendre des notes.
Il y a encore un monstre qui tente de me faire du mal. Je me dis qu'il est temps de travailler mes pouvoirs de "lucidité" dans les rêves. Au lieu de l'envoyer dans les airs, je le fige et commence à le modifier physiquement. Je finis par lui donner l'apparence de Jar Jar Bing (le personnage chiant de l'épisode I de Star Wars), parce que je n'aime pas le personnage et qu'il est tout sauf effrayant, donc je trouve ça plutôt ironique pour un ex-monstre de rêve.

J'ai l'impression au final que je rêve les yeux ouverts. Si je ferme les yeux, ma lucidité pourrait en morfler et tout ce que je vois disparaître. Je me laisse pourtant tenter, je ferme les yeux. Tout devient noir.

mardi 16 septembre 2008

Rêve du 15 au 16 septembre

Je me fait réveiller dans mon lit par un patient de ma mère. Celle ci ne répond pas au téléphone et cherche un moyen de la joindre visiblement. J'ai beau dire que je ne sais rien, il ne me lâche pas, et ne veut pas me laisser me rendormir tranquillement. Je lui donne le numéro du secrétariat mais ça ne semble pas lui suffire.
Je décide donc de me lever, afin de chercher ma mère. Elle est en train d'examiner une patiente dans une autre pièce de l'appartement. Cela semble durer longtemps... trop longtemps, j'ai envie d'aller me recoucher. Je finis par sortir ma mère de là plutôt brusquement et lui dire de s'occuper de son patient intrusif.
Le patient en question est dans la salle à manger désormais. Ma mère arrive. Ma soeur est là aussi. Le patient fait une plaisanterie à propos du fait que les liens dans notre famille doivent être assez forts, ce à quoi je réponds qu'il n'en est rien puisque ma soeur est à Lyon et que ma mère et moi ne vivons pas vraiment ensemble. Face à la familiarité de ton que j'emploie avec ce type, ma mère me demande si nous nous connaissons, ce que je démens. Je lui dis que je connais juste ce "type" de personne: le genre à venir s'introduire chez vous de façon insidieuse et à vous réveiller.
Ça fait rire le mec.

Rêve du 14 au 15 septembre

Rentrée scolaire une fois encore, à Janson pour ne pas changer. Cette fois ci je suis avec Mme Stositch, une ancienne prof d'Histoire Géo du collège, en guise de professeur principale. C'est le premier cours de la matinée et il y a encore peu d'élèves dans la salle. Je vais m'installer au dernier rang. Les matières que nous allons étudier cette année sont inscrites au tableau. Je suis déçu, il n'y a là que des matières déjà étudiées au collège/lycée..
Je suis interrompu dans mes pensées par la prof qui me demande de venir m'installer au premier rang. Je proteste; personne ne s'est mis au premier rang pour le moment, pourquoi devrais je le faire? La prof avoue que je n'ai pas tort et demande aussitôt au reste de la classe de s'avancer, mais insiste toujours pour que je vienne au premier rang, ce que je refuse toujours de faire. Face à ma résistance, elle me menace de m'exclure de cours. Au vu des matières peu intéressantes que l'on a à étudier, je me dis que ça ne sera pas une grande perte finalement, et me lève, lui tend mon carnet de correspondance, avant de sortir de sortir de salle.
Je vagabonde un peu dans Janson avant de tomber sur une boutique de déguisements pour enfants. On y trouve aussi des perruques. Quand je les vois, je me dis que ça doit être pratique afin de changer de coiffure à volonté selon l'humeur du jour.

....

Retour en classe, la prof a changé. Elle nous donne un exercice à faire. Il s'agit de recopier plusieurs fois la même phrase, concernant la chiffre six. Je m'y applique, puisque j'utilise des stylos de couleurs différentes en fonction des mots.
Puis nous sommes interrompus par un prof qui occupe la salle voisine. Il dit qu'il n'y a pas assez de monde dans sa classe, donc il vient récupérer quelques élèves. Au début j'en suis assez content, car je vois partir la plupart des gens que je n'aime pas. Mais je réalise que je fais partie des gens qui sont censés changer de classe, et vais donc me retrouver exclusivement avec des gens que je déteste.
Une fois encore, mes pensées sont interrompues; le prof ne veut pas se contenter de prendre quelques élèves, il veut carrément remplacer notre prof actuelle. Il lui dit qu'elle est stérile, et que par conséquent, elle ne peut pas nous enseigner quoique ce soit correctement. Je trouve l'argument assez bidon, et plus humiliant qu'autre chose pour notre prof à vrai dire.
Je songe à aller me plaindre auprès de la direction du collège au vu du comportement abusif de ce professeur.

vendredi 12 septembre 2008

Rêve d'août 19

Je suis dans l'appartement de ma mère où je loge actuellement. Je consens à le prêter à des jeunes qui cherchent un endroit où loger, parce qu'il est assez vaste. Il y a un mec brun et barbu pas trop moche. Je lui propose de dormir avec moi, puisqu'il n'y a plus vraiment de place nulle part. Mais il décline ma proposition en déclarant qu'il n'est pas trop dans le "trip homo".
Puis il s'éloigne et va rejoindre deux de ses potes qui sont déjà installés dans un lit. L'un d'eux se lève et me regarde avec un sourire navré aux lèvres avant de m'embrasser furtivement, comme en guise de consolation. Puis visiblement le mec pas "trip homo" se révèle plus homo qu'il ne le prétendait, puisqu'il entame avec ses potes un plan à trois dans le lit, devant mon regard un peu perdu...

Je reviens dans l'appart une semaine plus tard. Mais entre temps, ma chambre a été repeinte. Elle est à moitié verte, à moitié rouge. Les deux dans des tons plutôt criards et vifs. Mes meubles semblent même avoir disparus, mais je réalise que cette illusion est dû au fait qu'ils ont été recouvert de peinture eux aussi.
On a entamé de repeindre le reste de l'appart en blanc visiblement. Mais ça n'est qu'entamé, donc il n'y a eu qu'une seule couche de peinture de passée, et on voit la couleur jaune en dessous encore. Je suis à moitié catastrophé, car si d'un côté il me semblait nécessaire de redonner un coup de jeune à cet appartement, de l'autre, je sens que ma mère va être furieuse de retrouver son "instrument de travail" dans cet état.
Axelle est avec moi. Je ne cesse de répéter, en errant dans l'appartement à la recherche d'autres changements, "On est dans la merde... On est dans la merde..." Ma soeur au contraire semble trouver la situation plutôt cocasse, puisqu'elle est morte de rire.
Je découvre la cuisine dans un sale état: elle est remplie de bouteilles de bières vides et de packs en carton qui traînent sur le sol, ce qui me rend furieux, parce que l'on a clairement abusé de ma gentillesse.
Une fille un peu maigre et aux cheveux longs se pointe, comme si de rien n'était. Je suis tellement enragé que je lui saute à la gorge pour l'étrangler d'une main en lui demandant qui est le responsable de tout ce merdier. Elle est trop effrayée pour me répondre de façon cohérente.
Une seconde fille débarque, plus petite et blonde, et me dévisage comme un intru avant de me demander qui je suis. Je lui répond d'une voix ferme que je suis "le propriétaire".

Rêve d'août 18

Encore la rentrée en archi, mais cette fois-ci, c'est le premier cours, un vrai. J'ai ma carte de la mutuelle de la Smerep sur moi. Dans l'ascenceur qui nous emmène vers notre salle de cours, je croise d'autres élèves, dont une fille que je crois reconnaître. Mais elle semble ne m'avoir jamais rencontré donc je présume que j'ai dû la confondre avec quelqu'un d'autre.
Je remarque que tous les élèves ont des cartons à dessin sous le bras. Je demande à la fille s'il fallait en amener un avec soi, et elle me répond que oui. La rentrée commence mal, car à part ma carte de la smerep, je n'ai rien pris d'autre.
Je lui dis que j'étais absent le premier jour, et que c'est pour ça que je ne suis pas tout à fait au courant de ce qu'il fallait amener.

Rêve d'août 17

C'est la rentrée pour ma première année d'archi. Je suis en retard car je me suis réveillé à midi.
J'arrive dans la cour de l'école, qui ressemble en fait fortement à la cour de Janson, mon collège. Autre coïncidence, la zone où je suis censé retrouver ma classe est celle où les 6ème attendent leurs professeurs de la première heure à Janson.
Les gens sont répartis dans les classes en fonction de leurs noms. Il y a des panneaux à l'entrée des classes avec les gens qui sont dedans. Je trouve la mienne et pénètre dans la salle. La prof ressemble vaguement à mon ancienne prof de français de 3ème. Elle me dit que l'on m'attendait pour commencer, et je peux voir tous les élèves me regarder fixement, ce qui me gêne atrocement.

Rêve d'août 16

C'est la rentrée scolaire dans mon école primaire. Je rentre dans ma classe, et on nous donne nos emplois du temps. Mais il y a un soucis, celui qu'on vient de me donner est une feuille toute noire, je ne peux pas lire ce qui est dessus, ce qui me fait paniquer. Je croise mon ancienne prof d'allemand, Mme Brague, une fois de plus.

Puis sans transition, je plonge dans un autre monde. Je suis dans une sorte de jeu vidéo. Nous sommes dans des cavernes étranges, et des créatures ressemblant à des tyrannosaures rex miniatures en plastique essaient de nous attaquer. Il faut les éviter, afin de ne pas se faire blesser. Mais à chaque fois que la situation se corse et que l'on est sur le point de mourir, une fille brune et souriante se matérialise devant nos yeux, et nous sauve la mise avant de disparaître.
Je la soupçonne de nous avoir rétrécis afin de pouvoir nous observer tels des animaux de laboratoires et agir à sa guise.
Après une Nième rencontre quasi-mortelle avec les créatures, la fille qui apparaît à nouveau et me confirme mon hypothèse, puis nous rend notre taille normale.
En fait, nous avions tellement rapetissé, que nous étions perdus dans les rainures d'un tissu de velours recouvrant un canapé, et nous nous battions contre des acariens (devenus géants en comparaison).
Ma grand-mère surgit alors pour me confirmer que les acariens sont nombreux, et qu'il est très difficile de nettoyer les matelas.

Toutes ces émotions passées, je réalise que j'ai oublié d'acheter des fournitures scolaires pour la rentrée et que je suis dans le pétrin.

Rêve d'août 15

Je suis à la recherche d'une jeune fille. Elle a été enlevée pour être tuée et j'essaie de la sauver.
Les types qui l'ont enlevée sont en en train de grimper une échelle, avec la fille qui est ballottée le dos de l'un d'eux comme un sac à patates. Je sors un flingue et leur tire dessus. J'en atteins un qui tombe, mais l'autre tient bon et finalement, tente d'entraîner la fille dans sa chute. Une seconde balle a raison de lui.
Je me mets à grimper à l'échelle également afin de rattraper la fille, puis lui conseille de continuer de monter. Une fois en haut, nous parvenons dans une espèce d'appartement décoré de poufs soyeux, et de draperies légères, le tout évoquant un décor oriental. La pièce est remplie de ballerines, et il y a là leur maîtresse de ballet visiblement, une grosse femme, au maquillage trop accentué et portant une robe noire. Elle fait mine de nous aider pendant un petit moment, mais nous comprenons vite qu'en fait elle tente de stopper notre fuite; elle aussi a été payée pour participer à l'assassinat. Elle tente de se justifier en nous disant que le salaire d'une maîtresse de ballet étant ce qu'il est, elle ne peut pas refuser cet argent providentiel. Il y a un type qui m'accompagne depuis le début. Il me confie d'un ton las qu'il pense au grand-père de la fille, qui voulait juste que sa petite-fille passe de bonnes vacances... Le grand-père s'appelle Gioseppe (ou un truc comme ça). Je me dis qu'en y réfléchissant, c'est peut être lui qui est derrière cette tentative de meurtre.
De la fenêtre, nous voyons un grand bateau à moteur blanc arriver dans le port. Sur le pont supérieur, un homme s'exclame que "ça va être drôle de voir des morts en direct!"
Puis on assiste à un étrange spectacle. Il y a comme un défilé d'hommes qui s'avancent de manière saccadée, faisant des gestes peu naturels ou exagérés, jusqu'à une sorte de plongeoir, d'où ils se jettent. Parmi eux sont en maillot de bain, d'autres sont nus. Il y en a certains qui parmi leur gestuelle bizarre, s'écartent les fesses en s'aidant de leurs mains. Je me dis intérieurement qu'il faut être sacrément impudique pour s'écarter les fesses en public.

Rêve d'août 14

Je suis en vacances en Espagne. Je me balade dans une pinède, et trouve une fille agonisante sur mon chemin, au teint cadavérique, et dont les vêtements sont en lambeaux. Je me décide à la porter afin de la ramener vers la ville où elle pourra obtenir toute l'aide nécessaire. Un bus passe, et je me dis qu'il va m'être ainsi plus facile de transporter la fille qui est dans mes bras, mais le bus ne s'arrête pas, malgré mes cris. Je dois donc courir après, la fille toujours dans mes bras, et m'accrocher au bus afin de parvenir à me hisser à son bord.
Le bus ne va pas jusqu'en ville finalement, et nous devons donc faire le reste du chemin à pied. La fille semble avoir repris des forces, car elle marche à mes côtés.
Nous arrivons dans une sorte de station balnéaire, aux portes d'un hôtel où je semble résider le temps de mon séjour avec Béatrice. Je propose à la fille de prendre une chambre elle aussi, afin de se remettre de ses mésaventures, mais elle me rétorque que l'hôtel est trop cher pour elle et qu'elle ne peut pas se le permettre. Elle s'éloigne donc du hall de l'hôtel, dont l'entrée donne sur une sorte de grande place pavée qui est surplombée par un étrange bâtiment, composé de différentes strates recouvertes de mosaïques colorées, qui m'évoque un peu un jardin conçu par Gaudi à Barcelone. La fille semble lire dans mes pensées, puisqu'elle me dit qu'il ne s'agit pas d'un jardin, mais d'une cathédrale.

mercredi 10 septembre 2008

Rêve du 8 au 9 septembre

Je suis sur les Champs Elysées, je me dirige vers la place de la Concorde. Je me rends dans un bar et découvre que Mylène Farmer y est également. En tout cas elle ne semble pas particulièrement surprise ou gênée par ma présence, donc j'en profite pour aller lui poser quelques questions. Elle y répond avec politesse et je me dis intérieurement que c'est une bonne chose qu'elle ne soit pas hautaine, en dépit du fait qu'elle soit connue en France (uniquement en France).

Je la questionne notamment quant à la qualité et l'originalité de son nouvel album, et de son titre "Dégénération". Elle me dit que c'est en référence à son ancien titre, "Désenchantée". J'avais déjà compris ça, mais je lui demande s'expliquer un peu sur le sens de la chanson; pense-t-elle que sa génération était en proie à une crise de confiance, mais que cette confiance n'existe plus du tout pour la nouvelle génération qui est juste désabusée?
Et ne trouve-t-elle pas que tout ce style de musique commence à avoir un air de déjà-vu?
Elle n'a pas le temps de me répondre, ou du moins je n'ai pas le temps d'entendre sa réponse, que nous sommes rejoints par un homme, que j'identifie à Laurent Boutonnat, son associé. Contrairement à elle, il est plutôt narquois et limite méprisant à mon égard. Puis il incite vivement Farmer à partir de ce bar et de quitter ma table.

lundi 8 septembre 2008

Rêves du 7 au 8 septembre

Je suis sur une île perdue au plein milieu de la mer et recouverte de végétation type jungle. Il y a une sorte de petit village, auquel on accède par une sorte de pont formé par le tronc géant d'un arbre abattu. Il est question du fait que les Humains vivent protégés et insouciants, au beau milieu de la forêt, contrairement à d'autres créatures. Pourtant, ce propos est vite démenti, on voit des loups attaquer le village. Un jeune garçon notamment se fait mordre. Son grand frère part à sa rescousse pour le délivrer, y parvient, mais se fait ensuite lui même attaquer par les loups qui le dévorent. On comprend que le jeune garçon délivré aura pour but de venger la mort de son frère.
Finalement je me retrouve dans la peau du jeune garçon, qui a grandi depuis. Je marche dans la forêt.
J'ai oublié la suite.

.....

Je cherche un appartement à louer. Je finis par tomber sur une annonce sur un site internet. Le site montre une petite carte (genre mappy), avec la zone occupée par l'immeuble en vert.
Immédiatement, je suis plongé dans le quartier en question. Il s'agit d'immeubles assez hauts (pour des immeubles parisiens bien sûr, pas comparés à des buildings), en brique, mais on a sculpté la brique afin de faire paraître plein de motifs et de décorations sur la surface des immeubles. En fait ça ressemble à du haussmanien, mais intégralement en brique au lieu de la pierre de taille. Il fait assez sombre, c'est la nuit. Je m'avance un peu dans la rue, et finit par tomber devant une grille qui ferme l'entrée à une immense cour bordée d'immeubles de même genre. J'assimile ça à une "copropriété", et je ne peux pas y pénétrer. On dirait que le rez de chaussée d'un des immeubles fait office de restaurant-boîte de nuit. Des gens font la queue en rigolant pour y aller. Je me glisse parmi un des groupes et passe ainsi la grille.
Il y a une sorte de réception de l'autre côté. Une fête, pour un mariage peut être. J'aimerai bien voir ce que ça va donner, mais je n'y suis pas convié. Qu'importe, je fais le tour des tables, les invités ne sont pas encore arrivés.
Ma grand-mère est là. Derrière une sorte de gros pilier, je trouve un groupe de jeunes hommes, plus grands que moi. Ils sont en train de faire une sorte de jeu sexuel, en tout cas ils exhibent leurs pénis. Je rigole intérieurement, parce que ceux ci sont petits.
Finalement ma grand-mère me rattrape. La soirée vient de se terminer, et j'ai dû trop boire parce que je ne me rappelle pas de grand chose. Elle me dit qu'elle nous a acheté des places pour y assister, et qu'elles ont coûté chacune dans les 180€ ce que je trouve énorme.
C'était visiblement un dîner pour promouvoir l'ouverture d'une nouvelle boutique tenue par des Chinois. Ils sont dans la fourrure. J'essaie une sorte de gilet sans manche en vison, et pose des questions à ce propos à ce qui me semble être la gérante de la nouvelle boutique. Je n'aime pas la coupe de ce que je porte, ça me fait trop penser à un vêtement d'Axelle. Je préférerai avoir quelque chose avec des manches.

jeudi 4 septembre 2008

Rêves du 3 au 4 septembre

J'accompagne Axelle en voiture dans son école. Ma grand-mère est là aussi. Elle veut offrir un chapeau à Axelle, qui possède un ruban turquoise.
Finalement je rentre chez moi et commence à mater la télé. Ils diffusent Star Wars visiblement, bien que ce soit une scène que je n'ai jamais vu dans aucun film. Visiblement le Héros fuit les méchants sur une sorte de skateboard flottant (un peu version Retour vers le Futur). Achille apparaît à ce moment. Il commence à avoir un comportement plus ou moins séducteur. Je me laisse faire mais ça me gêne un peu car la fenêtre de ma chambre est en vis à vis avec celle de ma mère. Finalement il me chevauche et veut que je le prenne, ce qui me surprend un peu. J'accepte mais j'émets des gémissements sans trop m'en rendre compte qu'il qualifie de "féminins", ce qui me trouble.
Finalement on interrompt nos ébats. Il a une émission qu'il ne veut pas rater sur M6 Matin ou un truc comme ça. Je lui dis que je regardais la télé tout à l'heure et lui parle de la séquence Star Wars, dans laquelle je me retrouve plongé.
C'est une sorte de manège, il y a plein de ces skateboards flottants, et faut tenir à deux dessus, pendant que les engins tournent dans un manège. Benjamin est là je crois, Corto aussi peut être. C'est un peu difficile. Puis la donne change. Les skate-board rétrécissent: ce ne sont plus que des disques de la taille d'une assiette, blancs ou noirs. Au début je ne comprends pas bien comment tenir à deux sur un truc aussi petit, mais le concept m'est expliqué par le "maître de manège": faut tenir seul sur un disque d'une couleur, et réussir à bousculer ceux qui sont de l'autre couleur, un peu comme des auto-tamponneuses. Comme je pars à contre-sens des autres, personne ne peut me bousculer au départ. Puis un nouveau round commence, et j'essaie une manoeuvre acrobatique, en voulant sauter par dessus une table et atterrir sur le sommet d'un arbre de noël blanc. J'échoue et parvient avec grande difficulté à maintenir mon équilibre.
Le maître de manège fait alors une réflexion et demande "pourquoi les homos sont ils toujours si théâtraux?"

.....

Je veux prendre des cours de danse, pour me détendre. Visiblement c'est une école où Lauren Ambrose, l'actrice qui joue Claire dans Six Feet Under, a été. En fait ça ressemble plus à des cours de relaxation mais passons. On doit prendre des poses et les tenir quelques minutes. J'essaie différentes poses, dont une où je me retrouve à faire une auto-fellation (chose impossible au vu de la pose, mais bref...) et me demande si ce n'est pas un peu trop osé pour la classe. Visiblement ça ne choque pas tant que ça la prof. En revanche elle fait un commentaire sur mes doigts de pieds qui sont poilus: visiblement ça ne s'accorde pas avec le monde de la danse! Me sens humilié et décide alors de quitter la salle dignement. Je descends un escalier et m'apprête à faire les démarches pour me désinscrire.
Puis la prof me rattrape dehors et me dit qu'elle ne voulait pas me chasser et que j'ai mal interprété son message. Je lui réponds que j'ai pris ce cours pour me détendre et pas vraiment dans une autre optique, et que si les orteils poilus la dérangent, tant pis. Elle me dit que ce n'est pas grave, que je n'aurai qu'à revenir au cours suivant...
Je sors prendre l'air et je tombe sur Louisianne F. . Elle semble plus intéressée par mon paquet de cigarettes que par le fait de me revoir et insiste lourdement pour que je lui en passe une, et elle est entourée d'un groupe d'amies qui veulent aussi que je les dépanne. J'accepte pour Louisianne, mais comme toutes ses filles se battent pour m'arracher mon paquet, la cigarette que je lui tends finit déchiquetée. Je lui dis alors que vu le nombre qui me reste pour ma propre consommation, c'est tout ce qu'elle aura.
Dehors d'autres élèves font des espèces d'étirements. Je les rejoins sans comprendre vraiment ce qu'ils font au début. Les profs font des mouvements, on doit imiter. Ils sont en train de se muscler ou un truc du genre. Je me dis en comparant avec mon corps, que je ne suis vraiment pas assez musclé.

mercredi 3 septembre 2008

Rêve du 1er au 2 septembre

Je conduis une voiture, une mercédès je crois. Je suis en train de faire des repérages afin de trouver un acteur pour jouer dans un film porno. Il y a en a un que je vois dans la rue justement, un mec pas très grand au teint légèrement hâlé. Pour une raison que j'ignore je l'identifie au prénom Tadzio. Il travaille dans un garage. Il y a un truc qui me gêne, c'est le site pour le tournage, on est dans le 19ème arrondissement à Paris visiblement et je ne veux pas tourner à cet endroit. Je décide donc de garer ma voiture dans le garage afin de mettre les choses au clair.
Le garage fait aussi office de bar à putes version pédé visiblement. On peut même y prendre une sorte d'abonnement, genre le premier mois est gratuit et on peut "tester la marchandise" et après on paie chaque mois. Un peu comme pour les mmo..
Je descends dans les tréfonds du garage et au final me retrouve sur la pente d'un toboggan rose avec des sortes de paillettes ou des petites lumières pour l'éclairer. Un truc très kitsch.
Me retrouve à l'arrivée dans une sorte de backroom. Suis assez étonné, c'est la première fois de ma vie que je mets les pieds dans un endroit pareil. La luminosité est plutôt élevée pour une backroom d'ailleurs, je vois des mecs copuler un peu partout autour de moi. Un type veut coucher avec moi et je crois que j'accepte mais il met trop de gel...
En fin de compte je réalise que Benjamin est lui aussi présent. Je me sens honteux comme si j'étais surpris en train de faire quelque chose de mal. Aussitôt je me mets à fabriquer des chaussures féminines en papier, comme une sorte de prétexte pour expliquer ma présence ici au cas où il viendrait me demander. Je fais une série de bottines à talons haut en papier, genre Clairfontaine. J'essaie de modeler du mieux que je peux les chaussures, mais quelque chose cloche. Benjamin s'approche et me fait remarquer que je n'aurais pas dû prendre mon propre pied comme modèle car il est trop "nerveux". Je prends conscience alors du fait que mes chaussures ressemblent plus au moulage d'un pied qui serait comme torturé, et j'en viens à me dire que mes propres pieds ne doivent pas être bien beaux.

lundi 1 septembre 2008

Rêve d'août 13

Je suis à Verbier et je me réveille dans ma chambre. Il y a un mec mignon qui me regarde avec bienveillance. Il me dit que j'ai l'air tourmenté dans mon sommeil, car je parle beaucoup. Je lui réponds qu'il m'arrive de rire en dormant également.
Puis ma mère débarque avec son compagnon Pascal, ainsi que d'autres personnes dont une qui est, je le comprends, le frère de Pascal. Il me dit que je lui ai pris sa chambre, d'un ton très péremptoire, ce qui m'agace au plus haut point vu que la maison ne lui appartient même pas. Je me tourne vers ma mère pour qu'elle me soutienne, mais celle ci me reproche d'un ton sec de ne pas avoir demandé la permission avant de prendre la chambre, ce qui me met hors de moi.
Finalement Pascal dit à tout le monde de se calmer, et me tend la main, comme en signe d'apaisement. Ce geste finit par me faire craquer, et dans un accès de rage, je prends un verre que je fracasse contre le bureau avant de me jeter à la gorge de Pascal le tesson en main, avec la ferme intention de le blesser plus que sérieusement cette fois ci...

Faux réveil

Je me réveille et suis à nouveau à Verbier. Ma mère n'est pas beaucoup plus agréable que précédemment. Je lui parle sur un ton qui ne lui plaît visiblement. Elle me demande de ne pas l'embarrasser en face de mes amis. Je contemple l'assistance, et réalisant qu'il n'y a autour de nous que des amies d'Axelle, que je ne connais pas qui plus est, je lui rétorque que je ne peux pas l'embarrasser en face de mes amis, étant donné que ce ne sont pas les miens. Ma mère ne semble pas vraiment apprécier beaucoup plus ma réponse insolente.
On se retrouve tous dans la chambre d'Axelle. On parle de je ne sais plus trop quoi; me rappelle juste qu'il est question de la virginité présumée d'une de ses copines.

dimanche 31 août 2008

Rêve d'août 12

Charlotte m'a proposé de venir chez moi avec quelques amis. Ses potes masculins sont assez mignons, pas trop grand, tout à fait mon style. On discute etc, et je veux leur montrer un film porno pour une raison particulière, mais que j'ai oublié.
A un moment dans le film, on voit une fille asiatique effectuer une sorte de danse traditionnelle. C'est amusant car Charlotte a amené parmi ses amis une asiatique, habillée comme la fille du film. Je fais une remarque à propos "des réalisateurs qui manquent d'imagination et ressortent toujours les mêmes clichés à propos des Chinois". Puis je me tais, interdit, sentant que j'ai fait une gaffe, car j'ignore si la fille en question est Chinoise ou non, et du coup c'est moi qui vais passer pour un abruti. Je rectifie Chinois par Asiatique, et je détends l'atmosphère en rajoutant pour rire qu'en tout cas tout ceci prouve bien que les réalisateurs de films regardent plein de pornos, ce qui fait rire l'audience.
J'essaie ensuite de bidouiller mon lecteur dvd, car le film ne se diffuse pas correctement, et semble coincé. Un des mecs s'approche de moi et aperçoit ma Wii. Il me demande si j'ai les manettes, mais comme je suis concentré sur le lecteur dvd, je ne l'entends pas vraiment. Il insiste un peu plus brutalement, et je lui tends alors les deux manettes de la Wii avant de lui dire, à moitié en plaisantant, et à moitié en le menaçant:"Fais gaffe, j'ai des cookies au GHB, ils pourraient être pour toi..." Il me sourit alors d'un air complice, et je me dis que je dois avoir une touche en fin de compte.
Je suis content, on sonne à la porte, une amie d'amie de Charlotte. Elle me dit quelque chose, je l'ai déjà croisé dans un autre rêve sûrement. On commence à s'interroger sur le manque d'alcools et de petits trucs apéritifs à venir. Je dis qu'il y a une épicerie ouverte au coin de la rue, et qu'on peut s'y rendre.

Puis j'ai un flash de lucidité. D'un seul coup, toute cette ambiance me semble trop parfaite, et je réalise que cette soirée n'existe que dans une réalité, mais que dans l'autre, je suis dans mon lit, en train de dormir. Je me sens soudainement pathétique à l'idée de passer de bonnes soirées en dormant, et force mon réveil, à regret.

Rêve d'août 11

Je suis dans un centre chirurgical pour les grands blessés. Une fille a eu la tête compressée comme un citron, elle est toute plate. On la fait entrer dans une sorte de cube rempli de matière gélatineuse, et un masque commence à s'adapter à son visage en guise de reconstruction faciale. Elle ressort et les gens autour se félicitent du succès de l'opération. Moi je trouve le résultat plutôt mitigé; certes elle n'a plus la tête plate mais on dirait qu'elle porte le masque du tueur de Halloween sur la tête, sauf que la peau caoutchouteuse est rosée et qu'on voit de grands yeux bleus derrière les trous du masque.
Puis le centre change et devient une boutique de luxe. Tous les murs sont colorés en rouge sang, et il y a de petite colonnettes dorées décoratives par endroit. On accède à la boutique en descendant un grand escalier en marbre. Soudain, les vendeuses deviennent hystériques. Il semble que ce soit provoqué par l'arrivée d'une femme vêtue d'un tailleur vert et d'un grand chapeau; elle est assez élégante, un peu trop même. Les vendeuses crient de partout et s'agitent, la femme est la propriétaire du "Voga", un endroit très à la mode visiblement. Elle ne m'impressionne pourtant pas vraiment, et me semble plutôt vaine.
Je m'approche d'elle, et en profite pour lui dire que moi aussi j'ai travaillé dans la restauration, chez Mariage Frères. Cela semble la rendre enthousiaste d'apprendre ça, mais moi je me renfrogne, car je ne considère pas l'expérience comme très gratifiante.

Le magasin se vide, et la femme revient, seule. Je lui dis que je l'ai dénoncé auprès de la police, car visiblement elle sert des espèces en voie de disparition auprès de ses clients. Elle tente d'argumenter en me disant que c'est ça qui excite ses clients justement, mais je tiens bon.
Je crois que je suis entré dans la peau du personnage de Ugly Betty, en mieux fagoté quand même, d'où mon moralisme exacerbé peut être. Je dis à la femme qu'elle a trois jours pour fermer son restaurant avant que la police ne débarque. "A quoi bon?" me répond elle. Elle part et je ne sais plus quoi faire. Je bouffe une sorte de donuts, puis brise le quatrième mur, en me lançant à moi même en quelque sorte:"Et là elle ferait quoi Betty?"

Rêve d'août 10

La 1ère partie du rêve m'échappe.
A un moment, je m'éloigne de France, et commence à voir tous les pays s'assembler comme les pièces d'un puzzle qui formeraient une maquette du monde. Je vois des détails qui viennent se superposer ensuite, comme le tracé des fleuves, ou des trucs de ce genre. On dirait une sorte d'animation graphique.
Arrivé au niveau de l'Egypte, l'animation se bloque néanmoins. Je suis perturbé car les pyramides miniatures ne sont pas fidèles à leurs modèles. De plus je note qu'à la place du Sphinx, il y a une tête renversée, un peu comme celle qui trône aux pieds des géants d'Abou Simbel. Et l'échelle n'est pas du tout respectée, car la tête fait la même taille que la Grande Pyramide.
Mais ce n'est pas tout, il y a également des petits palmiers qui ont poussé sur les pyramides. J'essaie d'en arracher un, et découvre avec surprise que le sable a une consistance liquide et est glacé.
Puis je vois une abeille sortir d'un trou. Je n'y prête pas trop attention au début, mais d'autres se manifestent aussi. Je finis par me dire qu'en fouillant le sable, j'ai peut être dérangé leur ruche... et qu'il s'agit peut être de ces abeilles africaines meurtrières, qui sont prêtes à se jeter toutes sur un intru pour protéger leur territoire. Donc sans trop perdre de temps, je commence à fuir, avec l'essaim qui me poursuit. J'essaie de me réconforter en me disant qu'elles ne font que protéger leur territoire et que si je le quitte, elles cesseront de me poursuivre. Je passe une ligne de démarcation, me pensant en sécurité, mais je découvre avec horreur qu'il y a des abeilles ici aussi, et continue de fuir, jusqu'à me retrouver dans une pièce avec des gens et des machines à laver.
Certaines personnes se mettent dans les machines à laver pour se protéger des abeilles. Les abeilles ne se montrent pas, mais une autre personne présente à l'idée de mettre en route les machines, avec des gens à l'intérieur. On les voit prisonnier, avec l'eau qui commence à monter. Je trouve ceci très cruel et bête et décide donc de leur ouvrir la porte, afin qu'ils puissent sortir.
Une vieille femme boit de l'alcool, tout en me disant que c'est son pêché mignon et que ça lui redonne de l'énergie. Effectivement, 5 minutes plus tard, elle semble avoir rajeuni. Elle se met à couper les cheveux d'une black, qui de la même manière s'embellit sous les coups de ciseaux.
Il règne une sorte d'excitation palpable dans l'air, comme si on était tous sous l'effet de l'alcool. Les gens sont avachis et lascifs. Un mec avec une bite énorme dit qu'il a envie de se faire sucer. Je ne me fais pas prier et vient lui apporter mon aide. Il porte une capote, ce qui me gêne un peu, son pénis me faisant penser à un gros saucisson emballé dans du plastique. Il répète qu'il n'a pas l'habitude de faire ça avec des garçons, ce dont je doute fortement. Puis il finit par me donner raison en réclamant une bite épaisse à sucer. Doutant de pouvoir le satisfaire, je lui indique un autre type, mais qui vient finalement sucer avec moi la bite du premier.
Du coup je m'interroge sur mon haleine, étant donné la proximité avec la tête de l'autre.

Rêve d'août 9

Je suis à Deauville, chez ma grand-mère. Celle ci m'apporte une théière blanche. C'est celle que ma mère m'a offerte il y a quelques années déjà. Je la prends entre mes mains et remarque qu'elle a été abîmée. Cela me plonge dans une rage folle, comme si on avait ébréché un symbole précieux de l'amour maternel, et je saisis la théière et appuie avec mes mains, jusqu'à ce qu'elle se brise entre mes paumes. Mais je ne me sens libéré par ce geste.
Ma grand-mère me ramène alors une autre théière, pensant me consoler peut être, et qui ressemble un peu à la précédente, mais possède des motifs bleus en plus. Cela semble me déplaire plus qu'autre chose, car une fois encore, je prends la théière et la brise avec la pression de mes mains.
Puis je regarde mes paumes, qui sont toutes écorchées et entaillés, à cause des éclats de porcelaine certainement. Elles saignent abondamment, et cela me rappelle l'épisode du verre, ce qui me crée une sensation de déjà-vu. Cela me navre d'avoir répété les mêmes erreurs une seconde fois et de m'être laissé emporter par la rage. Puis un éclair de lucidité me fait prendre conscience que tout ceci n'est peut être pas réel.
Cela fonctionne, puisque je me réveille.

Rêve d'août 8

Je suis dans l'appartement de ma mère avec Axelle. On discute et puis elle s'en va. A peine ai-je fermé la porte, que j'entends un grand fracas en provenance du rez-de-chaussée. Axelle remonte en vitesse, parce que visiblement elle aurait renversé sans le vouloir des barils d'eau qu'un voisin déménageait dans l'ascenceur. J'ai beau lui dire qu'elle n'y est pour rien si les barils étaient mal fixés, elle ne veut rien entendre et a peur de redescendre.
J'entends alors ma concierge qui m'appelle pour que je l'aide à nettoyer. Ca me fait royalement chier, mais vu qu'elle a été gentille avec moi en m'apportant de la nourriture ou en faisant un peu la vaisselle, je me dis que je lui dois bien ça. Je cherche les clefs de la porte de service, me disant que ce sera plus pratique pour déménager ces barils d'eau avec le monte-charge, qui est plus spacieux, qu'avec l'ascenceur minuscule de l'entrée. Je finis par trouver les clefs, et avec Axelle nous nous rendons chez le voisin.
Il met en vente tout son mobilier en fait, et on croirait se balader un peu dans un magasin style Habitat, car il y a des étiquettes sur tous les objets. Axelle me fait remarquer une lampe qui a une forme humaine et que je trouve particulièrement laide.

La vente se transforme peu à peu en soirée. Je ne m'en rendais pas compte, mais un mec me parle depuis un moment, alors que je n'écoutais pas vraiment. Je remarque sa présence et réalise surtout qu'il est mignon. A ce moment je vois un petit groupe d'hommes plutôt mûrs qui sont assis autour d'une table de jardin en train de boire du vin. L'un d'eux est Richard. Je suis surpris de le voir ici, mais ne manifeste pas ma présence autrement qu'en lui jetant un regard étonné. Visiblement le propriétaire de l'appart est le frère de Richard.
Le jeune mec qui marche à mes côtés me glisse alors à l'oreille "Je veux te sauter". Je me dis que pour une première fois, certainement pas, et encore moins dans un endroit comme celui ci, mais qu'une pipe vite fait le satisfera peut être...
Puis je vois le jeune et le vieux (Richard) en slip bleu tous les deux, prenant des poses plus ou moins acrobatiques, de façon symétrique, comme si chacun était le reflet de l'autre. Richard semble rajeunir. Mais je finis par choisir le jeune, parce que d'une part il est jeune, et aussi parce qu'il a de longs cheveux bouclés attachés par un ruban bleu.

Rêve d'août 7

La première partie de mon rêve se déroule dans un monde cauchemardesque où les humains sont réduits en esclavage. J'en ai peu de souvenirs, si ce n'est qu'à un moment, j'ai envie de tailler une pipe à quelqu'un.

Ensuite le décor change totalement. Je suis dans un monde post-apocalyptique, l'atmosphère est remplie de nuages jaunâtres d'où tombe une sorte de neige acide de la même couleur. Je suis dans la peau d'une femme, qui me fait un peu penser à l'héroïne du film Underworld. Je suis à bord de la carcasse abandonnée et noircie par le temps et la pollution d'un ancien paquebot.
Je sais que le Gouvernement veut faire croire que la neige jaune n'est pas toxique, mais mon personnage semble penser le contraire. En effet, ceux qui y ont été trop exposés, effectuent "l'Ascension", au sens littéral, car leur corps se met alors à s'élever dans les airs et passe au delà de la couche de nuages. Visiblement, une fois qu'ils sont passés au delà des nuages, ils tombent dans le monde cauchemardesque du début, et deviennent esclaves. Ainsi quand on regarde le décor, on peut voir des silhouettes s'élever de temps à autres vers les cieux, telles des feux d'artifice un peu...
Le personnage dans lequel je suis fait partie d'un groupuscule rebelle visiblement, et doit faire face à un assaut donné par les forces de l'ordre contre le paquebot, qui doit être une sorte de base pour les rebelles. Les forces de l'ordre portent des sortes d'énormes armures plastifiées bleu électrique qui recouvrent l'intégralité de leur corps et de leur visage. Ils font un peu penser à des mécha japonais... Les Rebelles au contraire, sont à peine protégés par des vêtements de cuir noir et portent un léger masque pour se protéger des émissions toxiques. Le premier assaut est repoussé, mais des forces spéciales tentent de s'infiltrer par le côté. La fille que j'incarne s'en débarrasse en leur tirant dans la tête.

Une fois la menace écartée, elle se dirige vers un groupe de Rebelles, qui entourent un personnage visiblement important. C'est un vampire. Son attitude est ambiguë, on ne sait pas trop s'il est complice des Rebelles ou si au contraire traître à leur cause... La fille que j'incarne lui pose des questions, mais le vampire les élude, ce qui ne satisfait pas mon personnage qui commence à lui tirer dessus. La créature au début dissipe les balles par magie, mais cela lui demande beaucoup d'efforts visiblement, et un acolyte de la fille l'achève en lui tirant dessus avec une balle en argent. Son corps se met d'un seul coup à se décomposer en accéléré, les orbites devenant des trous noirs, et sa bouche s'ouvrant en grand pour laisser apparaître des rangées de dents horriblement pointues. Il lâche dans un râle "Tu ne sais pas à qui tu as affaire" à l'adresse de la fille, avant de s'affaisser. Celle ci se détourne et part l'air préoccupé. On peut voir que ses yeux sont remplis de jaune: l'Ascension n'est plus très loin pour elle aussi..