dimanche 31 août 2008

Rêve d'août 12

Charlotte m'a proposé de venir chez moi avec quelques amis. Ses potes masculins sont assez mignons, pas trop grand, tout à fait mon style. On discute etc, et je veux leur montrer un film porno pour une raison particulière, mais que j'ai oublié.
A un moment dans le film, on voit une fille asiatique effectuer une sorte de danse traditionnelle. C'est amusant car Charlotte a amené parmi ses amis une asiatique, habillée comme la fille du film. Je fais une remarque à propos "des réalisateurs qui manquent d'imagination et ressortent toujours les mêmes clichés à propos des Chinois". Puis je me tais, interdit, sentant que j'ai fait une gaffe, car j'ignore si la fille en question est Chinoise ou non, et du coup c'est moi qui vais passer pour un abruti. Je rectifie Chinois par Asiatique, et je détends l'atmosphère en rajoutant pour rire qu'en tout cas tout ceci prouve bien que les réalisateurs de films regardent plein de pornos, ce qui fait rire l'audience.
J'essaie ensuite de bidouiller mon lecteur dvd, car le film ne se diffuse pas correctement, et semble coincé. Un des mecs s'approche de moi et aperçoit ma Wii. Il me demande si j'ai les manettes, mais comme je suis concentré sur le lecteur dvd, je ne l'entends pas vraiment. Il insiste un peu plus brutalement, et je lui tends alors les deux manettes de la Wii avant de lui dire, à moitié en plaisantant, et à moitié en le menaçant:"Fais gaffe, j'ai des cookies au GHB, ils pourraient être pour toi..." Il me sourit alors d'un air complice, et je me dis que je dois avoir une touche en fin de compte.
Je suis content, on sonne à la porte, une amie d'amie de Charlotte. Elle me dit quelque chose, je l'ai déjà croisé dans un autre rêve sûrement. On commence à s'interroger sur le manque d'alcools et de petits trucs apéritifs à venir. Je dis qu'il y a une épicerie ouverte au coin de la rue, et qu'on peut s'y rendre.

Puis j'ai un flash de lucidité. D'un seul coup, toute cette ambiance me semble trop parfaite, et je réalise que cette soirée n'existe que dans une réalité, mais que dans l'autre, je suis dans mon lit, en train de dormir. Je me sens soudainement pathétique à l'idée de passer de bonnes soirées en dormant, et force mon réveil, à regret.

Rêve d'août 11

Je suis dans un centre chirurgical pour les grands blessés. Une fille a eu la tête compressée comme un citron, elle est toute plate. On la fait entrer dans une sorte de cube rempli de matière gélatineuse, et un masque commence à s'adapter à son visage en guise de reconstruction faciale. Elle ressort et les gens autour se félicitent du succès de l'opération. Moi je trouve le résultat plutôt mitigé; certes elle n'a plus la tête plate mais on dirait qu'elle porte le masque du tueur de Halloween sur la tête, sauf que la peau caoutchouteuse est rosée et qu'on voit de grands yeux bleus derrière les trous du masque.
Puis le centre change et devient une boutique de luxe. Tous les murs sont colorés en rouge sang, et il y a de petite colonnettes dorées décoratives par endroit. On accède à la boutique en descendant un grand escalier en marbre. Soudain, les vendeuses deviennent hystériques. Il semble que ce soit provoqué par l'arrivée d'une femme vêtue d'un tailleur vert et d'un grand chapeau; elle est assez élégante, un peu trop même. Les vendeuses crient de partout et s'agitent, la femme est la propriétaire du "Voga", un endroit très à la mode visiblement. Elle ne m'impressionne pourtant pas vraiment, et me semble plutôt vaine.
Je m'approche d'elle, et en profite pour lui dire que moi aussi j'ai travaillé dans la restauration, chez Mariage Frères. Cela semble la rendre enthousiaste d'apprendre ça, mais moi je me renfrogne, car je ne considère pas l'expérience comme très gratifiante.

Le magasin se vide, et la femme revient, seule. Je lui dis que je l'ai dénoncé auprès de la police, car visiblement elle sert des espèces en voie de disparition auprès de ses clients. Elle tente d'argumenter en me disant que c'est ça qui excite ses clients justement, mais je tiens bon.
Je crois que je suis entré dans la peau du personnage de Ugly Betty, en mieux fagoté quand même, d'où mon moralisme exacerbé peut être. Je dis à la femme qu'elle a trois jours pour fermer son restaurant avant que la police ne débarque. "A quoi bon?" me répond elle. Elle part et je ne sais plus quoi faire. Je bouffe une sorte de donuts, puis brise le quatrième mur, en me lançant à moi même en quelque sorte:"Et là elle ferait quoi Betty?"

Rêve d'août 10

La 1ère partie du rêve m'échappe.
A un moment, je m'éloigne de France, et commence à voir tous les pays s'assembler comme les pièces d'un puzzle qui formeraient une maquette du monde. Je vois des détails qui viennent se superposer ensuite, comme le tracé des fleuves, ou des trucs de ce genre. On dirait une sorte d'animation graphique.
Arrivé au niveau de l'Egypte, l'animation se bloque néanmoins. Je suis perturbé car les pyramides miniatures ne sont pas fidèles à leurs modèles. De plus je note qu'à la place du Sphinx, il y a une tête renversée, un peu comme celle qui trône aux pieds des géants d'Abou Simbel. Et l'échelle n'est pas du tout respectée, car la tête fait la même taille que la Grande Pyramide.
Mais ce n'est pas tout, il y a également des petits palmiers qui ont poussé sur les pyramides. J'essaie d'en arracher un, et découvre avec surprise que le sable a une consistance liquide et est glacé.
Puis je vois une abeille sortir d'un trou. Je n'y prête pas trop attention au début, mais d'autres se manifestent aussi. Je finis par me dire qu'en fouillant le sable, j'ai peut être dérangé leur ruche... et qu'il s'agit peut être de ces abeilles africaines meurtrières, qui sont prêtes à se jeter toutes sur un intru pour protéger leur territoire. Donc sans trop perdre de temps, je commence à fuir, avec l'essaim qui me poursuit. J'essaie de me réconforter en me disant qu'elles ne font que protéger leur territoire et que si je le quitte, elles cesseront de me poursuivre. Je passe une ligne de démarcation, me pensant en sécurité, mais je découvre avec horreur qu'il y a des abeilles ici aussi, et continue de fuir, jusqu'à me retrouver dans une pièce avec des gens et des machines à laver.
Certaines personnes se mettent dans les machines à laver pour se protéger des abeilles. Les abeilles ne se montrent pas, mais une autre personne présente à l'idée de mettre en route les machines, avec des gens à l'intérieur. On les voit prisonnier, avec l'eau qui commence à monter. Je trouve ceci très cruel et bête et décide donc de leur ouvrir la porte, afin qu'ils puissent sortir.
Une vieille femme boit de l'alcool, tout en me disant que c'est son pêché mignon et que ça lui redonne de l'énergie. Effectivement, 5 minutes plus tard, elle semble avoir rajeuni. Elle se met à couper les cheveux d'une black, qui de la même manière s'embellit sous les coups de ciseaux.
Il règne une sorte d'excitation palpable dans l'air, comme si on était tous sous l'effet de l'alcool. Les gens sont avachis et lascifs. Un mec avec une bite énorme dit qu'il a envie de se faire sucer. Je ne me fais pas prier et vient lui apporter mon aide. Il porte une capote, ce qui me gêne un peu, son pénis me faisant penser à un gros saucisson emballé dans du plastique. Il répète qu'il n'a pas l'habitude de faire ça avec des garçons, ce dont je doute fortement. Puis il finit par me donner raison en réclamant une bite épaisse à sucer. Doutant de pouvoir le satisfaire, je lui indique un autre type, mais qui vient finalement sucer avec moi la bite du premier.
Du coup je m'interroge sur mon haleine, étant donné la proximité avec la tête de l'autre.

Rêve d'août 9

Je suis à Deauville, chez ma grand-mère. Celle ci m'apporte une théière blanche. C'est celle que ma mère m'a offerte il y a quelques années déjà. Je la prends entre mes mains et remarque qu'elle a été abîmée. Cela me plonge dans une rage folle, comme si on avait ébréché un symbole précieux de l'amour maternel, et je saisis la théière et appuie avec mes mains, jusqu'à ce qu'elle se brise entre mes paumes. Mais je ne me sens libéré par ce geste.
Ma grand-mère me ramène alors une autre théière, pensant me consoler peut être, et qui ressemble un peu à la précédente, mais possède des motifs bleus en plus. Cela semble me déplaire plus qu'autre chose, car une fois encore, je prends la théière et la brise avec la pression de mes mains.
Puis je regarde mes paumes, qui sont toutes écorchées et entaillés, à cause des éclats de porcelaine certainement. Elles saignent abondamment, et cela me rappelle l'épisode du verre, ce qui me crée une sensation de déjà-vu. Cela me navre d'avoir répété les mêmes erreurs une seconde fois et de m'être laissé emporter par la rage. Puis un éclair de lucidité me fait prendre conscience que tout ceci n'est peut être pas réel.
Cela fonctionne, puisque je me réveille.

Rêve d'août 8

Je suis dans l'appartement de ma mère avec Axelle. On discute et puis elle s'en va. A peine ai-je fermé la porte, que j'entends un grand fracas en provenance du rez-de-chaussée. Axelle remonte en vitesse, parce que visiblement elle aurait renversé sans le vouloir des barils d'eau qu'un voisin déménageait dans l'ascenceur. J'ai beau lui dire qu'elle n'y est pour rien si les barils étaient mal fixés, elle ne veut rien entendre et a peur de redescendre.
J'entends alors ma concierge qui m'appelle pour que je l'aide à nettoyer. Ca me fait royalement chier, mais vu qu'elle a été gentille avec moi en m'apportant de la nourriture ou en faisant un peu la vaisselle, je me dis que je lui dois bien ça. Je cherche les clefs de la porte de service, me disant que ce sera plus pratique pour déménager ces barils d'eau avec le monte-charge, qui est plus spacieux, qu'avec l'ascenceur minuscule de l'entrée. Je finis par trouver les clefs, et avec Axelle nous nous rendons chez le voisin.
Il met en vente tout son mobilier en fait, et on croirait se balader un peu dans un magasin style Habitat, car il y a des étiquettes sur tous les objets. Axelle me fait remarquer une lampe qui a une forme humaine et que je trouve particulièrement laide.

La vente se transforme peu à peu en soirée. Je ne m'en rendais pas compte, mais un mec me parle depuis un moment, alors que je n'écoutais pas vraiment. Je remarque sa présence et réalise surtout qu'il est mignon. A ce moment je vois un petit groupe d'hommes plutôt mûrs qui sont assis autour d'une table de jardin en train de boire du vin. L'un d'eux est Richard. Je suis surpris de le voir ici, mais ne manifeste pas ma présence autrement qu'en lui jetant un regard étonné. Visiblement le propriétaire de l'appart est le frère de Richard.
Le jeune mec qui marche à mes côtés me glisse alors à l'oreille "Je veux te sauter". Je me dis que pour une première fois, certainement pas, et encore moins dans un endroit comme celui ci, mais qu'une pipe vite fait le satisfera peut être...
Puis je vois le jeune et le vieux (Richard) en slip bleu tous les deux, prenant des poses plus ou moins acrobatiques, de façon symétrique, comme si chacun était le reflet de l'autre. Richard semble rajeunir. Mais je finis par choisir le jeune, parce que d'une part il est jeune, et aussi parce qu'il a de longs cheveux bouclés attachés par un ruban bleu.

Rêve d'août 7

La première partie de mon rêve se déroule dans un monde cauchemardesque où les humains sont réduits en esclavage. J'en ai peu de souvenirs, si ce n'est qu'à un moment, j'ai envie de tailler une pipe à quelqu'un.

Ensuite le décor change totalement. Je suis dans un monde post-apocalyptique, l'atmosphère est remplie de nuages jaunâtres d'où tombe une sorte de neige acide de la même couleur. Je suis dans la peau d'une femme, qui me fait un peu penser à l'héroïne du film Underworld. Je suis à bord de la carcasse abandonnée et noircie par le temps et la pollution d'un ancien paquebot.
Je sais que le Gouvernement veut faire croire que la neige jaune n'est pas toxique, mais mon personnage semble penser le contraire. En effet, ceux qui y ont été trop exposés, effectuent "l'Ascension", au sens littéral, car leur corps se met alors à s'élever dans les airs et passe au delà de la couche de nuages. Visiblement, une fois qu'ils sont passés au delà des nuages, ils tombent dans le monde cauchemardesque du début, et deviennent esclaves. Ainsi quand on regarde le décor, on peut voir des silhouettes s'élever de temps à autres vers les cieux, telles des feux d'artifice un peu...
Le personnage dans lequel je suis fait partie d'un groupuscule rebelle visiblement, et doit faire face à un assaut donné par les forces de l'ordre contre le paquebot, qui doit être une sorte de base pour les rebelles. Les forces de l'ordre portent des sortes d'énormes armures plastifiées bleu électrique qui recouvrent l'intégralité de leur corps et de leur visage. Ils font un peu penser à des mécha japonais... Les Rebelles au contraire, sont à peine protégés par des vêtements de cuir noir et portent un léger masque pour se protéger des émissions toxiques. Le premier assaut est repoussé, mais des forces spéciales tentent de s'infiltrer par le côté. La fille que j'incarne s'en débarrasse en leur tirant dans la tête.

Une fois la menace écartée, elle se dirige vers un groupe de Rebelles, qui entourent un personnage visiblement important. C'est un vampire. Son attitude est ambiguë, on ne sait pas trop s'il est complice des Rebelles ou si au contraire traître à leur cause... La fille que j'incarne lui pose des questions, mais le vampire les élude, ce qui ne satisfait pas mon personnage qui commence à lui tirer dessus. La créature au début dissipe les balles par magie, mais cela lui demande beaucoup d'efforts visiblement, et un acolyte de la fille l'achève en lui tirant dessus avec une balle en argent. Son corps se met d'un seul coup à se décomposer en accéléré, les orbites devenant des trous noirs, et sa bouche s'ouvrant en grand pour laisser apparaître des rangées de dents horriblement pointues. Il lâche dans un râle "Tu ne sais pas à qui tu as affaire" à l'adresse de la fille, avant de s'affaisser. Celle ci se détourne et part l'air préoccupé. On peut voir que ses yeux sont remplis de jaune: l'Ascension n'est plus très loin pour elle aussi..

Rêve du 30 au 31 août

Je suis dans une sorte d'usine, qui sert à frabriquer des sushis à la chaîne. Il y a une sorte de gros broyeur, et on voit les ingrédients qui sont mélangés et malaxés avant de ressortir sous la forme d'un petit tube et d'être tranchés pour en faire des makis. Je vois qu'on met dans le broyeux une sorte de pâte verdâtre d'aspect peu ragoutant...
Un peu plus tard, la machine à créer des sushis, se transforme en presse d'imprimerie. Je dois faire imprimer 18 petites historiettes imagées, et je dois m'occuper de dessiner les images accompagnant le textes. Les ouvriers qui travaillent là visiblement se moquent du contenu et des images, il leur en faut juste assez pour faire 18 histoires. J'essaie de terminer la 18ème histoire. C'est à propos d'une sorcière, qui fait je ne sais plus trop quoi. Elle ressemble un peu à la méchante Reine de Blanche-Neige. Je vois que des dessins ont été déjà faits, et suis surpris car je les trouve très beaux, et en y regardant de plus près, je réalise qu'ils ne sont pas de moi. Je demande à l'un des ouvriers qui les a fait, et il me répond qu'il s'agit d'un de ses collègues. Visiblement, à force de travailler ici, ils ont dû apprendre aussi à desssiner. Je me sens assez complexé du coup, car je me dis que mon coup de crayon ne peut pas rivaliser avec celui de l'ouvrier. J'essaie tant bien que mal de dessiner quelque chose, mais ça reste moche et brouillon, tandis que les dessins de l'autres sont fins, détaillés et colorés de façon très précise.

vendredi 29 août 2008

Rêves du 28 au 29 août

Je suis d'abord dans l'univers de Buffy plus ou moins je crois. Je suis en compagnie de l'héroïne éponyme, plus de sa soeur Dawn et de Faith je crois. Il y a Tara dans un coin je crois également. Nous sommes poursuivis par Glory, la méchante de la saison 5. Il y a d'abord un combat sur terre, puis nous finissons dans une piscine, où Glory a des vêtements rouges qui flottent dans l'eau autour d'elle, la faisant ressembler à une sorte de sirène voluptueuse. Le combat se déroule sous l'eau et Glory se déplace avec une grande aisance dans ce milieu, mais ça me semble logique, car on se retrouve avec deux fondamentaux élémentaires: le combat sur Terre et sous l'Eau. C'est comme les deux facettes de la même pièce, qui sont nécessaires pour la rendre complète.

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Suis en voyage dans un bus, je crois. Je ne sais même plus dans quel but. Je m'arrête à une station service pour aller aux toilettes, mais j'ai du mal à trouver un urinoir de libre. Puis le voyage continue, mais à dos de dromadaires cette fois ci. Je suis en compagnie de Sarah C. je crois. Le dromadaire se déplace et grimpe une sorte de colline, il nous faut atteindre la villa de quelqu'un, elle est construite sur le flanc d'une montagne, et semble pratiquement en équilibre au dessus du vide. C'est la villa de je ne sais plus qui, il me semble l'avoir déjà vue quelque part. En s'y rendant, le dromadaire commence à passer par des chemins escarpés, et on arrive dans ce lieu, mais qui ne ressemble pas vraiment de près à ce à quoi il ressemblait de loin. Là on est dans une sorte de chantier, avec des tonnes d'éléments néo-gothiques partout, mais en béton. Je fais même une remarque à propos de la qualité du matériau employé pour faire les moulages. L'endroit en tout cas parait instable, et n'est clairement pas achevé, il y a des trous partout, le toit ne semble pas encore posé, les murs non plus, on se dirige un peu à l'aveuglette.

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J'ai un nouveau chat, mais il est malade visiblement. Il ressemble beaucoup à Matchek. Je me rends à l'extérieur et trouve une clinique vétérinaire au coin de la rue, où une jeune femme m'accueille. Elle me dit qu'elle peut faire venir quelqu'un à domicile chez moi, ou un truc du genre.
Quand je retourne chez moi, je vois qu'une femme blonde a mis des bougies partout, c'est l'assistante du véto, et je me dis qu'ils ont vraiment un service de qualité. Le véto examine mon chat et me demande de régler 150€. Je lui demande de me faire une feuille de soin, et tant qu'il y est, s'il peut m'en faire une également pour ma consultation de tout à l'heure. Il refuse, pourtant j'insiste en lui disant qu'il n'a qu'à modifier la date vite fait, et que ça m'arrangerait, mais il est toujours catégorique. Devant son refus, je décide de ne pas le payer alors, trouvant son tarif exagéré de toute manière. Il devient alors furieux, et se met à me pourchasser et je dois fuir.
Je m'évade à travers Paris, toujours avec le vétérinaire aux fesses. A un moment, je suis sur l'un des ponts de Paris, et vois passer une péniche en dessous. Elle semble avoir un toit fait de toile, donc j'en profite et je me jette, en espérant que la toile amortira le choc. Je me retrouve dans la péniche, qui est en fait à moitié inondée, car ce sont des bouées géantes sur lesquelles on a mis des piquets et la toile par dessus. Dedans, je trouve Superman et Spiderman, assis chacun dans une bouée. Le vétérinaire n'a pas dit son dernier mot néanmoins. Du pont, il se sert d'un bazooka pour m'envoyer des missiles. Heureusement, la péniche continue d'avancer et les missiles tombent dans l'eau, mais non sans faire des remous. Comme nous sommes installés dans des bouées, l'eau remonte entre nos jambes, et Spiderman semble rigoler et se tordre comme s'il appréciait la sensation. Je me dis que c'est normal car Spiderman est pédé.

Puis je me retrouve à prendre le métro et à descendre vers Notre Dame de Lorette, le paysage ressemble à celui d'un autre rêve. Je tente toujours d'échapper au vétérinaire fou, mais je cherche aussi à rentrer chez moi. Je dois passer par une sorte de tunnel éventré et occupé par des junkies et des dealers en tout genre. Je crois que j'hésite à acheter de la coke, mais finalement renonce. Je fais bien, car à la sortie du tunnel je croise les forces de l'ordre qui s'apprêtent à faire une descente, et me félicite du coup de ma décision. Je croise un personnage de Oz dans la foulée, Tobias Beecher, qui est alcoolique dans la série et lutte contre son addiction, et il me regarde de façon désolée. Je serre ma poche et sens un tube de poudre. Ce n'est pas de la c néanmoins, une sorte de crack je crois.
Je finis par retourner chez moi et retrouve l'assistante du vétérinaire. Elle me dit que ce n'est plus nécessaire de (fuir? je ne sais plus?) et qu'on ne peut plus rien pour mon chat, et me tend un mouchoir où l'on voit une oreille de chat qui a été arrachée avec un peu de sang qui tâche le mouchoir. Visiblement le vétérinaire a tué mon chat en guise de vengeance.
Je suis plus qu'ébranlé et furieux, mais décide d'aller voir la police immédiatement, et je traine par le bras l'assistante, en lui disant qu'elle sera mon témoin. J'arrive chez les flics en même temps que le véto, et sentant monter la rage, me jette sur lui pour le frapper. On nous sépare et je commence à raconter ma version des faits (en gros je raconte le début de mon rêve). Puis je me mets à penser à mon chat, et je suis pris d'une crise de sanglots, et je vois le vétérinaire qui est en train de faire sa déposition à un autre comptoir et dans un accès de rage je cours pour le ruer de coups.

jeudi 28 août 2008

Rêve du 27 au 28 août

Je suis de retour à Janson, une fois n'est pas coutume! Et je suis de retour en classe d'allemand, donc à nouveau avec Mme Brague! Il y a là réunis la plupart de mes camarades du collège, dont Arnaud G. et Sarah C., qui font du bruit d'ailleurs ce qui m'empêche de me concentrer sur notre devoir. Mais j'ai plus d'assurance que je n'en avais à l'époque, d'ailleurs c'est simple, c'est plus comme si j'étais téléporté dans cette époque lointaine avec ma mentalité d'aujourd'hui. Du coup je n'hésite pas à pousser un coup de gueule et à dire aux personnes bruyantes de se taire, plutôt fermement. Sarah C. s'en offusque plus ou moins et je lui dis que si elle ne la boucle pas, je lui casse la gueule. Et comme elle continue à discuter, je lui saute à la gorge. Mme Brague arrive pour nous séparer, mais prend mon parti en disant qu'effectivement elle dérangeait le reste de la classe.
La cloche sonne, ce doit être la fin du cours ou la récréation. On dit à notre prof à bientôt, sauf pour le jeudi, parce que visiblement le jeudi est un jour de congé pour elle (on est jeudi aujourd'hui je précise). Comme la classe se vide, je m'approche de Mme Brague et me dis que c'est le moment de lui révéler que je rêve aussi souvent d'elle (! again). J'ajoute même que dans la plupart de mes rêves elle me regarde toujours avec cet air de déception mêlé de lassitude, comme lorsqu'elle me rendait mes copies en 3ème, et qu'elle doit du coup symboliser un truc en rapport avec l'échec scolaire au niveau de mon inconscient. Cela semble la faire sourire, et pour une fois donc je la vois me regarder plutôt avec tendresse et une sorte de gaieté.
Intérieurement je me sens soulagé et content à la fois d'avoir enfin pu la voir pour le lui dire, parce que vu la fréquence à laquelle elle apparait dans mes rêves, ça me démangeait. Et puis surtout je me dis que cette fois ci je lui ai dit en vrai, et non pas dans un rêve (tu parles...).

Je sors donc de classe et me retrouve dans la cour de Janson. Des petits groupes sont formés. Je culpabilise un peu pour ma tentative d'étranglement auprès de Sarah C. un peu plus tôt. Alexis S. me dit que Sarah C. parle de m'embrasser, ce qui m'étonne un peu vu que j'ai fait il n'y a pas 5 minutes auprès d'elle... Je m'allume une clope et me retrouve à côté de Louisianne F. et d'autres personnes de ma classe, mais je ne leur parle pas vraiment. D'ailleurs ça ne semble pas trop me déranger, je fume juste tranquillement. Certains entrent dans une salle de classe, et vont voir un prof. Il s'agit de M. Marcelet, mon ancien prof de math en 5ème et 4ème je crois. Il a un peu vieilli par rapport à l'image que j'en avais gardé (enfin normal, dix ans ont dû s'écouler depuis...). J'entends Alexis S. lui dire que Sarah C. en pince pour lui et réalise donc que ses propos de tout à l'heure n'était qu'une blague, d'autant plus que le Marcelet en question est pédé et que tout le monde le savait déjà à l'époque. J'ai une pensée méprisante pour la mentalité des collégiens. Et pendant que j'y suis, je vais voir mon ancien prof, et je le remercie pour m'avoir dégoûté des maths à vie, puis je le quitte et retourne dans la cour de Janson.

mercredi 27 août 2008

Rêve d'août 6

Rêve inspiré par le tome 2 de la saga de la Tour Sombre de Stephen King.
Je suis dans la peau d'un des personnages, accompagné du Pistolero. Nous venons d'abattre l'Ours Mécanique, qui est l'un des gardiens de la forêt. De fait, nous nous situons dans une grande forêt de conifères géants. Près de l'endroit où nous avons vaincu l'Ours, se trouve une sorte de portail, derrière lequel se situe une grande allée bordée de gazon entretenu. Au bout de l'allée, à l'horizon, je distingue la forme de la Tour Sombre, qui baigne dans une étrange lumière. Dans ma tête, je sais qu'il y a quatre gardiens, et qu'il nous faut tuer les trois autres afin que les portails s'ouvrent et que nous puissions entamer le chemin vers la Tour Sombre. Mais je me dis que ça ne sera pas avant le Chant de Susannah au moins (enfin le tome 3), que je n'ai pas encore lu.
Le Pistolero nous a enseigné à tirer, en l'occurrence je porte une sorte d'arc, afin de tuer des bêtes et de pouvoir nous nourrir. Je repère une espèce de faisan qui s'envole parmi les branches et décoche une flèche téléguidée. Celle ci se met à poursuivre sa cibles jusqu'à l'avoir atteinte et tuée. Mais le Pistolero n'est pas satisfait, pour lui le téléguidage n'est pas "honorable", ou quelque chose de ce genre. Je veux faire mes preuves et lui montrer que je n'ai pas besoin de cette technologie pour m'en sortir. Je repère une sorte de coq blanc au sol, et me précipite pour l'attraper à pleine main. Puis, je lui maintiens la tête et le corps, prenant soin de dégager son cou, et demande à Axelle, qui est présente dans le rêve désormais, de le lui trancher avec une hache.
Mais elle élève la hache trop haut à chaque fois, et j'ai peur qu'avec l'élan, elle ne manque sa cible, à savoir le cou de l'animal qui continue de se débattre, et ne me coupe la main à la place. Au bout d'un moment, je décide d'intervertir les rôles. Axelle maintient donc le coq, mais en plus elle lui fait quelque chose au cou avec ses doigts; comme si elle lui ouvrait la peau. Je commence à plaindre la pauvre bête et décide que je ne suis pas capable de la tuer, ou du moins pas ainsi: je peux tuer rapidement et proprement, mais pas si ça implique de faire souffrir la bête.

mardi 26 août 2008

Rêve d'août 5

Suis dans une sorte de manifestation contre l'intolérance. Ça se déroule dans un grand hall, un peu comme les nouveaux trucs à Roissy. Les gens avancent, et moi je marche à contre sens, je remonte la file. Vers le bout, je croise des gens, dont Chirac, qui manifestent contre l'intolérance à l'égard des petits. Je trouve ça très bien et les félicite, car il est vrai que les petits souffrent de discriminations et qu'on en parle presque jamais. En revanche, maintenant que je suis arrivé en bout du cortège, je vois les gens qui continuent d'arriver pour assister à la manifestation. Il y a deux entrées pour accéder au hall visiblement. Un truc me fait tiquer: l'une des entrées semble attirer majoritairement des gens de couleur. Je me retourne vers Chirac pour lui en faire la remarque, et il me répond en faisant une sorte de blague semi-dédaigneuse à propos des gens couleur "caramel" avec qui on ne peut pas se mélanger. La réponse m'écoeure, et je me dis que c'est bien hypocrite de sa part de faire partie d'une manifestation contre l'intolérance, tout en faisant de la ségrégation à l'entrée. Mais je tais mes pensées, car après tout c'est un ex-Président que j'ai en face de moi, et décide de le laisser là avec les gens qui l'entourent.
Je repars dans le sens de la manif, et finis par tomber sur un mec pas très grand. On a un échange de parole, je ne sais plus trop à quel propos. Je sais qu'il me plaît et vice versa, mais j'ai oublié la suite.

Rêve d'août 4

Je suis en vacances avec ma famille, mon père, ma mère et Axelle. A un moment je semble me plaindre de mes douleurs dans le dos car je crois que ma mère me propose de faire venir un masseur.
Puis je semble visiter une ville, peut être celle dans laquelle nous séjournons pour ces vacances. Une rivière la traverse, et il n'y a qu'un seul pont. Le truc c'est que quelqu'un a bâti sa demeure au bout du pont, peut être à une époque reculée où la ville n'était pas autant développée, car la demeure en question ressemble à une sorte de manoir gothique. Le manoir est devenu au fil du temps un bien de la localité, ce qui devait être nécessaire de toute façon, car il n'y a qu'un seul pont, donc pour traverser la rivière, on est obligé de finir par traverser le manoir. Je suis très curieux face à ce bâtiment. Certaines parties sont en restauration visiblement et donc fermées au public. J'ouvre néanmoins les portes de ce qui devait être la bibliothèque. Il y a plein de boiseries très ouvragées et lourdement chargées de détails. Une autre pièce semble exister, puisqu'elle possède des fenêtres, mais je ne trouve pas la porte pour la visiter. Je vois de grands miroirs retournés à l'envers posés contre un mur, et me dis qu'ils doivent faire partie de la décoration de cette pièce inaccessible, probablement en cours de restauration elle aussi.

Je me retrouve avec mes parents, et ma soeur, à nouveau. Ils sont en train de bronzer. Moi je m'ennuie. Ma mère me dit que le masseur est arrivé, mais je lui réponds qu'il est trop tard, et que j'ai envie de partir désormais.
Ma soeur quant à elle, décide de faire un plongeon dans la mer. Je la suis, c'est vrai que l'eau est très chaude et claire, on doit être au bord de la Méditerrannée. Ma soeur part à la nage loin devant moi, et ma mère me crie depuis le ponton, ou plutôt depuis les rochers d'où nous nous sommes élancés, de dire à ma soeur de ne pas aller trop loin. Je décide donc de la suivre un peu, et en profite pour regarder ce qu'il y a dans l'eau, qui est si claire. Je vois à un moment des poissons, puis même des tortues. Je suis agréablement surpris car c'est un spectacle peu commun pour moi. Mais les types d'animaux marins changent peu à peu, et je crois discerner des murènes, ce qui commence à m'angoisser et je décide donc de faire "brasse" arrière. Toujours en vérifiant ce qu'il y a dans l'eau je crois voir cette fois ci une sorte de gros bâtiment rectangulaire englouti. Cette vision ne me rassure pas du tout, et j'accélère la cadence afin de regagner la terre ferme au plus vite. A terre justement, m mère est devenue plus hystérique que tout à l'heure et me hurle quelque chose que je comprends mal, à propos d'un cachalot. Je finis vite par comprendre: il y a une sorte de baleine juste en dessous de moi dans l'eau qui se rapproche. J'ai beau me dire que les baleines sont innofensives, cette vision finit de me faire plonger dans la panique la plus totale et j'essaie à tout prix de regagner le rivage, avec la vision de la baleine qui se rapproche de moi...
Me réveille en criant.

mercredi 20 août 2008

Rêve d'août 3

Je suis à l'entrée du Racing, en voiture avec ma mère et Axelle. Nous avons nos bagages pour Deauville dans le coffre. Nous nous arrêtons à l'entrée pour qu'on nous laisse pénétrer la barrière du club. Mais pendant que nous sommes à l'arrêt, un homme et une femme ouvrent le coffre tranquillement et prennent nos affaires. Au début je ne réagis pas vraiment, puis je fonce sur eux pour les arrêter. Je fais trébucher le mec et un agent de sécurité du Racing vient me prêter main forte.
Le voleur a des menottes sur lui, je m'en sers donc pour le ligoter, tout en me disant que si ce sont ses menottes, c'est qu'il doit pouvoir s'en défaire facilement. L'agent de sécurité, un peu empoté, m'indique un commissariat un peu plus loin, dans le bois de Boulogne, et je me prépare à y emmener mes deux captifs.
Sur le chemin, je me dis que le mec a peut être des contacts "intéressants", et je lui demande s'il pourrait me trouver un plan c. En contrepartie, je le libérerai. Pendant un moment, j'hésite avec un chantage sexuel, mais comme il a une copine, je renonce et m'en tiens à ma proposition première. Le mec m'assure que oui, il peut m'en procurer de bonne qualité, etc... Je lui dis de commencer par me donner 1g gratuitement pour tester, et après on verra. Il me donne une carte de visite avec plusieurs adresses msn griffonnées, en m'indiquant laquelle est la sienne, afin que je puisse le contacter.

Sur le chemin du retour, je me dis que je me suis fait avoir, mais que finalement ça m'évitera de retoucher à la c, et que ce n'est pas plus mal finalement. Je regrette un peu de ne pas l'avoir sucé en revanche.
Ma mère et Axelle m'attendent pour entrer dans le Racing. Un gardien demande ma carte de membre, et ma mère lui dit que nous nous rendons au Secrétariat afin de la refaire justement. Le garde nous laisse passer et sur le chemin, ma mère me prévient que le Racing a beaucoup changé.
En effet, une fois à l'intérieur du Secrétariat, je réalise qu'on a mis un restaurant à l'intérieur du bâtiment. Et c'est Mariage Frères qui s'occupe du service. Je cherche de l'oeil si je reconnais qui que ce soit. Il y a une majorité de jeunes acnéiques et ça me fait rire intérieurement, car cela tranche un peu avec l'image proprette que veut se donner la marque.
Il y a une sorte de self-service pour déjeuner. Je fais la queue et prends de la viande. Je demande des légumes en accompagnement, mais il n'y en a plus et je dois attendre un peu, ce qui me chagrine car je meurs de faim. On me sert enfin. Je m'apprête à goûter la nourriture, quand je me réveille.

Rêve d'août 2

Je dois assister au concert de QM3. Celui ci a lieu dans un jeu vidéo, un mmorpg. Je finis par intégrer le jeu, ça ressemble un peu à Zelda une fois qu'on est dedans. Le soucis c'est que la zone où a lieu le concert ne m'est pas encore accessible directement, je ne peux pas m'y téléporter, donc il va falloir que je m'y rende moi même en traversant d'autres zones du jeu.
Au bout d'un moment, je dois atteindre une sorte de plate-forme glacée, comme la face émergée d'un iceberg, mais qui est entourée d'eau, et je ne peux la franchir. Le jeu comporte des dieux, qui agissent en faveur ou en défaveur du personnage. Par exemple, je vois un dauphin à un moment dans l'eau; c'est l'avatar d'un dieu, il brise la glace. Puis un peu après, un nuage se matérialise un peu au dessus de moi et se met à souffler un vent glacé sur l'eau: cette dernière gèle immédiatement, me permettant d'atteindre mon objectif, non sans avoir vérifié au préalable que la glace nouvellement créée était suffisamment solide pour supporter mon poids.

Je me rappelle ensuite regarder les étoiles, et penser aux myriades de dieux qui les habitent. En me concentrant, je remarque que les constellations bougent et finissent par laisser place à des visages humains, ou même à une tête de labrador. Ainsi sont les dieux, me dis je, comme nous ils naissent, vivent, s'accouplent, et donnent vie à d'autres déités qui prendront leur place un jour.

Dans la suite du rêve, je ne suis que spectateur. La Déesse des Glaces apparait sur son trône. Elle a un air sévère et une aura violette en forme de flocon acéré derrière elle. Elle veut récupérer le domaine du Froid, qui était à son père, mais qui a été accaparé par sa belle-mère.

Rêve d'août 1

Je suis chez ma mère avec Axelle. Elle a reçu du courrier à Janson, dont une lettre adressé à la "Princesse Axelle". Je me dis que la confusion doit provenir de cette émission stupide sur TF1 que Axelle m'a fait regarder où une fille se fait surnommer "Princesse Alexandra". Quoiqu'il en soit je me propose pour aller chercher le courrier.
Je me rends rue de la Pompe, mais en arrivant au bout, la rue est bouchée, ce qui m'oblige à faire marche arrière. Je parviens enfin à l'entrée de Janson et ressens un petit quelque chose en entrant dans ce bâtiment où j'ai passé une partie de ma scolarité.
A peine ai je eu le temps de passer la porte, que je tombe sur Mme Brague, entouré d'un groupe de jeunes élèves. Elle me semble toute petite. Je vais la saluer, en tant qu'ancien élève, et ajoute qu'il m'arrive fréquemment de rêver d'elle (!). Elle me fait remarquer que j'ai grandi, ce à quoi je réponds en plaisantant que c'est parce que je porte des talonnettes. Je lui montre mes semelles comme en guise de preuves, mais à ma grande stupéfaction, j'ai effectivement au moins 4 cm de talon sur mes semelles. Le groupe d'élève de mon ancienne prof semble s'impatienter, et Mme Brague elle même reste figée sans réagir, donc je finis par la laisser et pénètre dans l'établissement.

Je me retrouve en cours d'architecture. C'est le premier de l'année. La prof me fait un peu penser à Laurence P. . Nous avons pour consigne de créer des formes simple pour commencer: cubes, pyramides, etc.. Je commence par maladroitement découper un triangle, avant de réaliser que j'ai oublié de faire un patron correct. Mais je n'ai pas le temps de rectifier mon erreur que la prof s'empare de mon triangle raté et s'en sert comme exemple de ce qu'il ne faut absolument pas faire. Comme je suis très gêné, je m'emporte et commence à m'exclamer qu'il était injuste de se servir de mon travail, sachant que je n'avais pas terminé. Puis je me rassois un peu honteux, me disant que l'année commence bien mal, et que heureusement on peut changer de prof au bout de la semaine d'intégration.
Pendant que je recommence ma pyramide, la prof vient me voir afin de me parler de ma réaction et s'excuser de son attitude à mon égard. Je bafouille des excuses à propos de ma réaction excessive, et la justifie parce que je ne voulais pas donner une image fausse de moi à travers ce triangle raté. La prof s'éloigne en me disant que les gens normaux donnent tous une image fausse d'eux même..

vendredi 1 août 2008

Rêves du 31 juillet au 1er août 2008

Une histoire avec une fille que j'ai pas vu depuis des années. Nathalie. Je l'ai croisée un peu avant dans une partie du rêve dont je ne me souviens plus et promis qu'on se reverrait, puis j'ai oublié. En rentrant chez moi je trouve une sorte d'affiche en carton (genre truc promotionnel pour les films), avec un mot écrit dessus. C'est un truc qui vient de chez Sephora ou une boutique du même genre, Nathalie y travaille pendant l'été. Elle m'a écrit de ne pas oublier de venir la voir avant qu'elle parte en vacances, et que c'est chez elle que j'ai oublié mon passeport, donc ce serait con que je ne le récupère pas (la nouvelle en soi me rassure, car du coup je sais où est passé ce satané passeport).

.......

Suis au cabinet de ma mère, là où je loge actuellement. Mon père essaie de se cacher car sa mère est présente et il lui en veut parce qu'elle ne l'a pas invité à déjeuner récemment. Il se réfugie dans ma chambre, puis dans ma salle de bain, en me faisant signe de ne pas signaler sa présence. Ma grand-mère fait semblant de ne pas savoir qu'il est là, mais continue d'avancer vers ma chambre. Je me dis qu'ils ont tous des façons de se comporter complètement grotesques dans cette famille. A un moment, elle est positionnée de telle sorte qu'elle peut voir mon père, mais ni lui ni elle ne semblent changer d'attitude, puis mon père se redresse (il était accroupi), et vient la voir de façon naturelle.
Je suis toujours dans le cabinet, à peu près au même endroit, à savoir devant la porte de ma chambre, mais en compagnie de Caroline désormais. Elle me dit qu'elle a trouvé des textes que j'ai écrit. Elle semble les trouver amusants. Je suis assez mécontent, car j'ai horreur que l'on fouille dans mes affaires, et me demande quel genre de textes elle a bien pu trouver. Elle me désigne un petit carnet, où l'on trouve des dessins, et des petits poèmes. Les pages où sont écrits certains poèmes sont déchirées. Je me dis que c'est bien innocent finalement, et ma pression retombe. Je regarde un peu, et me retourne vers elle pour lui lancer triomphalement que ce n'est pas moi qui ai écrit ça. En guise de preuve, je lui montre une date écrite sur la première page "1986", comme si je pouvais écrire des poèmes l'année de ma naissance!
Non il s'agit de trucs que ma mère a écrits, et je reconnais les styles de ces dessins également. Elle a représenté nos peluches. J'ai une pensée affectueuse envers elle, en me disant qu'elle devait vraiment être contente de notre naissance à ma soeur et à moi pour tenir ce genre de petit carnet.
Il y a des photos également. Une représente un type qui ressemble vaguement à mon grand-père paternel, mais avec une grosse barbe. Il a un énorme nez. Je me dis que les nez dans cette branche de la famille sont vraiment hideux, et que je devrais refaire le mien au plus tôt. Une autre représente un personnage carrément effrayant. Au début je crois qu'il s'agit du frère de mon père jeune. Et en le voyant, je me demande comment ma mère a fait pour épouser mon père.
Mais ce dernier ressurgit dans le tableau et me dit qu'il s'agit en fait d'une ancienne domestique de maison qui travaillait pour mes grands-parents maternels à Deauville. Il se met ensuite à la singer, ce qui m'exaspère. Je finis par lui dire: "Tu as le poison qui coule dans tes veines, et si tu ne le fais pas taire toi même, je le ferai".