jeudi 31 décembre 2009

Rêve du 30 au 31 décembre 09

J'ai oublié où je suis au départ, mais je me souviens qu'il est question de téléportation. Un engin particulier, qui ressemble vaguement à un fauteuil permet de dématérialiser quiconque s'assoit dedans au bon moment et de l'expédier ailleurs. Je sais que je cherche à quitter l'endroit où je me trouve précipitamment et en voyant la machine, tente de m'en servir mais comme je sens que je fais les choses de travers, je m'extrais de l'engin avant d'être totalement dématérialisé. C'est un peu trop tard car je m'effondre au sol, je ne suis plus complet.
Heureusement, je me trouve dans l'hopital de la série Scrubs! Des médecins arrivent pour m'examiner dont JD le perso principal de la série et son supérieur grincheux (connais pas trop les noms, jamais vu cette série). JD est devenu un médecin à part entière maintenant et je me demande bien à quoi va servir l'autre du coup s'ils font une autre saison.
Ya aussi Rachel Griffith en médecin, l'actrice qui jouait Brenda dans Six Feet Under. Elle ressemble beaucoup à JD et je me dis qu'elle a vraiment mal vieilli depuis l'époque de l'autre série.
Enfin ya un mec blond très mignon; j'ai l'impression que je le connais déjà, mais je suis entraîné ailleurs. Il faut que je le retrouve.
Me retrouve en bas de l'immeuble, faut que je prenne l'ascenseur pour remonter à l'étage studio/hôpital. Dans l'ascenseur il y a une fille. Elle fait s'arrêter l'ascenseur à un étage vide, en fait on voit le temps qu'il s'arrête comme un grand lobby circulaire, très haut de plafond, le sol est dallé, les murs recouverts de bois au ton caramel, et avec de très grandes portes dont le cadre est en métal argenté martelé. La fille me dit que c'est l'étage royal et que c'est son étage favori. J'ai envie de lui dire que le décors est très art déco, mais j'hésite parce que je n'ai pas envie de me la péter.
Finalement on discute un peu pendant le reste du trajet en ascenseur, elle va retrouver des amies, elle a l'air assez sympa finalement, mais j'ai des appréhensions au sujet de ses copines. Quand nous arrivons mes inquiétudes se confirment; on arrive sur une sorte de terrasse gigantesque où se trouvent un bar, un restaurant, etc. Ses amis sont presque à l'attendre à la sortie et se mettent à glapir de joie en la voyant, et elle aussi répond avec les mêmes hurlements hystériques; je passe mon chemin rapidement.

Je me dirige vers le restaurant plutôt, et vois ce qu'il me semble être des acteurs autour d'une table. Je me dirige vers eux pour leur demander s'ils ont vu le mec blond qui me plaisait, mais en m'approchant je réalise qu'il s'agit plutôt de membres de l'équipe technique de la série. En fait toute l'équipe semble là. Je vois le blond un peu plus loin. Me dirige vers lui et on discute gentillement. Je lui dis que maintenant je comprends pourquoi ya toujours autant de monde au restau dans les séries et films si en fait on filme les équipes au moment de déjeuner.
Un autre type pas trop mal me regarde, je me dis que c'est mon jour de chance, mais à voir la tête du blond quelque chose cloche. Il me demande si j'ai le droit d'être sur le plateau en fait.

Un peu brouillé ensuite, mais je pense que je suis obligé de quitter pour la seconde fois le mec blond.
Me retrouve à faire des courses, et il y a quelqu'un qui m'accompagne, peut être Axelle.
Le caissier du magasin est un grand brun très sympathique à regarder lui aussi. Pendant que je paie je lui dis que je suis prêt à payer pour lui également. Il n'a pas vraiment l'air offusqué, il me répond que c'est la première fois qu'on est aussi cash avec lui. Je lui dis que c'est parce que j'ai vraiment envie de coucher avec lui et que je n'ai pas envie de perdre mon temps en interactions humaines, ce à quoi je suis particulièrement nul de toute manière. Et là je remarque le blond de toute à l'heure qui était à côté. Il a l'air un peu déçu. Je me maudis intérieurement puisque j'ai probablement fait foiré toutes mes chances avec lui.

Suite très floue, je suis dans un appartement, il est question de se déguiser pour le 31, avec Axelle on cherche des trucs à mettre dans nos cheveux. J'ai arrangé les miens de telle sorte qu'ils ressemblent à une grosse touffe blanche et pâteuse. Elle a fait la même chose mais en noir, avec une mèche rouge. Il nous manque de la crème pour continuer à en tartiner nos cheveux, on l'a égarée.
Le bâtiment dans lequel on se trouve est finalement victime d'un attentat terroriste, des islamistes trouvaient que c'était une insulte car il avait une forme de croix. Je visualise mentalement les plans dans ma tête et me dis que ces terroristes sont vraiment très susceptibles car le bâtiment avait très vaguement la forme d'une croix. Faut quand même que je prévienne les autres que tout va s'effondrer. Mais finalement quand j'arrive, le plancher est toujours là. Notre immeuble n'a pas dû être touché finalement.

vendredi 11 décembre 2009

Rêve du 11 décembre 09

Suis avec Christophe dans un resto.
Puis suis un voleur dans un jeu vidéo. Avec mon groupe on tombe sur une armure enchantée. Faut en récupérer toutes les parties. Une fois réunies l'armure prend vie; je vais me spécialiser au corps à corps afin de porter l'armure plus tard.
Suis dans le métro avec un mec blond. C'est cool car il a accepté qu'on dîne ensemble. Soucis: j'ai déjà plus grand chose à lui dire pendant le trajet. Je me dis que le dîner va être très long. On se retrouve assis dans le même restaurant que celui du début. Il est vide, nous sommes les seuls clients. Je pense que je vais donner une mauvaise image de moi si les serveurs voient que je me pointe régulièrement avec des mecs différents à ma table. Je commande pas mal d'alcool histoire que la conversation soit plus aisée, et j'entends un maître d'hôtel et ce qui semble être la sommelière, assis à une table derrière nous, en train de discuter. La fille parle de plats intermédiaires. Ce dont elle parle a l'air bon, donc j'interromps la conversation pour lui demander de quoi il s'agit mais elle m'ignore. Je me dis que certes c'est grossier d'écouter les conversations d'autrui mais qu'ils ont un sens de l'accueil particulier ici.
Finalement j'ai bu trop d'alcool, tout devient très flou.

Une histoire de voyage dans le temps ensuite. Un paysage apocalyptique, mais il n'en a pas toujours été ainsi, un peu dur à décrire. Des espèce de montagnes recourbées, mais qui explosent en fonction de ma destination dans le temps.

Suis avec des gens de la Villette, on est dans un monde médiéval. On tombe dans une embuscade mais les assaillants sont mis hors combat rapidement, puis nous prenons la direction d'anciennes ruines. Une espèce de bâtiment en forme de cercle, une ancienne place forte, ou quelque chose de ce genre. Des monstres rodent dans les parages. On ne peut d'ailleurs pas revenir en arrière, il faut obligatoirement avancer pour aller vaincre les monstres.
La cour de la tour était autrefois recouvert d'une verrière. J'ai une discussion à propos des verrières du coup, avec images de la galerie Vivienne qui s'imposent dans mon esprit.
Une fois sortis de là, nous arrivons à un petit village où nous sommes accueillis. Ya d'autres personnes de la Villettes.
Ca se tranforme en soirée. Il faut préparer plein de nourriture car c'est l'anniversaire du père de Caroline et il a prévu les choses en grand.
Puis Pauline me propose de la suivre, et nous partons en voiture. Je commence à penser que j'aurai peut être mieux fait de refuser car nous sortons de Paris et que je ne sais pas comment je vais faire pour rentrer.
Finalement on arrive à une autre soirée, un autre anniversaire, celui d'une fille de la Villette visiblement, dans un restaurant au décor assez moderne. Mentalement je fais un plan du resto en pensant à l'organisation de l'espace.

mardi 13 octobre 2009

Rêve du 12 au 13 octobre 09

Je suis chez moi, dans ma chambre. Il y a quelqu'un avec moi, une fille, mais je ne sais pas exactement qui, une amie probablement.
Je me dirige vers ma salle de bain, je sens qu'il y a un truc qui cloche avec ma main droite. On dirait que quelque chose grouille dedans. Effectivement, il y a une sorte de vers blanc qui sort de ma paume. Je suis dégouté et nerveux mais bizarrement pas aussi effrayé que je devrai l'être. Je montre ça à mon amie, je lui dis qu'il y en a d'autres. Et en effet des tas de filaments blancs s'échappent de ma peau, comme si on avait pressé de la crème fraîche à travers une passoire.
Je les enlève, tout ceci m'inquiète, d'autant que je sens que ce n'est pas fini. Je vois maintenant des mouvements sous ma peau. Je frappe la paume de ma main contre le rebord du lavabo, en espérant que cela tuera les vers, mais en vain; quand je regarde ma main, des sortes de cloques rouges se sont formés et même des yeux! Oui on voit comme des yeux de poissons qui sont apparus dans ma main! Je me sens extrêmement tendu: de plus en plus angoissé à l'intérieur, mais arborant le calme à l'extérieur. Quand je regarde à nouveau, ma paume est juste rougie, et j'y vois plein de points noirs. Je me dis que les points noirs sont sûrement des endroits d'où les vers sont susceptibles de sortir. Je réalise avec horreur que j'ai peut être des points noirs ailleurs sur le corps, ce qui signifierait que les vers ont voyagé sous ma peau pour s'établir dans d'autres zones de mon corps...

Je me réveille très rassuré en découvrant mes mains intactes.

lundi 21 septembre 2009

Rêves du 21 septembre 09

Maman entre dans ma chambre pour me réveiller. Il ne faut pas manquer ma rentrée! Purée suis sur le cul, elle est revenue des Etats-Unis uniquement pour ça... A bien y regarder, elle a quelque chose d'étrange: une coiffure qui non seulement est bizarre en soi, mais qu'elle ne porterait jamais (ses cheveux sont séparés en mèches bouclées, avec des petites paillettes et des petits médaillons et chainettes dorées partout sur la tête). Tout ça est trop improbable pour être vrai... et me réveille.
....

Je suis dans le métro. Je désire rentrer chez moi et dois effectuer un changement à Charles de Gaulle - Etoile. Je cherche la sortie mais on dirait que la station toute entière est en travaux. Le tunnel qui mène vers les escalators est en réfection, il est plein de sable, on ne distingue plus les murs tant il y en a. Je me dis que grimper sur du sable meuble doit être un peu périlleux et qu'il y a forcément un autre endroit où aller.
Je suis donc le flot des passagers qui se dirigent vers une nouvelle partie de la station rénovée: c'est un grand hall, construit en pierre de taille en apparence, mais l'architecte a voulu les faire ressortir, donc les surfaces ne sont pas lisses. Tout a été verni également, ce que je trouve un peu bizarre, et il y a d'immenses piliers dont les chapiteaux font penser à ceux des colonnes égyptiennes. Le tout est un peu bizarre parce qu'on retrouve aussi des éléments très modernes comme les parapets ou les escaliers/escalators, le métro lui même qui est automatique. Enfin pourquoi pas, me dis je, au moins ça a l'air propre, mais pour combien de temps?
Un bus fait la navette jusqu'à ma destination. Mais le chauffeur décide de passer par le bois de Boulogne, ce qui m'ennuie un peu, car je n'aime pas cet endroit. Les autres passagers semblent plutôt contents de la balade. Il y a parmi eux un type roux, mais pas très beau, et d'autres hommes dont un qui semble avoir juste une barre de cheveux sur la tête. Ils ont dû se rencontrer à une soirée, mais ne se connaissent pas bien.
On croise sur notre route une femme noire qui reste l'air hagard sous un pont à patauger dans l'eau. Ma première pensée est qu'il s'agit d'une prostituée, mais je m'en veux d'avoir pensé à ça tout de suite. Nous dépassons aussi un groupe de femmes et d'enfants ou plutôt jeunes adolescents noirs, qui marchent sur le trottoir. Ils ont l'air tous pauvres. Encore une fois je me dis que si ça se trouve les jeunes sont obligés de se prostituer. Et je m'en veux d'avoir des pensées aussi sordides, peut être que ce sont simplement des mendiants.
Le bus semble faire une pause près d'une cascade dans le bois de Boulogne. On y voit des enfants en maillot de bain grimper sur les rochers. J'ai une pensée pour le blog de Boulet, où il raconte toutes les choses dangereuses qu'il faisait étant petit tandis qu'on s'affole d'un rien de nos jours. Mais là les enfants ne se jettent pas dans l'eau, ils se jettent sur d'autres rochers, ce qui me rend un peu perplexe. Les enfants continuent ce manège, on commence à voir des marques rouges sur leur corps à force de se jeter sur les rochers.
En les observant je me dis que c'est assez étrange de penser que ces enfants au corps encore mal proportionnés, et tout faibles deviendront un jour des hommes normaux. Enfin peut être pas tous, et je me sens jaloux de leur avenir potentiel. En regardant un peu mieux je vois des poils sur le torse de l'un, et des poils dans le dos d'un autre. Je suis choqué, la puberté semble commencer très tôt de nos jours, ils ressemblent vraiment à des gosses d'à peine dix ans.
Un des passagers va vers l'enfant qui a un début de pilosité dorsale, lui a une grosse barre de poil qui lui recouvre intégralement le haut du corps, ça doit être son père. Le type qui parlait avec le mec roux s'en va aussi, il demande son prénom au roux, qui semble rechigner à le lui donner, et s'en va donc sans se retourner. Je lance un petit "Bye" de politesse, mais à vrai dire j'ai surtout hâte de rentrer chez moi.
Le bus nous dépose sur les Champs Elysées. Le mec roux me demande où est la ligne 61. Je lui demande "pour aller où?" en espérant qu'il me sortira "je ne sais pas", histoire que je puisse enfin caser la réplique du chat de Cheschire que j'affectionne tant. Mais il grommelle quelque chose et se casse, et me retrouve seul sans avoir pu faire le malin. Bon c'est pas très grave, il était moche de toute façon.
Le chauffeur du bus arrive, suis assis à sa place. Je ne veux plus prendre ce moyen de transport, je décide de descendre pour prendre le métro et enfin rentrer chez moi.

mardi 15 septembre 2009

Rêves du 14 septembre 09

Je suis avec Béatrice. On discute de sa chambre. Au bout d'un moment je réalise que nous ne parlons pas du même endroit elle et moi; je lui dis que pour moi sa chambre c'était celle du 9ème et non celle de chez ses parents. J'ajoute que j'ai fait un rêve où j'imaginais sa chambre différemment: elle était au centre de l'appartement, et un couloir l'encadrait, il y avait deux entrées.

Je me retrouve à Verbier je crois. C'est un peu flou, mais je suis en compagnie d'amis de ma mère et de leurs enfants. On discute un peu mais je n'aime pas trop ça, car les enfants ont plutôt réussi ce qui me complexe. Nous sommes autour d'une piscine. L'ambiance est étrange car à part la lumière bleutée qui émane de l'eau, nous sommes dans l'obscurité. Soudain un tentacule s'empare de Jonathan, le fils des amis, et l'emmène sous l'eau où il se fait avaler par la bouche d'un monstre hideux que je n'avais pas vu jusqu'ici: on dirait un peu la créature cthulhienne qui garde l'entrée de la Moria dans le Seigneur des Anneaux, un genre de pieuvre géante, "avec une bouche en forme de sphincter" me dis je intérieurement en repensant aux commentaires du film. Et effectivement ya cette bouche qui s'ouvre un peu comme un genre d'anus plein d'hémorroïdes, mais qui possède des dents également. J'ai la certitude que les personnes avalées ne sont pas mastiquées, mais la présence des dents me fait un peu douter. Étrangement, je ne suis pas autant effrayé qu'on devrait l'être quand on est à quelques mètres d'une telle créature. Finalement le monstre se dissout, comme s'il avait été fait de fine poussière et qu'un coup vent venait de souffler dessus. Je ne m'attarde néanmoins pas trop dans l'eau car j'ignore totalement pourquoi le monstre vient de disparaître et je n'ai pas trop envie d'être là s'il revient.

Je suis maintenant dans un bois. Je dois monte une petite colline. On doit être en automne, car les arbres sont parés d'ocre, de rouge, et autres teintes qui annoncent l'hiver. Sur le chemin un peu plus loin, je vois un ettin qui vient dans ma direction, donc je m'éloigne histoire de ne pas avoir à le combattre. L'ettin est un monstre de jeu vidéo qui ressemble à un géant à deux têtes pour info. Ça pourrait me faire de l'expérience supplémentaire, mais ça me semble un peu risqué.
Je vois au loin les Bois Électriques: il s'agit d'une partie de la forêt où les arbres sont tous noirs et dénudés, une aura sombre l'entoure, et on peut voir des éclairs et autres crépitements électriques passer d'un arbre à l'autre de temps en temps. Un endroit engageant! Quand on regarde l'autre partie de la forêt, avec sa lumière dorée, ses arbres aux couleurs chatoyantes, etc, on se dit que ça fait vraiment cliché, genre le choix des deux chemins, avec le chemin facile et le chemin ardu. Le chemin sur lequel je suis mène, plus haut, vers une ville, mais j'irai plus tard.
Je sors de la forêt pour me retrouver dans une espèce de petite prairie. Il y a des tas d'objets sur le sol, et même une petite structure. Je m'approche de la structure et essaie de prendre un objet mais je ne peux pas. Je comprends: il s'agit en fait de dépouilles de mobs qu'on ne peut pas looter. Un peu plus loin je vois une baguette magique plantée dans l'herbe. J'essaie de la prendre et rebelote! Je me dis que c'est finalement assez stupide ce système de dépouilles. Ok c'est bien joli de vouloir donner un cadavre aux mobs qu'on vient de buter, mais bon si le cadavre en question a une baguette magique, ce serait normal de pouvoir la prendre! Si c'était un vrai cadavre, je pourrai la prendre en tout cas. Alors que là c'est juste pour le plaisir des yeux...
Plus loin, sous une rangée d'arbre, je repère des voitures. Elles ont été abandonnées. Pourtant il s'agit de belles voitures, des mercédès pour la plupart. J'en vois une avec un design des années 70. Je repère même une cuisinière mercédès! Je ne savais pas que mercédès s'était diversifié dans ce genre de branche, mais pourquoi pas. Ça doit être une cuisinière de bonne qualité.

En marchant derrière les voiture, je vois un corbillard. Il me plaît bien, je me dis que ça doit être sympa de conduire ce genre de voiture. Enfin c'est un peu cliché tout de même, ça me fait trop penser à Six Feet Under... Je suis interrompu dans mes pensées par deux femmes qui discutent entre elles. Le corbillard n'est pas abandonné, ce sont les chauffeuses et elles discutent de leur prochain enterrement. Avec assez peu de respect pour le mort. Pourtant je sais qui va être enterré, c'est mon père. Et je n'aime pas qu'on parle aussi peu professionnellement à côté de ce qu'il reste de lui. Je m'approche et leur demande à voir le cercueil de mon père, en insistant bien sur le mot père pour qu'elles comprennent qu'il est temps d'arrêter de parler ainsi vu que je suis un proche du défunt. Elles amènent un cercueil vert émeraude. Je me dis que la forme du cercueil ressemble beaucoup à ce qu'on peut voir dans plein de séries américaine. C'est la première fois que j'en vois un cela dit, ça me fait bizarre. C'est ma mère qui a choisi la couleur verte, elle me l'a dit dans un autre rêve je crois. La voilà qui surgit juste derrière moi. Je lui demande pourquoi elle a choisi cette couleur et elle me répond que c'est ce que mon père aurait voulu. Je demande aux femmes si on pourra voir son visage pendant la cérémonie et elles me répondent que oui. Je me dis que je ne peux pas ouvrir le cercueil ici car avec tout ce soleil, une forêt pas loin etc, ça risquerait d'accélérer la décomposition. J'ai un choc en réalisant que tout ce qu'il reste de mon père est désormais dans cette boite verte. Ça me donne envie de pleurer mais je me retiens, comme si je n'avais pas envie que ma mère me voit.

lundi 31 août 2009

Rêve du 30 au 31 août 09

Suis à la campagne. Sur la terrasse d'une villa qui surplombe la mer. Je suis en compagnie du couple d'homos que connaissent mes grands-parents. J'ai plein de questions à leur poser. Suis très intrigué par le fait qu'ils soient ensembles après tant d'années. Déjà que c'est pas facile pour les hétéros, alors pour les homos...
Je vais parler à celui qui était le plus charismatique des deux. Je lui demande s'il aime toujours son compagnon. Il me répond que oui. Mais j'insiste. "Vous couchez toujours ensemble?" "Pas depuis longtemps"; "Mais les sentiments sont les mêmes après tout ce temps?" "Oh non ça varie, ça baisse en intensité..." Je lui demande s'il va voir ailleurs, il me répond que oui. Mais alors, il l'aime encore son mec? Bah finalement non, plus trop. "Mais pourquoi restez vous ensemble alors?" "L'habitude sans doute...". Je lui demande s'il ne serait pas plus libre s'il était célibataire du coup? Oui oui il le serait, ce serait peut être mieux... "C'est un peu un genre de boulet pour vous finalement?" Il n'aime pas trop le terme, un poids mort en tout cas. Si son mec était mort il serait finalement plus heureux. Je lui dis qu'il pourrait le brûler pour s'en débarrasser.
Je vais voir l'autre. J'ai un peu pitié du coup, car il semble toujours sincèrement épris de son compagnon. Je lui pose quelques questions aussi, mais j'ai la tête ailleurs. Le vieil amoureux me dit que parfois il a envie de tout abandonner. Je lui réponds de penser aux enfants et mentalement me dis qu'il ne peut pas en avoir... Hey! Mais c'est peut être un bon plan pour moi! La villa où je me trouve est à eux. Ok elle est située en Bretagne, mais c'est quand même un joli patrimoine.. Peut être que je pourrai sympathiser, histoire de m'immiscer dans leurs dernières volontés... J'hésite à l'interroger là dessus, mais j'y renonce aussitôt. Primo, je trouve ça trop vénal comme façon de penser, et deuzio ça risquerait de saborder toutes mes chances si je lançais une attaque aussi frontale. Il s'agit de se montrer sournois ici pour réussir...!

....

Une histoire avec un vieillard qui vit au bord de la mer. Il est dans un genre de chaise roulante antique, un plaid sur les genoux, les cheveux blancs lissés vers l'arrière, et le visage incroyablement ridé. Il semble très las. C'est un vieux comte je crois, il possédait une compagnie de chemins de fer. Tout n'était pas parfait, les wagons étaient anciens, mais c'était toute une région qui était fidèlement desservie depuis des décennies, voire plus sans doute, par ses soins.
Mais au nom de la libre concurrence, on le force désormais à vendre certaines lignes ferroviaires à d'autres compagnies. Et voici que les anciens wagons sont jetés à la casse pour être remplacés par de nouveaux qui n'ont pas leur charme. Des trains rapides qui ne s'arrêtent plus. Ou que certaines lignes se retrouvent fermées faute de rentabilité. Le vieil homme est conscient de tout cela, mais il n'a pas le choix, on lui arrache petit à petit des parcelles de son empire. Et lorsqu'il décédera, il sait que plus rien ne pourra empêcher les rapaces de se jeter sur les miettes.
Je ne suis pas vraiment acteur dans tout ceci, c'est plutôt comme si je lisais un article de journal. Tout cela me révolte en tout cas. Et me réveille!

Le rêve semble être inspiré par un article de journal que j'ai lu sur la "guerre" que mènent deux milliardaires anglais contre un vieux seigneur d'une île anglo-normande afin de prendre le contrôle de son île.

Rêve du 29 au 30 août 09

Je suis dans un genre de film, ou un jeu peut être, enfin de la fiction au sein du rêve. Il y a deux petits personnages étranges. Ils ont des traits caricaturaux et simplifiés, on dirait des personnages de comic-strip. L'un est rouge, avec un genre de robe de la même couleur, ornée de motifs triangulaires noirs ou jaunes, et porte une couronne pleine de piquants, l'autre est bleu, avec une robe bleue aussi, ornée quant à elle de motifs verts ou bleu foncé, de forme rondes ou triangulaires. Le rouge semble figé dans une expression de colère façon bd, tandis que le bleu affiche une expresion genre :o sur son visage. Ce sont deux rois qui commandent à des espèces de monstres qui ressemblent fortement aux "jojo's" de quand j'étais petit (les espèces de trucs en platiques qui ressemblaient à rien). Ils se disputent probablement le pouvoir suprême, vu que le rouge semble être en train d'hurler sur le bleu.
Le rouge s'appelle Mordo et le bleu Arda. Dans le rêve je les vois comme ça, figés, sans rien foutre, et me dis que c'est de la merde, parce qu'on voit clairement que le rouge est le méchant, et c'est trop stéréotypé dans leur manière d'être représentés, et puis Mordo et Arda... purée ils se sont pas foulés pour les noms: manque une lettre et t'as Mordor, et puis tu mets des a à la place des o pour avoir des sonorités plus gentilles... cool. Sans parler du graphisme simpliste... Et puis on comprend rien à l'histoire, vu que les deux protagonistes ne bougent pas. Sans parler des mobs qui ressemblent à des bouts de plastique. Je me dis que tout ça est véritablement de la merde.

Je me réveille et me dis que effectivement ce rêve était merdique et que remater intégralement le Seigneur des Anneaux, ça bousille le cerveau.

samedi 29 août 2009

Rêve du 28 au 29 août 09 (3)

Je veux acheter du lambrusco dans un grand magasin. Je prends la bouteille et passe à la caisse. Le caissier veut me faire payer 53€. Or j'ai vu que le prix de la bouteille était de 42€. Son comportement me met en colère, et je lui dis que ce genre d'attitude envers la clientèle est inadmissible mais il semble s'en foutre, et me propose de payer le prix régulier ou de laisser la bouteille. Je décide alors de payer le prix qu'il en voulait et d'aller ensuite le dénoncer auprès de la direction du magasin afin de le faire virer. Je lui annonce même mon projet, mais il reste impassible.
Je sors à la recherche du département de la direction du magasin.
Je tombe sur une sorte de grand hall, tout en marbres de différentes couleurs, des personnes en habits de cocktails discutent autour d'un bar. Ce doit être un genre d'évènement privé. Je me fraie un passage à la recherche d'un responsable. Je tiens toujours ma bouteille de lambrusco et inconsciemment, je le l'ouvre et en boit quelques gorgées. Puis je réalise ce que j'ai fait: on ne pourra plus me l'échanger désormais, mon plan semble tomber à l'eau. J'essaie de la rebouchonner tant bien que mal, avec un succès très limité. J'approche des hommes habillés en costume, l'un d'eux me redirige ailleurs. Au bar je crois une grosse femme, qui ressemble à un mélange entre un troll et un drag tant elle est bouffie et maquillée. C'est une amie de ma grand-mère qui me reconnaît et commence à me coller. Je n'arrive plus à m'en débarrasser, mais en profite pour lui expliquer mon problème.
Elle m'emmène dans une autre partie du magasin, où se trouve également un bar, mais plus petit cette fois ci. Tandis que nous discutons, elle saisit ma bouteille mal refermée et du vin coule sur son col. Je me sens atrocement gêné; à cause de mes conneries j'ai abîmé les vêtements de la seule personne qui était disposée à m'aider. Elle ne s'en offusque pourtant pas, et garde sa bonne humeur. Le barman rigole doucement, et je le comprends, c'est vrai que tout ça ressemble à une suite de gags. Je ne sais plus comment ça se produit, mais la femme en revenant, manque par inadvertance de me couper le bras avec un couteau à pain. Oui décidément, tout ça est vraiment trop absurde, même pour moi.

Rêve du 28 au 29 août 09 (2)

Ghislain m'a invité chez lui, ou plutôt chez ce qui semble être chez ses parents. En guise de remerciement, j'apporte une fleur, un genre d'orchidée blanche.
Mais je ne suis pas seul chez lui. Visiblement il a également invité un mec assez mignon et plus jeune qui se prénomme Arthur. Et très vite il fait tout pour être seul avec ce mec, tandis que moi je ne sais pas trop quoi faire de mon côté, me sentant assez con. Rapidement, il passe aux choses sérieuses avec cet Arthur, mais tout en m'ignorant royalement. Il commence à l'enculer sur la table de son salon.
Je ne sais toujours pas où me mettre. Faut il les laisser? Mais alors pourquoi faire ça juste en face de moi étant donné que j'ai un gros plan sur le cul de Ghislain qui fait des va-et-vient... Ou participer? Mais tout ça ne m'excite pas vraiment. Finalement je me laisse tenter, et essaie de sucer le mec qui se fait prendre, mais au moment où je mets sa bite dans ma bouche, je sens comme un goût âcre; il a déjà joui, donc plus la peine de m'investir. Au final je me sens très con.
Ghislain n'a pas terminé de jouer, il entraîne son pote sur la terrasse de son appart, en me faisant comprendre de les laisser tranquilles.
Tout ça finit par m'énerver, j'aimerai profiter de la terrasse aussi, il y a une très belle vue sur la gare de Lyon éclairée de nuit. Et en y réfléchissant, je ne lui ai jamais demandé de m'inviter, alors pourquoi me traiter de cette façon? Ces pensées finissent par me mettre d'humeur rageuse, et je décide de foutre le camps. Je me retourne juste pour lui crier "Fils de pute!", ce qui me semble être l'injure suprême sur le moment.

Mais lorsque j'approche de l'entrée, je vois un tapis mal disposé sur le sol. Je ne sais pas pourquoi, mais j'essaie de le remettre droit. C'est là que je vois une sorte de gros scarabée qui se dirige vers moi. Je hurle, et cours me réfugier dans le salon. Ghislain et son pote ne sont plus sur la terrasse, et Ghislain me regarde d'un air goguenard. J'ai à peine le temps de lui mentionner le scarabée, que je vois d'autres insectes surgir. Une mouche qui doit faire 40cm de longueur monte sur la table du salon. Je vois un énorme livre, à la reliure de cuir très ouvragée, et suis tenté de m'en servir pour l'écraser, mais je crains de la rendre agressive si je rate mon coup.
L'autre soucis, c'est que je suis le seul à voir ces insectes. Ghislain me prend pour un mythomane et se moque davantage de moi. Je ne comprends pas pourquoi je suis le seul à voir ces horreurs quand je repère la fleur que j'avais offerte: elle a changé! On dirait une marguerite dont les pétales seraient rouge et jaune désormais. Je comprends tout: c'est une fleur hallucinogène et c'est son pollen qui m'empoisonne l'esprit!

J'explique tout ça aux deux autres, seul le plus jeune semble craindre le pouvoir de la fleur.
Je regarde par la fenêtre et une vision s'impose à moi: le décor des rues et des immeubles se brouille pour former l'image kaléidoscopique d'une espèce de rosace de cathédrale, mais ici, la rosace est formée par des sculptures de corps humains tourmentés, qui se griffent, s'étreignent ou s'agrippent pour ne pas tomber. Le tout a une allure cauchemardesque, surtout que les corps semblent se mouvoir. Cette image remplit tout mon champs de vision, et je fuis en hurlant pour lui échapper.

Rêves du 28 au 29 août 09 (1)

Je suis dans un bar en compagnie d'Axelle ou de Béatrice; une présence féminine familière et rassurante en tout cas. J'y rencontre un groupe d'autres jeunes filles, plus jeunes et nous sympathisons. Elles ont prévu de sortir quelque part et me proposent de les accompagner, ce que j'accepte, laissant en plan les personnes qui étaient avec moi à l'origine. Je suis assez stressé néanmoins: d'une part elles ne ressemblent pas vraiment au type de personne que j'ai l'habitude de fréquenter (par exemple l'une d'elles a une robe qui semble hors de prix dans un tissu vert d'eau satiné, et un boléro en vison sur les épaules), ensuite je crains que l'effet "rencontre sympathique alcoolisée" ne retombe assez vite. De plus elles hésitent entre plusieurs endroits où passer la soirée: endroits où je n'ai jamais mis les pieds mais que je feins de connaître afin de ne pas passer pour un abruti. Je propose que nous prenions le métro pour nous rendre quelque part.
Dans le métro, la fille qui porte le vison me demande si je suis professeur de danse. Je rigole, ne comprenant pas très bien pourquoi elle me pose cette question, mais en fait elle faisait allusion au fait que j'étais trop vieux pour être étudiant, ce qui me fait déjà nettement moins rire.

Finalement l'endroit où nous débarquons est l'appartement de mon père; à défaut de briller par moi même, je préfère me rabattre sur la solution de facilité et susciter leur envie avec quelque chose qui n'est pourtant pas à moi. Ça fonctionne assez bien, le groupe de filles est ébahi par l'appartement. La partie que où nous nous trouvons fait office d'entrée, de salon, salle à manger et est pourvue d'une cuisine américaine: en fait c'est une pièce rectangulaire aux murs blancs, d'au moins 4 m de largeur, et plusieurs dizaines de longueur, d'où une superficie non négligeable. La pièce est de plus bordée d'une unique et immense baie vitrée, ce qui permet d'avoir un panorama magnifique sur Paris. Après coup, j'en déduis que l'immeuble doit être situé dans le 13ème et orienté nord-ouest, car nous sommes en hauteur, et la tour Eiffel apparaît sur la gauche. Le soleil se couche ce qui rend le paysage plus beau encore.

Je demande si des gens veulent des collations, mais j'ignore moi même où sont rangés les apéritifs, ou quoique ce soit d'autre d'ailleurs puisque je ne vis pas ici.
Je repère sur la table basse du salon une grosse brioche recouverte de glaçage. On l'a déjà entamé, mais je la propose tout de même à mes invitées; c'est à ce moment que j'ai une vision fugace de mon père qui me regarde avec désapprobation. La vision s'estompe vite, mais je me sens coupable maintenant d'être ici pour de mauvaises raisons.

.....

Le rêve s'est modifié, et l'ambiance aussi. Je suis allongé sur le sol, je vais très mal. En fait je meurs. La grande pièce rectangulaire et lumineuse a fait place à un endroit beaucoup plus réduit, une pièce octogonale, on dirait presque une yourte, car il y a des tentures de tissus ocre et rouge sur les murs. Le sol est jonché de tapis élimés et de gros coussins rouges. La lumière est également très différente, ce sont des bougies qui éclairent, ce qui donne une ambiance encore plus pesante à cet endroit.
Il y a une vieille femme chinoise en kimono vert d'eau. Je l'associe à ma grand-mère. Elle me dit des phrases rassurante mais ne semble pas inquiète pour autant et reste immobile.
Ma mère arrive. Je lui dis qu'il est déjà trop tard, qu'elle a perdu. Sans dire un mot, elle me prend dans ses bras. Mon corps semble avoir la taille de celui d'un enfant, puisqu'elle me porte sans problème.
Puis quelque chose d'étrange se produit: un transfert. Je me trouve à sa place, et elle à la mienne. Seulement, je ne suis pas dans son corps: je suis dans un corps d'homme adulte, en pleine forme, je ne ressens plus l'épuisement qui me terrassait quelques minutes plus tôt. Et je porte un corps dans mes bras. C'est celui d'une petite fille morte, dont la peau semble toute fripée. Ma mère s'est sacrifiée pour que je vive.
Au même instant, des tas de cadavres similaires sortent des placards, du plafond et s'amoncellent dans la pièce.
Ma grand mère chinoise m'explique que ma mère avait l'habitude de ce genre de pratique, interdite par le gouvernement communiste. Elle était même devenue très riche grâce à ça, mais c'est ce qui a attisé la jalousie des gens. Certains ont voulu la dénoncer directement auprès des autorités, mais sans succès. D'autres, plus insidieux, ont commencé à faire des allusions discrètes, et à faire circuler des rumeurs, ce qui a éveillé l'intérêt des communistes.

vendredi 14 août 2009

Rêve du 13 au 14 août 09

Benjamin accepte de me céder son appart, pour que je me mette en coloc avec Antoine. Même dans le rêve ça me semble un peu dément, parce que je ne sais pas comment on va se supporter sur le long terme, mais soit.
Son appart est sympa: seul soucis, l'une des chambres est en fait la pièce commune. On va devoir tirer à pile ou face pour savoir qui prendra la vraie chambre.
Me retrouve à parler de partiels d'archi. J'ai un partiel en droit de la propriété intellectuelle. Comme ça on pourra apprendre à mieux protéger nos oeuvres futures des tentatives de plagiat. Ca me saoule un peu n'empêche, car ça me fait une matière supplémentaire. On me dit que c'est dû à la réforme des universités voulue par Sarkozy; et plus le temps passera, plus il y aura de matières supplémentaires, ce n'est qu'un début..
J'essaie de me concentrer sur mon partiel. Faut que je consulte une base de données juridiques histoire de remplir ma copie. Pour ce faire, j'utilise un terminal un peu spécial: il s'agit d'une bottine brune. Il s'agit de se concentrer en regardant la bottine, et les informations apparaissent.

Rêve du 8 août 09

Je suis ravi car ma mère nous a trouvé un super appartement à ma soeur et moi, afin que nous puissions vivre ensemble. Je ne sais plus dans quel quartier il est situé exactement, mais je sais que c'est un quartier qui me plaît, le 9ème ou le 11ème. C'est un assez grand appartement, en revanche il est conçu assez étrangement, je ne pourrai pas dire en quoi exactement mais on dirait que le plan a été comme "disloqué", les pièces sont un peu n'importe où, mais ça me plaît beaucoup, peut être même plus que s'il avait eu un agencement des pièces plus classique.
Me promène jusqu'à ce qui doit devenir ma chambre. Nous sommes situés à un étage élevé (5ème ou 6ème étage) donc il y a cette espèce de monte-charge utilisé pour les déménagements qui est arrimé à ma fenêtre.
Et là je vois une sorte de mendiante (un peu du genre de celles qu'on voit dans le métro avec des petits fichus sur la tête et qui demande si on parle anglais) qui monte, avec un air très décidé, via le monte-charge, en direction de ma chambre. J'ai aucune envie d'avoir une mendiante dans ma chambre, surtout qu'elle est suivi par son fils qui est en chaise roulante. J'ai beau lui dire de faire marche arrière, rien n'y fait. Il y a trois pompiers ou crs en bas du monte-charge, qui semblent se reposer. J'essaie de les appeler, mais ils me regardent goguenards et me disent qu'il n'y a que la violence qui peut faire reculer ce genre de mendiants. Je les trouve vachement cyniques et me refuse à de telles extrémités.
Pendant ce temps, la femme et son fils ont débarqué dans ma chambre. J'essaie tant bien que mal de leur bloquer le passage en leur demandant de redescendre mais ils ne m'écoutent pas du tout. La femme semble même totalement m'ignorer pendant que je lui parle, elle cherche du regard tout ce qui pourrait avoir de la valeur. A force de tenter de la retenir je suis déséquilibré et nous tombons sur un genre de commode en marqueterie, provoquant sa chute également. Un petit récipient contenant de la monnaie était posé sur la commode, et les pièces se retrouvent éparpillées dans la pièce. La femme et son fils sont alors pris de frénésie et tentent d'en ramasser le plus possible. J'essaie de la tirer par le bras vers le monte-charge mais elle m'ignore toujours autant, et je vois en bas les trois mecs qui se marrent en me voyant me débattre. Ils ne sont toujours pas décidés à m'aider et me disent qu'il ne faut pas croire aux jérémiades de ces gens, que tout est chiqué, et qu'en plus la plupart du temps ils sont déjà riches.
Finalement excédé, je la pousse dans la pente du monte-charge. Elle dégringole jusqu'en bas et son dos heurte une poutrelle. Je m'en veux aussitôt d'avoir fait ça. La femme se redresse, elle a l'air en colère, elle commence à lancer des invectives dans une langue que je ne comprends pas. Son fils la rejoint en bas. J'essaie de les poursuivre pour m'excuser, mais elle m'ignore tout autant qu'avant, sauf que maintenant elle s'élance furibarde dans la rue, toujours en hurlant des trucs que je ne pige pas. Elle abandonne son fichu et son fils se lève de la chaise roulante. Je ne suis qu'à moitié surpris. Ils ne marchent que depuis peu de temps quand une immense limousine bleu ciel s'arrête à côté d'eux. Un chauffeur leur ouvre une porte, ils montent à bord et la limo disparaît au coin de la rue.
Finalement je ne sais plus trop si je m'en veux parce que j'ai fait usage de violence ou parce que les préjugés des trois pompiers/crs étaient vrais.

vendredi 17 juillet 2009

Rêves du 15 au 16 juillet 09

Pas pris de notes mais je me souviens avoir eu une petite partie de rêve lucide. Un méchant me poursuit, on dirait un bonhomme de dessin animé, avec des traits très caricaturaux, et en outre il est dans des tons bleu foncé. Là j'ai comme un vague éclair de lucidité, car j'arrive à le stopper, mais je contrôle mal ce que je fais. J'essaie de le changer en quelque chose d'autre, mais il résiste. Pourtant je sais en partie que je suis dans un rêve, mais c'est plus comme si je pensais rêver à l'intérieur d'un rêve, donc j'ai pas un contrôle absolu. Je n'arrive qu'à paralyser et à "brouiller" (un peu comme une image de téléviseur mal réglé) le méchant, mais il ne se transforme pas.

Dans un autre rêve, j'ai des pouvoirs magiques, je suis donc très content ! J'arrive à faire de la télékinésie. Je suis dans un genre de salle de réception, avec d'immenses fenêtres. Il y a des rideaux, et j'arrive à les faire bouger d'un geste de la main. Cela requiert tout de même beaucoup de concentration, et j'ai du mal à la maintenir.

Dans un autre rêve, je dois partir en vacances avec ma famille, on doit prendre l'avion, mais je le rate. A cause de ma valise je crois, enfin suis plus très certain.

vendredi 15 mai 2009

Rêve du 14 au 15 mai 09

Je suis en vacances quelque part, j'ignore où, je crois que c'est au bord de la mer. Mon père et ma soeur sont là, peut être ma mère aussi. Il est question de faire un voyage à New York pour les cours. Axelle part sans moi, ça m'énerve.
Je me retrouve à Paris avant de partir. Je descends un escalier qui mène à un petit jardin (genre ceux qui bordent certains immeubles de l'avenue Henri Martin). Un groupe de gens est là pour partir également. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens comme le besoin de me présenter à eux avec un masque horrible sur la tête. Néanmoins on me regarde un peu bizarrement donc je le retire en vitesse en riant jaune.
Je crois qu'on est dans le jardin des parents de Yassine en fait, parce que je le croise. Il me parle de ses parents qui sont absents et qu'il doit faire attention à ce qu'aucun voleur ne puisse entrer chez eux pour les dévaliser.

Me retrouve en avion, mais suis plus là en tant que moi, suis à la fois spectateur et éparpillé dans quatre personnages différents. Il y a une fille brune, plutôt jolie, qui est avec son copain habillé en costume, plutôt classe, lui même assis à côté un mec très sans-gêne, plutôt relou, assis devant un type qui donne des coups de pieds dans le siège devant lui, plutôt gamin.
La fille et le mec classe ne disent pas grand chose au début, mais le sans-gêne vient carrément s'étaler sur les genoux du mec en rigolant. Ils ne savent pas trop quoi faire, le mec est un peu embarrassé, tandis que la fille détourne la tête froidement en maugréant quelque chose contre les gens dénués de tenue. Puis le mec se remet droit et explique que son pote derrière lui, donne des tas de coups de pieds dans le dos de son siège. Mais il a l'air de trouver ça marrant.

On atterrit, et je réintègre mon corps.
Je ne perds pas de vue que je suis là pour les cours. Je suis toujours avec un groupe de personnes, et j'ai envie de bouger, je crois qu'on est séparé du groupe principal. Des filles du groupe dans lequel je suis s'arrêtent dans un Body Shop. Ça met un peu trois plombes, donc je décide de partir en avant pour retrouver les autres.
J'arrive sur un pont habité. enfin qui l'était parce que les immeubles anciens qui s'y trouvaient ont brûlé. Il s'agissait de très jolis immeubles en briques, probablement du XIXème, avec de ornements travaillés autour des fenêtres et sur les corniches, mais très sobres par ailleurs. Là ils sont calcinés, l'intérieur a été totalement détruit, il ne reste que les murs extérieurs. Des promoteurs ont racheté ces immeubles afin de créer des parkings. Ça me fend le coeur d'apprendre cela. Je trouve tout ça fort dommage, surtout que ces immeubles auraient été probablement très rentables s'ils avaient été loués, étant donné la vue imprenables qu'ils avaient sur le pont de Brooklyn (et accessoirement la tour Eiffel ).
Une vieille dame est là d'ailleurs, elle ne sait pas trop quoi faire, parce que son appartement a brûlé. Un mec responsable du voyage d'étude arrive alors. En fait il s'agit de quelqu'un des Roches... Il est content de retrouver un élève, mais déchante rapidement quand il constate que suis pas le élève modèle. J'essaie d'aider la vieille femme comme je peux, mais je ne sais pas trop quoi faire. Je lui conseille d'appeler les promoteurs et d'exiger une réparation. Au bout d'un moment j'arrive enfin à partir (elle s'accrochait la vieille), je dois faire autre chose, et le responsable me dit alors un truc du genre "Bonne chance........ fils..." en rechignant à m'appeler ainsi. Ça ne me choque pas outre-mesure, puisque dans mon esprit il est de toute façon obligé de m'appeler ainsi vu que je suis inscrit dans leur école.

Je retourne aux Roches finalement. J'arrive dans une sorte d'enfilade de bureaux. Les murs sont bleu ciel. et les bureaux sont fermés par des portes vitrées. Il y a des bounty posés sur les bureaux. Comme il n'y a personne, et que j'ai faim, j'ai très envie d'en piquer un ou deux. Mais ya un mec qui tourne dans les bureaux. Sûrement une sorte d'employé de service, vu que c'est lui qui dépose les bounty sur chaque bureau.
Je ne sais plus ce que je lui dis, mais au bout d'un moment il tente une approche plus ou moins sexuelle. Comme toujours d'un côté suis flatté de plaire, d'un autre côté le mec me dégoûte car je le trouve laid et un air très con. Heureusement, rien ne se passe.

Je crois que j'ai zappé la fin.

lundi 11 mai 2009

Rêves du 10 au 11 mai 09

J'entre dans une sorte de grotte bleutée. Je suis avec un petit groupe. On cherche à accéder à une seconde salle de la grotte, mais la porte est fermée et il faut l'ouvrir avec un rituel. Il y a deux boules noires qui luisent bizarrement de part et d'autre d'un autel, et il faut y placer des "billes de lumières". Malheureusement, je m'y prends mal et gaspille les billes. Je cherche du coup un autre moyen; peut-être qu'en examinant l'autel je trouverai quelque chose...

Il y a plein de grandes statues derrière l'autel. Elles sont en mauvais état, je remarque que la tête de l'une est brisée. Elles représentent des hommes élancés aux traits assez fins et richement habillés: des anciens rois elfes.

Une sorte de parenthèse explicative s'ouvre, et je vois que les elfes sont divisés en cinq grandes races, qui ont chacune une couleur et une spécificité. Il y a le orange, le magenta, le vert, le bleu et j'ai oublié la dernière. Les oranges sont les "Brutes" par exemple. Et chaque race elfique a son pendant maléfique, des monstres surnaturels qui ont la même couleur. Les seigneurs elfes d'une couleur ont un ascendant sur les monstres de la même couleur. Je me demande si ça ne fait pas des elfes des créatures mauvaises aussi du coup...



J'ai dû bouger, mais j'ai un peu zappé la transition. Je cours dans une ville et j'essaie d'éviter les gardes. Me précipite dans un bâtiment, mais pas de bol, ya une mini garnison qui m'attend à l'intérieur. Je veux changer de pièce en espérant que le chargement bloquera mes assaillants, mais évidemment, la porte est fermée tant que je n'aurai pas éliminé tous mes ennemis. Il y a aussi deux femmes qui me poursuivent, dont Zeehaeve, un perso de Nwn 2.

Je n'ai plus vraiment le choix; je lance un Arrêt du Temps afin de pouvoir shooter dans le tas tranquillement avec des boules de feu. Manque de bol, ça n'a pas de prise de sur les deux femmes qui viennent vers moi. J'essaie de leur expliquer que je n'ai rien contre elle etc. La githzeraï s'approche tellement que je la repousse légèrement avec mes mains, mais la sensation que j'ai en la touchant est atroce. On dirait que sa peau crisse et se fragmente sous mes doigts. Pas facile d'être un extraplanaire me dis je..

Finalement les deux femmes comprennent que je ne suis pas leur adversaire, mais manque de bol, le sort Arrêt du Temps prend fin pile à ce moment là et la mêlée commence.

Je n'ai plus de sort de ce type donc j'utilise l'inverse: me rend plus rapide et saute ensuite à toute allure à la gorge des soldats, muni d'une arme très effective: un petit couteau de table très finement dentelé....

Quelques tranchages de carotides plus tard, les ennemis sont calmés, il s'agissait d'une bande rivale ou un truc du genre. Mais je dois encore tous les massacrer pour éviter qu'il n'y ait de représailles. A chaque fois je m'approche du mec immobile, et à l'aide de ce couteau ridicule, je tranche l'artère. Ça me dégoûte un peu plus à chaque fois, surtout que le couteau n'étant pas spécialement fait pour couper quoique ce soit, la douleur doit être particulièrement vive. Ya quand même un jeune mec que je laisse partir, parce que je le trouve trop jeune pour crever.

Je ferai bien de même avec le fils du chef de la bande mais on me dit qu'il reviendra se venger et qu'en sa qualité de fils, c'est normal qu'il crève. Donc je le zigouille avec son père.

....

Suis au supermarché, il n'est pas encore ouvert d'ailleurs mais pas grave. J'achète des espèces de cure-dents casino.

Il fait nuit, et je peux voir par la fenêtre du rayon des groupes de jeunes qui font du breakdance plus loin sur une place. Je me dis que c'est dommage car la fenêtre sera certainement murée quand les travaux seront finis, un peu comme dans tous les supermarchés.

Bon enfin j'ai trouvé ce que je voulais donc je m'apprête à partir mais je tombe sur ma mère. Elle me demande ce que je fais, donc je m'explique.

Elle me dit que je ferai mieux de me trouver un stage et d'ailleurs elle a trois propositions pour moi. Je n'ai pas vraiment envie d'y penser, mais elle m'explique que le stage chez un mec qui s'occupe des monuments historiques à lieu à Reims, soit dans l'espace...

Alors au début en entendant ça ma réaction est un peu "Dans l'espace?!? Wtf ??! " mais ma mère insiste et elle me montre même son petit vaisseau spatial. Ce n'est pas encore super répandu me dit elle, mais ça commence à se démocratiser. Suis hyper sonné, elle me propose de m'emmener faire un tour.

Et hop c'est parti pour un tour dans l'espace ! J'ai l'impression de rêver, je ne comprends pas comment j'ai pu ne pas être au courant pendant tout ce temps ! Ma mère m'explique durant le trajet que évidemment, les moteurs ne sont pas encore assez poussés pour qu'on puisse aller plus loin que quelques planètes de notre système solaire, vu que personne n'a inventé l'hyperpropulsion encore.

Je crève d'envie de passer mon brevet de pilote du coup. Me dis que ce sera tellement sympa de faire des petits voyages quand ça me chantera. Et puis ça doit être un argument drague avec les mecs. Je m'imagine déjà essayer de séduire un mec en lui proposant une balade dans l'espace...

Je demande si on peut aller sur Mars. Bien sûr qu'on peut y aller, et zou direction Mars. Le voyage prend à peine quelques secondes (oui je sais ça veut dire qu'on va bien plus vite que la lumière et que du coup ce que ma mère disait plus tôt est caduque mais osef) et pour la première fois de ma vie je pose le pied sur Mars. J'en pleure de joie pratiquement, suis tellement heureux.

Et puis ça me semble d'un seul coup un peu trop beau, un truc cloche. Je suis en train de rêver je le sens. Je me réveille, super déçu.

vendredi 1 mai 2009

Rêve du 1er mai 09

Suis dans une ville grecque, il y a un dieu rouge maléfique qui veut détruire la ville et ses habitants. C'est notre dieu donc on ne devrait pas trop protester mais bizarrement personne n'a envie de se faire détruire. On voit à l'horizon une colonne bleutée s'élever dans l'air, c'est la Déesse Mère, ou un truc comme ça, celle qui a donné la vie à tous les peuples. Elle passe pas trop loin de notre ville alors on lui crie de nous venir en aide. Elle chasse le dieu colérique, et du coup la ville perd ses couleurs (les bâtiments portaient les couleurs de Wonder Woman et ils redeviennent blancs).
J'ai zappé la suite.

mercredi 22 avril 2009

Rêves du 22 avril 09

Rêve très glauque avec Axelle pour commencer. Je suis chez ma mère, je passe par ma chambre, traverse la salle de bain avec un mauvais pressentiment et presse le pas, pour arriver dans la chambre d'Axelle et constater que j'avais raison de redouter quelque chose: je vois son corps inerte allongé sur son lit.... Je m'approche pour tenter de la réveiller, mais au fond de moi je sais qu'il est déjà trop tard et qu'elle est morte. Ca fait plusieurs jours qu'elle s'est suicidée, donc le corps est déjà en décomposition. Ca se confirme lorsque, la secouant pour qu'elle sorte de son "sommeil", la peau de son visage (ou plutôt de ce qu'il en reste) adhère aux draps tandis que sa tête tourne vers moi....
Je reste immobile à côté du lit, ne sachant plus quoi faire.

......

Sorte de jeu vidéo bizarre qui se passe dans une jungle épaisse. Il y a des espèces de petits cours d'eau bien vaseux au vu de leur couleur, avec des bestioles dedans; enfin un classique pour une jungle. Je dois essayer de passer trois alligators, puis deux murènes, ou un truc comme ça. Et après, pour leur échapper, je me jette dans une pente à côté de la rivière, dans laquelle il y a un petit cratère de volcan...

mardi 21 avril 2009

Rêve du 21 avril 09

Je suis chez moi, je passe dans la salle à manger, le bac à fleurs (vide dans la réalité) est rempli d'une végétation luxuriante mais je ne m'y arrête pas, je saute par la fenêtre.
Me retrouve sur une planète désertique genre Dune, la nuit. Je porte mon chat dans mes bras. J'ai un peu peur pour lui, parce qu'une planète des sables la nuit, ce n'est pas un endroit très sûr pour un chat. Un mec habillé en survivant de l'holocauste nucléaire s'approche de moi. C'est un réfugié sans doute, qui vit, comme tous les réfugiés, dans un camps de réfugiés. Il est venu m'aider à progresser à travers le désert. Mais à ce moment, une tempête de sable se lève. C'est la merde, on n'y voit rien, mon chat en profite pour s'échapper, et j'ai peur qu'il se fasse ensevelir. Je commence à lui courir après, et réalise que le survivant le poursuit aussi. En fait il n'était pas du tout venu pour m'aider...
Mon chat se trouve dans une pente très raide, sur une petite plate-forme. Je me précipite pour le récupérer avant l'autre mec. Gagné ! A côté de la plat-forme, il y a des espèces de crevasses d'où sort une lumière rouge où l'on peut enfoncer ses bras et ses jambes. En fait il s'agit d'un mécanisme afin de devenir surpuissant et possiblement contrôler le monde. C'est à ça que mon chat servait et c'est pour ça que le type voulait le récupérer, pour empêcher quiconque de se servir de la machine. Pas de bol pour lui !

...........


Suis de retour chez moi, à proximité du bac à fleur. Cette fois ci les plantes ont poussé d'avantage et ya carrément des espèces de lianes bizarres qui en sortent. Avec de petits insectes dégueus qui batifolent dessus. Je vois une mini tarentule, mais ça ne m'effraie pas trop bizarrement.
J'ai oublié la suite, mais il est question de voisins du dernier étage qui passent par notre salle à manger pour sortir de l'immeuble, ça ne me plaît pas trop.

Mes rêves sont un peu à chier en ce moment.

lundi 20 avril 2009

Rêves du 19 au 20 avril 09

Suis à Verbier avec une partie de la famille, on fait du ski. On arrive aux Ruinettes, et nous voulons prendre les cabines pour redescendre. Je me mets en début de file, et je porte les skis de ma grand-mère pour l'aider, qui sont bizarrement, très très longs et noirs. Du fait de leurs envergure, ils ne sont pas faciles à porter, et je n'arrive pas à les mettre dans les encoches faites pour, et du coup, n'arrive pas à prendre la cabine, tandis que tout le monde monte dedans. Me retrouve comme un con seul. Un technicien de la station vient me voir pour me demander si tout va bien, je réponds que oui. Il me propose alors de tout bêtement descendre à ski, mais je ne me sens pas rassuré.
...

Nous sommes toujours à Verbier en famille, Papa est également là. Néanmoins, nous sommes dans un appartement situé un étage au dessus du nôtre, donc on a une vue plongeante sur l'entrée qui mène au parking. Justement je vois que mon chat actuel, se balade tranquillement dehors. Je commence à paniquer, et j'aperçois un peu plus loin un chien qui ressemble à un shiba inu au poil roux, ce qui m'angoisse d'avantage. Je décide de ne pas perdre de temps et descend vite récupérer mon chat, mais quand j'arrive il est déjà trop tard, le shiba inu a déjà fait un massacre et éventré plusieurs animaux, dont mon chat.
Je suis inconsolable, ma famille s'approche, et ne semble pas trop affectée, mais je ne peux pas m'empêcher d'être submergé par le chagrin en tenant dans mes bras le corps de mon petit chat éviscéré. Me dis que je dois être vraiment maudit pour que mes chats meurent tous aussi jeunes.
Évidemment je pourrai en racheter un, mais s'ils ont tous une espérance de vie aussi courte, à quoi bon...?
Finalement mon chat n'est pas mort, et je ne sais pas comment, mais quelqu'un lui recoud la cage thoracique. En tout cas il tient debout, et déambule maladroitement. Comme il s'est vidé de la moitié de ses organes, il semble vraiment très maigre. En outre, le chien lui a arraché sa queue, et bien que je sois heureux de le voir en vie, ça m'attriste énormément, parce qu'il avait une magnifique queue touffue et pleine de panache. Alors qu'il ne reste là plus qu'un petit moignon dégueu. Je dis qu'il vaudrait mieux l'emmener chez le véto tout de même, parce qu'il titube plus qu'il ne marche, mais ma famille, toujours nonchalante, me répond que ce n'est pas la nécessaire. Mon père (je crois) par inadvertance, shoote dans le chat, et lui défonce une partie de la cage thoracique, ce qui lui donne un aspect encore plus malade. J'essaie de le protéger et je gueule contre un peu tout le monde.

.....

Je suis au Printemps, à l'étage où se situait le stand de Mariage Frères, mais la configuration du magasin a changé, il manque des stands, d'autres sont en travaux, ou d'autres ont changé d'apparence. Me rapproche de ce qui était le stand Ladurée, mais ça a été remplacé par une boulangerie bas de gamme. Ils ont tout de même gardé le décor caractéristique. Je veux acheter quelque chose, mais je ne sais pas trop quoi, et me fait un peu bousculer par des clients.

jeudi 16 avril 2009

Rêve du 16 avril 09

Je suis en voiture, avec quatre autre personnes, la nuit à Paris. C'est un genre de petite auto, et c'est Mlle Poulain qui est au volant, toujours avec son béret basque. Elle nous raccompagne chez nous et je lui ai dit de me déposer Place des Vosges, mais elle ne peut croire que j'y habite et grommelle depuis que je lui ai donné cette adresse puisqu'elle pense perdre son temps avec un petit prétentieux. Je lui assure qu'elle aura une preuve en me voyant entrer dans l'immeuble.

Elle me dépose à 50m de l'immeuble, comme pour avoir le dernier mot. Mais finalement elle est obligée de passer devant chez moi, à cause des sens interdits qui l'obligent à faire un tour de la place (qui ne ressemble plus du tout à la place des vosges).

Maminou est là pour nous accueillir. Je la serre dans mes bras en la voyant. Je me fais la réflexion que la peau de ses bras ressemble à celle d'un poulet rôti au toucher. Les autres passagers de la voiture descendent tandis que ma grand-mère salue poliment Mlle Poulain. Nous devons faire un cake au citron.

dimanche 12 avril 2009

Rêve du 12 avril 09

Je suis en compagnie d'une femme de petite taille un peu boulotte et d'un genre de scientifique grand et maigre sur un bateau. La femme est en noir et l'homme porte une blouse blanche.

Nous recherchons l'entrée d'une caverne au trésor à proximité. Nous arrivons à proximité des côtes rocheuses et nous savons tous que nous approchons de l'entrée. Mais elle est fermée, et l'homme sait comment déverrouiller tout ça. Il nous demande de chercher un tourbillon dans l'eau et en un coup d'oeil je le découvre, ce qui me rend très fier.



Le bateau s'achemine alors juste au dessus du tourbillon et commence à tourner. Mais rien ne se passe. L'homme nous explique alors que c'est parce que lui seul détient la clef et tout en parlant, ouvre sa bouche pour dévoiler l'une de ses incisives du bas qui est devenue un petit chicot noir, si petit que ça ressemble à une aiguille tordue plus qu'à une dent.

Il touche la dent en question et soudain tout s'accélère. Le tourbillon s'agrandit en quelques secondes et sa vitesse devient bien plus conséquente, le bateau se met à tourner sur lui même à toute allure et nous sommes projetés aux extrémités du bateau qui se fait engloutir.

Ce n'est pas très clair, mais il est question d'aller à la proue du bateau (chose assez difficile puisque l'on est rejetés vers la poupe par les rotations rapides) pour y exercer une sorte de pouvoir spirituel afin de ne pas être avalés dans les eaux et d'ouvrir la porte de la caverne. Une femme obèse habillée en noir (avec un casque à cornes sur la tête ce qui fait un peu penser au cliché sur les cantatrices allemandes) s'avance néanmoins et commence à étendre ses bras, ce qui a pour effet d'ouvrir une sorte de voie dans le mur d'eau. Je veux m'avancer pour l'aider, mais le scientifique me dit qu'il n'y a qu'une grosse femme en noir qui peut parvenir à gérer cette étape. Intérieurement je me dis que c'est un peu discriminatoire.

Mais c'est efficace puisque la femme ouvre une sorte de grand trou noir dans le mur d'eau, que le bateau traverse, nous débarquant finalement dans la grotte.



On trouve dans la grotte quelques ruines, des escaliers etc, mais globalement beaucoup de pierres humides.

En fait, nous sommes dans les ruines de l'Atlantide. Je commence à me méfier du scientifique maigre, car j'ai la sensation que maintenant qu'il a trouvé sa précieuse cité engloutie, il va vouloir se débarrasser de nous. Or je ne suis pas venu pour me faire tuer, mais pour m'enrichir;

je fouille discrètement et découvre des vases remplis d'or ! Je dissimule bien vite cet or aux yeux des autres, pour en garder un maximum pour moi. Je me fais la réflexion que ça paraîtra peut être un peu étrange aux yeux des douanes si je rentre en France avec un énorme sac à dos, alors que je ne suis parti que 3 jours et que l'on risquerait de me reprendre l'or pour pillage de biens culturels si on le découvre. Je me dis que c'est assez injuste envers les chasseurs de trésors comme moi, et me demande si ces règlementations s'appliquent aux civilisations non répertoriées...



Puis viens me joindre à la conversation de façon innocente. C'est un jeu de dupes, car je sens que le scientifique sait que j'ai trouvé de l'or, et je sais qu'il veut me tuer; mais nous agissons de façon tout à fait policée l'un envers l'autre. La petite femme en noir (d'ailleurs je me demande où est passée l'obèse) s'éloigne pour prendre une douche et nous discutons tous les deux. Je finis par réaliser que le scientifique est en fait lui même un Atlante, ce qui expliquerait pourquoi il était le seul à pouvoir activer le mécanisme pour pénétrer dans la grotte, et également pourquoi il veut me tuer: afin de protéger les restes de sa civilisation. Je prends alors un risque en le devançant et en lui disant que si moi même j'étais un Égyptien de l'Antiquité, ça m'écoeurerait de participer à la découverte d'une tombe pour voir ses trésors pillés aussitôt. Il comprend ce que je suis en train d'insinuer et nie se sentir autant impliqué, car 2000 ans ont passé, et tout ce qu'il reste de ses anciens camarades c'est le tas d'ossements informes qu'il m'indique dans un coin. C'est donc qu'il est lui aussi motivé par la richesse. J'essaie une autre tactique.

S'il est aussi vieux, c'est qu'il est forcément mort. Et sa dent bizarre, c'est peut être une chaîne d'âme (faut voir Bleach pour comprendre). Je lui propose de se libérer de son lourd fardeau, en retirant la clef qui est sous la dent noire, et de s'en servir pour que son âme trouve enfin le repos. Ce faisant je me dis que ça ressemble à de l'incitation au suicide, mais étant donné qu'il est déjà mort et que ça pourrait me sauver la peau, c'est peut être moins immoral que ça en a l'air.



Mais il refuse.

J'ai oublié la suite (assez courte) et me réveille.

jeudi 2 avril 2009

Rêves du 1er au 2 avril 09

Je suis chez moi, je ressens un puissant malaise qui me fait voir le monde dans des couleurs différentes.


Je me réveille, à nouveau chez moi. Je sors de ma chambre et voit que mon chat n'est pas seul, Matchek est également là. Ça me fait assez bizarre de le voir, car je sais qu'il est mort, et donc ne suis pas totalement réjoui. A côté de mon chat actuel il a une tête étrangement grosse. J'essaie de le caresser mais il saute tout de suite sur mon bras droit et essaie de me mordre le poignet. Je me dis qu'il n'a pas changé du tout et qu'il est toujours aussi chiant qu'avant, et tente de m'en débarrasser.


Je me réveille à nouveau dans ma chambre, ce n'était qu'un rêve finalement. Et le malaise de tout à l'heure revient, en plus violent. J'ai l'impression de perdre totalement la raison. Je me sens extrêmement faible, mais c'est surtout ma perception du monde qui est altérée puisque les murs jaunes de ma chambre deviennent bleus par exemple et que je vois tout de façon floue et saccadée. Je titube jusqu'à la salle d'attente. Ma mère est là et je lui dis que je vais mal. Elle semble sincèrement inquiète et peinée et me dit qu'elle devrait peut être me faire interner. Je ne proteste pas car je sens très bien que quelque chose ne va pas du tout, et finalement ça me rassure qu'elle le propose sans que j'ai à lui demander.


Je me réveille pour de bon.





.....





Début un peu flou. Je me souviens atterrir dans une chaise à porteur qui fonctionne sans porteur (mais tout en conservant la même forme, donc pas de roues, ni rien qui puisse expliquer qu'elle se déplace).


Il y a d'autres personnes dedans on est un peu entassé les uns sur les autres. Une séquence étrange dans un parking où il est question de sodomie.


Puis la chaise à porteur nous emmène à Deauville. Je crois que c'est une idée qui vient de moi.


Je suis avec des gens de la Villette cette fois ci, même si je n'identifie que Sophie et Ulysse clairement.


La chaise à porteur se gare devant une boutique (ou plutôt il y a des espèces de crochets de long des murs et on peut l'y laisser). Je me dirige ensuite vers le stand de glaces de Martine Lambert.


Il ne fait pas si beau, mais j'ai tellement envie d'un sorbet. La vendeuse me demande si je souhaite une part de pizza, et j'accepte car j'ai un peu faim. Mais lorsqu'elle me l'apporte il s'agit en fait d'une part de pizza faite de trois sorbets différents, qui ont l'air tous plus chimiques les uns que les autres au vu de leurs couleurs trop vives pour être naturelles. J'hésite un peu à refuser mais j'explique que je m'attendais à une vraie part de pizza et pas à ça. La vendeuse bougonne mais va la reposer finalement. Entre temps d'autres personnes sont arrivées pour commander et passent devant moi. On m'apporte des espèces de sandwiches chauds, et j'attends toujours afin de commander ma glace. Je décide d'en prendre une à cinq boules: deux aux fruits de la passion, une café, une framboise et j'ai oublié le parfum de la dernière. Mais finalement, la vendeuse peu aimable baisse le store, j'ai attendu pour rien.





Je ne suis pas le seul, puisque le groupe de la Villette attendait également que j'aie ma glace. Ils veulent décider d'un endroit où dormir. Certains envisagent une sorte de camping aperçu dans un autre rêve. Je ne suis pas vraiment intéressé. J'hésite à leur dire que j'ai une maison où nous pourrions tous aller éventuellement. En même temps, je n'ai pas envie que l'on me perçoive comme un gosse de riche. Certains sont à l'aise avec l'idée de dormir dans la voiture à porteur...


Je décide du coup de ne pas passer la nuit avec eux et de ne rien leur dire à propos de la maison; des personnes prêtes à dormir à plusieurs dans un endroit aussi minuscule ne pourraient que voir d'un oeil mauvais une aussi grande baraque.

samedi 28 mars 2009

Rêve du 28 mars 09

Il est question de faire un petit séjour à Deauville avec ma mère, ma soeur et un homme que je ne connais pas. Mais nous ne partons pas dans la bonne direction, ma mère veut aller ailleurs pour commencer. Je suis mécontent de ce délais et vais m'en plaindre auprès d'elle mais ça ne change rien, alors je décide de prendre le train.

Problème, je ne comprends rien à la langue des employés de la gare. Normal, nous sommes en Flandres. Après une petite mise au point linguistique, je parviens à me faire entendre, mais il est trop tard, le dernier train est déjà parti, il faudra attendre le lendemain.

Je décide donc de rester et de profiter un peu de notre hôtel qui est situé au bord de la Manche (qui est étrangement calme et claire ce qui me surprend).

Je me balade un peu au bord de l'eau jusqu'à tomber sur un bûcher. J'y vois Rukia, personnage de Bleach, en train d'entasser des fagots de bois qui sont en forme de parallélépipèdes rectangle.

C'est un bûcher de la période géométrique Edo en fait, me dis-je.

Je m'éloigne mine de rien, la proximité d'un bûcher n'étant pas très rassurante. Dans l'eau, je vois un babouin qui se débat, et quitte plus prestement encore la plage.

Me retrouve dans ma chambre. On est à fleur d'eau. Soudain la chambre se met à tanguer. Ils ont conçu cette chambre comme une sorte de flotteur afin que l'on soit très proche de la mer, mais c'est un peu stupide puisque certains clients pourraient avoir le mal de mer. Heureusement je n'y ai jamais été trop sujet donc ça ne m'inquiète pas.

samedi 14 mars 2009

Rêves du 13 au 14 mars 09

Nous sommes en famille à Deauville. Mais tout est beaucoup plus vaste. Les plafonds plus hauts, et l'intérieur est très différent; il y a une profusion de moulures, frises et autres dans tous les sens, à tel point qu'on se croirait plus dans un gâteau à la crème. Nous parlons de vendre la maison, ce qui m'attriste mais je n'ai pas mon mot à dire. Finalement le lieu se transforme en hôtel et nous sommes dans le restaurant. Nous voulons commander, mais la viande qu'on nous apporte est à peine cuite.



.....



Je suis chez ma mère, dans ma chambre. Je réalise que la fenêtre de mon bureau donne en fait sur l'intérieur de la maison, sur la cuisine, située plus bas. Cela m'étonne parce que je n'ai jamais réalisé cela quand j'y vivais.

Ma mère arrive, elle me dit quelque chose, j'ai oublié quoi, mais je ne veux pas la suivre ou l'écouter.



.....



Je suis dans Daoc. Au départ je survole la carte d'Hibernia, je cherche un endroit en rapport avec les Siabras. Puis je m'arrête sur le premier donjon, le Tombeau Muir, et pénètre dedans.

C'est assez amusant, car je me retrouve plongé dans les graphismes du jeu, même si je n'en ai pas bien conscience. Je vois des petits nouveaux qui font la queue pour tuer quelques araignées et se font poursuivre par des sorcières aux doigts crochus. Je me balade tranquillement, ni les joueurs, ni les mobs ne peuvent me voir. Je vois certains joueurs s'approcher trop de l'aire d'aggro des sorcières et se faire attaquer par ces dernières. Ça me rappelle des souvenirs. Je regrette de ne pas être là avec un personnage de niveau plus élevé pour les aider.

Après le premier virage à gauche dans le donjon, je trouve un autre groupe, en train de se reposer jusqu'à ce que des sorcières lui tombent dessus. Là je vois que ces mobs attrapent les cheveux des filles et les avalent. Leurs visages coulent. C'est assez répugnant mais comme je suis intangible, je ne me sens pas particulièrement effrayé.



Le lien est brouillon mais je me retrouve à suivre une espèce de géant avec un casque ailé. Je suis en même temps observateur et je crois que le corps qui agit est celui d'une fille. Le géant est un dieu des Royaumes Oubliés, Helm. La fille est assez obséquieuse, elle assure qu'elle n'est ici que pour la connaissance et rien d'autre. Le géant s'arrête de marcher devant une énorme porte en métal, l'entrée d'une citadelle (mais la citadelle en question a la taille du Cirque d'Hiver vu de l'extérieur). Il ouvre la porte et demande à ce qu'elle l'appelle Heaume. Une grande lumière jaillit et nous entrons dans la citadelle.

A l'intérieur la sol est recouvert d'une pelouse verte, on peut voir le ciel, et nous sommes sur un traîneau doré. Visiblement la fille a roulé le dieu, je ne sais ni pourquoi, ni comment, mais ils se disputent.

Une fille blonde (la même? une autre?) brandit finalement une pomme. Elle nargue un type (le dieu?) en lui disant que s'il l'avait embrassé, elle aurait pu être immunisée contre le sort, et commence à croquer dans la pomme, ce qui visiblement affecte un peu plus sa santé à chaque bouchée. La pomme devient de plus en plus rouge. Avant qu'elle ne puisse prendre la bouchée qui la ferait tomber dans le coma, elle s'écroule, lâche la pomme dont le rouge contamine le reste de la scène.



Suis toujours à bord d'un traîneau, mais le reste du décor a bien changé. Tout est devenu désertique et le ciel lui même a pris une teinte orangée.

Suis avec Ghislain, on s'embrasse et je me sens bien avec lui. C'est comme si j'avais ôté un masque après trop d'années. Je lui fais une fellation mais c'est différent d'avant. Il voudrait aller plus loin, mais pas moi car j'ai peur d'avoir mal. Il me dit quelque chose comme quoi tout ça ce sont des réflexes de nos anciens nous mêmes, mais je résiste. Cela ne brise pas le sentiment de sérénité qui m'envahit.



Il y a une transition, je me retrouve sur la plage de l'île du film King Guillaume. Je ne sais plus exactement ce qu'il se passe. Suis en compagnie de mon nouveau mec, mais ce n'est plus Ghislain, c'est Alessandro désormais. Je ne remarque aucun changement.

Il y a d'autres personnes de cours, mais que j'identifie mal. Une histoire à propos d'un paquet de clopes perdu dans la mer. On va le chercher, puis nous ressortons. Les gens commencent à se diriger vers le self de l'île. Je voulais aller chercher quelque chose dans la direction opposée, mais comme Alessandro s'en va avec les autres, je renonce et prends un chewing gum avant de m'approcher de lui. Il me dit un truc du style "Je préfère que tu abandonnes le fromage au profit du chewing gum" parce que j'étais parti pour manger du fromage de chèvre.

On marche vers le self, et tout le monde est deux par deux.

vendredi 6 mars 2009

Rêve du 5 au 6 mars 09

Première partie floue, me souviens juste d'être en compagnie d'une fille aux cheveux blond cendré, nous sommes sur les quais du métro, mais il y a déjà beaucoup de monde dans les wagons lorsque la rame arrive en station. Je repère deux places assises dans un petit wagon un peu à l'écart du reste (qui ressemble en fait à l'avant d'un TGV), mais la fille qui m'accompagne ne les voit pas et me dit qu'elle va chercher une place ailleurs.
Je me retrouve alors avec un petit groupe de personnes et lorsque le train démarre, je sens que quelque chose cloche. Un peu comme si nous n'étions pas sur les mêmes rails que les autres wagons, puisqu'on peut voit le métro par la fenêtre. Les autres personnes du groupe ne me croient pas au début, puis lorsqu'en face de nous déboule le métro qui arrive en sens inverse, ils finissent par se ranger à mon avis en hurlant de peur tout comme moi.
Heureusement le conducteur en face arrive à stopper à temps, puis recule pour nous laisser emprunter une voie de secours.
Notre train part alors à toute allure parce que quelqu'un a poussé un levier de vitesse à fond.

Lorsque nous ralentissons, je me souviens vaguement d'une pente herbeuse la nuit, puis me retrouve chez moi, en compagnie d'un garçon qui était dans le wagon également. Il est blond et assez mignon, et nous sommes dans la pièce qui me sert de bureau, plongée dans l'obscurité. Nous discutons un peu et je me demande quelles sont mes chances avec lui jusqu'à ce qu'il me dise qu'il n'apprécie pas ma présence. La discussion se poursuit un peu à propos de chanteuses je crois, et il me dit qu'il n'aime pas une certaine Blancher ou un truc comme ça, que je visualise comme étant Catherine Frot, qui a chanté pour la Belle au Bois Dormant.
Je me rends compte que c'est à cause de rumeurs sur un blog qu'il ne me désire pas.

lundi 2 mars 2009

Bribes du 1er au 2 mars 09

Suis à Verbier, il y a une histoire à propos d'un hôtel, il fait nuit, je change de chambre plusieurs fois, on me suit je crois, me retrouve sur les toits...

Je suis avec un groupe au milieu d'une zone hostile, une sorte de baraque en ruine envahie par la végétation, mais on reste à l'extérieur de la maison. On est en fuite je crois. Il faut chercher de la nourriture. Je trouve des espèces de racines blanchâtres mais elles sont toxiques me dit on. Faut chercher des outils de jardinage pour sarcler la terre.
Plein de gens débarquent.
On se disperse pour ne pas qu'on puisse nous démasquer. Les gens en questions ressemblent à des PNJ de jeux vidéo tant ils sont nombreux et semblables. Il y a un attroupement qui s'est mis au pied d'une sorte de prêtre afin de prier avant la venue de l'apocalypse. Je me dis que l'occasion est trop belle, je me mets au centre du groupe et j'utilise un pbaoe un peu comme dans Daoc, mais j'ai pas assez maximisé mes points dans la spécialité du sort en question donc il est de très faible niveau et je dois me barrer.
J'en profite pour lancer le pbaoe un peu partout au milieu de la foule.
Quelqu'un à côté de moi demande qui peut s'amuser à faire ça en des instants pareils. Je réponds que je n'en sais rien, mais Axelle est à côté de moi et me dit d'un ton froid que je mens car j'adore la destruction.

Ensuite il est question d'un dieu égyptien qui aurait créé le violon. Cela me semble étrange car je n'avais jamais entendu parler du violon dans l'Antiquité. Sur wikipédia il est dit que le dieu en question a inventé des instruments qui s'en rapprochent beaucoup, comme la cithare. Cela me semble donc beaucoup plus logique, et je suis satisfait.